mardi 27 octobre 2015

2ème lettre à présidente 17ème chambre TGI Paris



2ème lettre à présidente 17ème chambre TGI Paris
Réf. : P14189000879

Madame la présidente de la 17ème chambre du TGI de Paris,

Lors de l'audience du 6 octobre 2015 (délibéré annoncé pour le 17 novembre 2015), j'ai dit que j'avais fait une demande d'aide juridictionnelle qui devait me donner droit à 85% de prise en charge, mais que je n'avais toujours pas de réponse de ce bureau d'aide depuis avril 2015.
Vous m'avez demandé les justificatifs et je vous ai répondu que je ne les avais pas sur moi mais que l'accusé de réception était bien sûr chez moi.

Veuillez trouver ci-joint la copie de cette demande et de l'accusé de réception en date du 22 avril 2015.

Autre remarque, lors de l'audience initiale du 20 février 2015 madame le magistrat Emilie Thubin était partie civile et ne l'était plus ce 6 octobre 2015.
Elle ne l'a jamais été, je me suis renseigné auprès du SPIP.

Il s'agit donc d'une tentative pour me nuire concocté par des personnages qui se cachent derrière l'entité "parquet" et qui ne sont pas en quête de justice, mais sont chargés d'une sixième persécution par ce sixième procès.
A noter que ce sixième procès est le seul pour lequel je suis juridiquement coupable de quelque chose, c'est un progrès, tous les autres sont des coups montés par des institutions pourtant créées pour protéger ou rendre justice.

Vous voudrez bien noter, après avoir parcouru la longue liste des persécutions en pièce jointe, la volonté de me nuire en essayant de me faire interner, ou en me ruinant financièrement, bref de me rendre la vie impossible au sein de ce que nous appelons maintenant une "R.F. = République Factice, Fallacieuse".
Cette liste est devenue trois listes de plaintes dont les deux premières sont déjà déposée chez le doyen des juges d'instruction Roger Le Loire, qui m'a demandé de verser  500€ de consignation pour traiter la toute première plainte : si fait, j'ai des soutiens.

A mon  sens la Justice est innée, universelle, intemporelle. Le droit est acquis, local et évolue par  le vent de l'histoire. Par exemple, voler est déclaré injuste en tous lieux et tous temps. Un droit local s'appliquera alors et vous mettra à l'amende, vous emprisonnera ou coupera  la main, suivant le droit national en vigueur ou l'époque.

Dans un de mes récents articles "décivilisation" j'ai fait le lien entre les causes de mes persécutions et celles de l'effondrement des civilisations qui sont causées par le même type de personnages à très courte vue.
Il s'agit d'un même processus, des mêmes acteurs qui sont derrière le mot "parquet", c’est-à-dire la République fallacieuse.
Ce texte ne prend toute sa force que dans sa version hypertexte, le premier lien vers la dernière interview dusavant Frank Fenner est terrible : ce savant explique le plus simplement du monde qu'il n'est plus possible, d'après toutes les bases scientifiques, d'éviter l'extinction de notre espèce avant la fin de ce siècle.

Dans un autre article, "Péril en la demeure" je décris l'ambiance du monde qui nous attend, quand le droit du plus fort revient  naturellement lors de la dissolution du droit.
Mais surtout cet article souligne la bêtise de l'un de nos politiques pris au hasard par le destin : Martine Aubry. Il n'y a vraiment rien à espérer de ces gens-là, je le sais après avoir fréquenté les caciques de différents partis politiques.

Tous mes lecteurs ont compris que si je fais l'objet d'un tel acharnement, c'est que je représente un véritable danger pour cette république fallacieuse.
Donc une chance énorme pour ceux qui veulent inverser ce processus de décomposition de civilisation.

Avec l'aide de ces compétences, aussi bien de militaires que de scientifiques, ingénieurs, économistes, biologistes, j'ai un projet : faire déclarer l'état de nécessité du droit international par le gouvernement après avoir assuré sa protection très, très, rapprochée, ainsi que celle de la maison de la radio.
Nos instructions sont élaborées, prêtes, toutes dictées par l'intérêt général dans le cadre républicain
.
D'anciens ennemis réalisent leur erreur et se rallient : il est évident qu'avoir la justice et la vérité de son côté ne peut qu'assurer l'adhésion de l'opinion publique, et donc la réussite de ce projet.

