mardi 31 juillet 2007

013 Lettre (3ème !) ouverte au cerveau lent du cap nègre


Lettre ouverte au président de la République
Paris et Internet, le 12 août 2009
Patrice Hénin
123 chemin des SDF (rue fictive, Monsieur le président)
75012 Paris
http://patricehenin.blogspot.com

Monsieur le président de la République,
Vous avez affirmé, aux côtés de M. le président Barack Obama, "... la France a une politique droite, honnête et conforme au droit international !".
C'est faux, la France n'est plus un état de droit.
J'ai découvert, au bout de 3 ans de procédures policière et judiciaire, que vous êtes, non pas le président d'une "
démocratie irréprochable", mais d'une véritable république "bananière".
J'aie ouïe dire que vous vouliez moraliser le capitalisme.
Alors, vous devriez vous intéresser à ce qui m'arrive.
Je suis convoqué le lundi 10 août 2009 par une "assistante sociale pénitentiaire de réinsertion" qui va me demander des preuves de recherches d'emploi, de logement, de soins médicaux (non précisés) correspondantes aux obligations auxquelles j'ai été condamné. Je suis condamné à 6 mois de prison ferme si je n'exécute pas ces 3 obligations.
Monsieur le président, j'irai à cette convocation, uniquement pour y rappeler que nul ne peut remplir des obligations absolument impossibles à exécuter.
J'ai été condamné le 5 septembre 2007, en mon absence, sans avocat, condamnation pourtant confirmée en appel le 2 juin 2008 (cette fois-ci en ma présence, mais toujours sans avocat), à trois obligations :
- trouver un logement et être assigné à résidence fixe.
Je suis locataire de mon appartement depuis 28 ans, Monsieur le président. Je n'ai pas l'intention de déménager.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un logement et y fixer résidence.
Je suis donc condamné à habiter chez moi.
Votre justice est devenue folle.
- trouver un travail.
J'ai travaillé toute ma vie, Monsieur le président. Aujourd'hui, je suis un handicapé déclaré inapte au travail depuis 2001, à cause d'un grave emphysème et d'une BPCO. Je suis mis en retraite d'office le 1er août 09 et j'ai déposé mon dossier de pension de retraite le 26 mai 09.
Je ne vois pas pourquoi je devrais trouver un travail sous peine d'aller en prison.
Je suis condamné à trouver une formation pour apprendre à tailler mes rosiers.
Votre justice est devenue débile.
- me soumettre à des soins médicaux obligatoires, non précisés, avec hospitalisation si nécessaire (bien sûr, nous y voilà).
Peut-être pour faire soigner une dangerosité décrite par des policiers spécialisés en faux, confirmée par une vraiment experte-psychiatre agréée par les services juridiques de mon frère, sis au Palais de Justice, 4 blvd du Palais 75001 Paris, sans procès ni avocat.
Je ne suis pas dangereux, Monsieur le président. Cela m'est physiquement impossible.
Je ne peux plus faire le moindre effort sans être essoufflé, avec 53% de poumons utiles.