La corruption est une gangrène qui annule et détruit toute organisation d'intérêt général, aussi importante qu'elle soit. Même l'ancien président de la Chine a fait un discours d'adieu en avertissant le PC Chinois que la corruption pouvait détruire la Chine.
Réalisez-vous aussi cela ?

Veuillez agréer, madame la présidente l'expression de mes efforts dévoués au maintien de notre ordre civilisé séculaire.



Patrice Hénin

P.S. : dans un moteur de recherche Internet, taper Patrice Hénin + le titre de l'article, choisir ceux du site http://patricehenin.blogspot.fr/

mardi 13 octobre 2015

Compte-rendu audience 17ème chambre du 6 octobre 2015



Lorsque je suis arrivé j'ai tout de suite demandé à l'huissier (un vieillard) où était mon avocat(e). Embarras.
Pourquoi il n'y a plus de partie civile, qui n'était d'ailleurs pas représentée la dernière fois le 20 février 2015.
Embarras "mettez-vous de ce côté, attendez madame le greffier pour lui demander".
Je me doutais bien que la juge des libertés et peines que l'on me reproche d'avoir filmé n'avait pas porté plainte. Les criminels qui se cachent derrière l'appellation "parquet" ont donc utilisé le nom de cette juge pour m'attaquer.

Cela commence bien, comme justicerie (ex justice).

Quant au bureau d'aide juridictionnelle, il s'est montré cohérent avec lui-même, ce sixième procès ne l'a toujours pas convaincu de mon droit à 85% de prise en charge.

Cela s'annonce bien, comme justicerie.

Arrive la greffière "vous avez fait une demande d'aide juridictionnelle ? Vous le direz lorsque la présidente vous appellera".
Lorsqu'arrive mon tour après 2 heures d'audience, je demande à la présidente pourquoi je n'ai pas d'avocat(e). Elle me demande les justificatifs de la demande d'aide juridictionnelle :
- je ne me promène pas avec l'accusé de réception, il est chez moi
- vous devez savoir que vous devez produire les justificatifs pour obtenir le renvoi de l'audience
- oui, un avocat aurait pu me l'expliquer.

Puis on me lit les griefs du parquet à mon encontre, en fait un magistrat lit des extraits de mon article "Réception chez le juge Émilie Thubin SPIP Paris le 14 avril 2014", de la bande son litigieuse puis le rapport de mon interrogatoire chez la police.
Je reconnais les faits et commence à expliquer pourquoi  j'en suis réduit à filmer des magistrats, et non pas une seule, qui délirent totalement pour mentir, sans même s'embarrasser de vraisemblance. Des réquisitoires incroyables, donc à filmer pour être cru.

Je fais remarquer que la loi m'oblige à dénoncer des criminels, fussent-ils des magistrats : article 434-1 du code pénal par exemple.

Je récite la liste de mes procès depuis 9 ans : la 16ème chambre (2007), la 10ème cour d'appel (2008), la 23ème chambre (2011), le pôle 8 d'appel (2012), la 12ème chambre (2013), le pôle 2 d'appel (2014), sans oublier la juge d'instruction Nadine Barthélémy-Dupuis qui, après m'avoir mis en examen (2009), a prononcé un non-lieu parce que je citais un peu trop le groupe Bouygues Immobilier.

Je cite ensuite quelques dénis de justice comme la 16ème chambre qui m'a jugé sans avocats, en mon absence, et condamné à faire soigner en psychiatrie une dangerosité imaginée par une psychiatre de circonstance, jugement fondé sur des faux rédigés par tout un commissariat au service d'un ancien directeur général de chez Bouygues Immobilier.
Histoire de bien démontrer qu'il s'agissait d'un procès ridicule, sans défense, j'avais aussi été condamné à trouver un logement (je suis locataire depuis 30 ans de mon studio) et un travail (je suis déclaré inapte au travail depuis 2001).