Je suis donc condamné à faire soigner mes poumons, merci, on n'y avait pas pensé; à apprendre à tailler mes rosiers sans blesser personne.
Votre justice est devenue barbare à fin de corruption, parce que tout ceci, aussi insensé que cela est, a une raison.
Car tout ceci se rapporte à un courriel, que mon frère m'avait envoyé en juin 2004, dans lequel il m'écrivait avec assurance : "je te ferai interner le moment venu".
Une lettre de cachet.
Mon frère s'est présenté en avril 2006 dans un commissariat de mon quartier après m'avoir frappé comme un fou avec un vélo, dans la cour de ma mère.
Il a déclaré que j'étais dangereux pour ma mère, que je l'avais menacée de mort, parce que je voulais hériter plus vite de tout (!), que j'étais un vagabond type SDF, parasite de la société qui n'avait jamais travaillé de sa vie (à 57 ans !) et que donc il fallait me faire interner pour le bien de tous.
C'est une captation d'héritage fondée sur une série de diffamations ahurissantes.
Le fait qu'il parle d'héritage lors d'une déposition pour coups et blessures aurait dû mettre la puce à l'oreille des policiers de ce commissariat.
Au lieu de cela, les policiers ont créé les faux témoignages nécessaires.
Le fait que je sois la victime avec plaies et hématomes constatés par un médecin a été ignoré. Ils ont écrit que j'étais l'agresseur. Puis les juges ont entérinés, sans que je puisse être présent et me défendre.
Les avocats ne se sont jamais présenté, m'ont fuit. Une avocate (recommandée par ma candidate socialiste Sandrine Mazetier) m'a quand même reçu pour me prendre 600€ en espèces avant de disparaître. J'attends depuis 3 ans que ma désormais députée veuille bien alerter la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité.
J'ai écrit à la police des polices.
Au bâtonnier des avocats.
Le fait que mon frère a déjà été condamné aux Etats-Unis pour violences physiques envers sa femme pendant leur divorce a été caché.
Les 4 dépositions du rapport de police qui décrivent la scène de l'altercation sont différentes !
Une experte-psychiatre qui déclare un handicapé respiratoire "dangereux, en particulier envers son frère..." !
Il me semble que l'on a surtout tenu compte du fait qu'il était millionnaire, franco-américain, promoteur immobilier en Floride ayant travaillé dans le groupe Bouygues comme Directeur Général.
J'ai raconté l'affaire dans mon blog politique, je vous ai envoyé un courriel à la présidence en juillet 2007. Pour toute réponse, mon blog a été suspendu, ma ligne TV Internet et téléphone coupée plus de trois mois sans explications.
Même un forum où j'avais lancé un débat sur les machines à voter a été interdit.
Je vous signale que mon frère a touché son chômage de 1993 à 1996 alors qu'il était promoteur immobilier en Floride.
Je l'ai hébergé quelques jours en 1995. Il avait pris l'avion pour répondre à une convocation de l'ANPE. Donc, copie de cette lettre (traduite par mes soins) a été transmise à la White House, au gouverneur de Floride et le consulat de France à Miami.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Puisque ce frère qui vit en Floride se faisait adresser son courrier chez moi, j'ai reçu son relevé de carrière. Ses 5 années de chômage (1985, 1993-1996) comptent dans le calcul de ses annuités.
Expliquez aux français comment vous allez moraliser cela.
Il ne m'est plus possible d'aller à la police, qui n'est pas policée, de faire intervenir des élus, qui sont tous soit corrompus ou se disent impuissants.
Parce que mon frère est intouchable.
S'il était arrêté, il se vengerait en parlant des transports de fonds nationaux et internationaux qu'il a effectué pour corrompre des hauts fonctionnaires, pendant qu'il travaillait chez Bouygues Immobilier. Et de bien d'autres choses qu'il me racontait à l'époque, pour m'épater !
Alors, au soulagement général, il a été décidé que je devais disparaître avec camisole chimique pour ne plus parler, écrire et publier.
Monsieur le président de la République, donnez une prime aux acteurs de mon drame, policiers, magistrats, avocats, notaires, élus...
Vous remettrez une Légion d'Honneur à mon frère, parce que je continue de recevoir des témoignages de ses escroqueries aux Etats-Unis, il se lève tôt le matin pour cela.
Cela le consolera de ne pas avoir pu embarquer la Légion d'Honneur de mon père et ses onze autres médailles pour orner son bureau d'escroc floridien. J'ai dû intervenir en pleine cérémonie lors des obsèques de mon père à la Chapelle Impériale de l'hôpital Bégin.
Quand je travaillais en Floride, des français locaux m'ont affirmé que mon frère faisait du trafic d'armes.
Si vous trouvez que mon histoire est normale, alors vous êtes aussi fou que votre police et justice sont folles.
Et vous perdez toute légitimité, en laissant de tels policiers, magistrats et avocats aider cet escroc franco-américain à "prospecter" des investisseurs français pour les ruiner.
Si vous êtes incapable de me rendre justice, sur ordre de mon frère, ex-porteur de votre ami Bouygues, alors vous n'êtes pas légitime.
Monsieur le président, démissionnez, ou abdiquez, comme vous voulez, mais partez !
Je demande aux lecteurs de ce courriel d'écrire au :
Président de la République
55 rue du faubourg Saint-Honoré
75008 Paris (libre d'affranchissement)
ou au juge d'application des peines Catherine Bares 01 44 32 70 97 12-14 rue Charles Fourier 75648 Paris. Elle m'a fait convoquer le 10 août 2009 à 15h.
Ecrivez à la
Cour Européenne des Droits de l'Homme
Conseil de l'Europe
F-67075 Strasbourg
pour qu'elle passe en urgence ma requête numéro 32405/08 du 13 janvier 09.
Et vous, les médias, en particulier Le Monde (01 57 28 20 00), Libération (01 42 76 17 89) et Le Parisien (01 40 10 30 30) qui ont reçu cette même lettre en recommandée et en ont accusé réception : PUBLIEZ !
A qui donc puis-je m'adresser, si ce n'est à l'opinion publique ? Vous devez faire votre devoir de journalistes.
Monsieur le président, la République, ce n'est pas à vous, c'est à nous.
Messieurs les amis des amis du président, nous avons élu ce président pour servir la République, pas simplement vous.
Je vous prie d'imaginer, Monsieur le président, l'expression de mes sentiments.
Patrice Hénin
http://patricehenin.blogspot.com (en reconstruction)
http://patricehenin.over-blog.com/ (blog politique + dénonciation. suspendu. Pour dangerosité ?)
http://patricehenin.blogspirit.com/ (blog politique + dénonciation. suspendu)
http://www.xooit.com/app/forum-inexistant.php?lang=fr&forum=patricehenin.xooit.com&uri=%2Findex.php (forum "machines à voter". suspendu : pour dangerosité ?)
http://patrice-henin.magix.net/ (album photo familial créé parce que la famille est séparée par l'océan. Suspendu et quelques photos perdues : pour diffamation ?)
http://patrice.henin.free.fr/Scans%20pieces%20proces
/ (photocopies au format .JPG des pièces des procès, rapport de police, lettres, etc.)


De 0 - Scans procès
Cette fois-ci, j'envoie en recommandé avec accusé réception. L'affranchissement reste gratuit, c'est déjà ça.

Aujourd'hui 17 août 2009, en relisant ce texte, j'attends toujours l'accusé de réception.
L'omniprésent président est en vacances au Cap Nègre.
Que fait un omni-président présentement en vacances ?
Il préside.
Le syndic d'une pauvre grand-mère pour un problème d'égoût.

Pour rendre son sens à la justice insensée, pas pendant les vacances. C'est un plus compliqué, il y a du boulot. Mais pour l'odeur, ça ne le changera pas des égoûts du Cap.

Je mettrai la copie de l'accusé de réception dès sa réception. Promis !

Ben justement, je l'ai reçu ce matin 18 août 09 :

De Who dares wins (qui ose gagne)

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Suite : 0015 Courriel à l'UMP
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