Je cite aussi la 23ème chambre qui m'accuse d'avoir acheté du haschich à… un dealer fraichement sorti de prison qui insistait pour que je lui achète quelque chose alors que le quartier était subitement  rempli de flicaille. Je n'ai rien acheté mais j'ai quand même été arrêté de façon très musclée par un agent des "stups". Puis vers les 3-4 heures du matin, un certain Michel Gaudin, préfet de police de la préfecture de Paris, est venu spécialement ordonner aux flics de ne surtout pas me relâcher mais de me conduire à l'infirmerie psychiatrique de ladite préfecture de Paris, pour rébellion.
Là, le psychiatre Forissier refuse de m'interner "en raison de ma personnalité".
Mais la 23ème chambre s'acharne et lui demande de revoir sa copie, ce qu'il a fait.

Je parle ensuite des 2 voyous de quartier à qui la police demande de me faire peur à domicile au pied de mon immeuble, puis de me casser la figure, puis de faire un faux témoignage devant la 12ème chambre en m'accusant de lui avoir donné une gifle.
Bilan de ces coups : deux fractures de la mâchoire, une fracture du plancher de l'orbite, perte de la sensibilité de la joue droite à vie.
- je suis bien obligé de filmer un procureur qui en une phrase dévoile sa fourberie criminelle en disant au juge "il est incontestable qu'il a donné une gifle… il n'y a pas de témoins… ceci ne justifie pas CE coup de poing mais l'explique…"
- ce voyou-indic de police était venu accompagné de 3 copains à l'audience. Je vous laisse à penser ce que ces 5 familles de leur cité peuvent penser de la police, de la justice de notre République Française ! J'espère que ces musulmans ne tourneront pas leurs yeux vers d'autres horizons comme le djihad comme seule vrai valeur. "R.F." ne signifie plus République Française mais "République Factice" !

Puis je généralise :
- la police, la psychiatrie, la justice, voilà un peu trop d'exemples de la décomposition de notre pays devenu fou. J'y ajoute les journalistes que j'alerte depuis 9 ans, comme madame Dominique Simonnot et Hervé Liffran du Canard Enchaîné, Edwy Plenel de Médiapart.
Rien de ce qui m'arrive depuis ces 9 années n'aurait pu se produire, encore moins se reproduire, si ces journalistes en avait parlé au lieu de se terrer dans leur silence criminel. Oui, ces journalistes sont de vrais criminels qui incitent par leur silence au crime.

A un moment, je ne sais plus lequel,  je me suis retenu de rire pour continuer à parler avec fermeté mais sans émotion : la présidente acquiesçait en hochant de la tête en m'écoutant.

Puis je me tourne vers la procureur :
- ainsi la partie civile a disparue, seul le parquet porte plainte. Ce sixième procès ressemble à un acharnement judiciaire destiné à me nuire. Ce sixième procès n'a pas pour but de rendre la justice, mais à effacer une preuve sonore d'une injustice !

Finalement la parole est à madame le procureur qui, d'une voie timide et gênée réclame 500 euros d'amende (maximum 4 500€) au titre de l'article 38 ter de la loi du 29 juillet 1881, qui avait légiféré sur les vertus de l'Internet.

Délibéré le 17 novembre 2015 à 13H30, même lieu.
Venez nombreux.


dimanche 4 octobre 2015

Lettre recommandée à la présidente 17ème chambre TGI Paris



De :
Patrice Hénin
29 rue des Meuniers 75012 Paris

A :
Madame la présidente de la 17ème chambre civile
4 bd du Palais
75004 Paris

Madame la présidente 17ème chambre,

Lors de l'audience du 20 février 2015 j'ai demandé la présence d'un défenseur et vous avez bien voulu reporter le procès au 6 octobre 2015, en précisant qu'un renvoi contradictoire ne donne pas lieu à une convocation écrite, ce que je sais pour l'avoir déjà expérimenté.

En effet, le 23 mai 2007 la présidente de la 16ème chambre correctionnelle, avait ordonné le renvoi de l'audience au 7 septembre 2007 afin de me faire examiner par une psychiatre faisant elle aussi partie de cette association de nombreux malfaiteurs très empressés de me faire interner en psychiatrie.
La présidente de cette chambre m'avait  précisé de bien noter la date parce qu'il n'y avait pas de convocation écrite. 
Ce renvoi était programmé puisque la partie adverse, un ancien directeur général de chez Bouygues Immobilier n'était pas présente ni même représentée ce 23 mai 2007.

Mais ce tribunal m'a donné l'occasion de mesurer l'étendue de la décomposition du pouvoir judiciaire en utilisant l'absence de convocation pour me juger le 5 et non pas le 7 septembre 2007, toujours sans avocat.

Il était important d'éliminer ma présence et celle des avocats pour pouvoir me condamner d'abord à soigner une "dangerosité envers autrui" inventée contre toute vraisemblance (mon état de santé), ensuite à trouver un logement (!!??) et enfin à chercher un travail ! En effet, n'importe quel avocat aurait pu faire remarquer que j'étais déclaré inapte au travail depuis 2001, incapable de "courir après tout le monde avec un parapluie" avec un emphysème, que personne ne m'avait jamais trouvé dangereux et que j'étais locataire depuis 30 ans du même appartement.

Tout ce petit monde obéissant ainsi aux ordres d'un ancien directeur général de Bouygues Immobilier (de 1986 à 1993), mon frère cadet Jérôme Hénin. En effet, il fallait que je sois interné pour que je ne puisse pas m'opposer à la suite de l'accomplissement de la captation d'héritage au profit de mon frère Jérôme Hénin, avec la complicité active de membres de la police, justice, notariat.

En ce qui concerne mon accusation actuelle, il est fortement question de filmer  les audiences de cour d'assises, je n'en suis pas l'innovateur. Cela permettra de réagir plus rapidement lorsqu'un magistrat comme Philippe Zamour se masturbe en pleine audience ou qu'un magistrat de cour d'assises à Paris est plus sensible à l'éclat d'une pendule Empire (qu'il finira par voler)  plutôt que par les noirceurs du terroriste Carlos.

 Les aberrations judiciaires dont je suis le témoin depuis des années de persécutions judiciaires m'obligent à prouver les mensonges incroyables proférés au cours de ces audiences par des juges et procureurs, parfois sous l'œil placide d'avocats lorsque ceux-ci veulent bien se présenter à l'audience.
Ainsi, lors d'une audience de la 12ème chambre où j'étais accusé faussement d'avoir donné une gifle à un indic de la police ce qui expliquerait  d'après ce procureur que celui-ci  m'ait cassé la figure en fracturant deux fois ma  mâchoire plus une fracture du plancher de l'orbite, un procureur a affirmé "il est incontestable qu'il a donné une gifle… il n'y avait pas de témoins… il a  donc reçu un seul coup de poing…".
Je n'avais pas giflé cet indicateur mais essayé de le prendre en photo pour obliger les policiers à reconnaître leur indic. Les policiers ont alors rédigé un faux rapport et incité l'agresseur à porter plainte pour violences réciproques, ainsi qu'à mentir au procès.

Je vous laisse à penser ce que ces voyous peuvent penser de la République qu'on leur demande de respecter.

J'ai fait une demande d'aide judiciaire pour ce procès dont je n'ai pas de nouvelles. Cela aussi je l'ai déjà expérimenté en découvrant des avocats commis d'office qui arrivent au procès sans m'avoir rencontré pour étudier l'affaire et préparer ma défense, mais avec des instructions qui n'ont rien à voir avec une défense.

Vous voudrez donc bien noter que d'après le bout de papier déchiré sur lequel un greffier a griffonné la date, c'est bien le 6 octobre 2015 qu'aura lieu la prochaine audience et que je désire préparer ma défense en considérant que la loi m'oblige à dénoncer en les prouvant les crimes commis et pouvant se réitérer.

En tant que politicien candidat aux élections présidentielle et législatives (2012 et suivantes), ma conviction est que le bon déroulement de la justice d'un pays est la clef de voûte de notre civilisation, je prône donc la tolérance zéro en matière de corruption au sein de nos institutions sous peine de voir mon pays sombrer comme tant d'autres (ex. : Mexique) dans le chaos de la barbarie.
Veuillez agréer, Madame la présidente, l'expression de mes sentiments dévoués à la restauration de la République.


Pièce jointe : copie papier déchiré servant de convocation



Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris