PRÉSENTATION DU BLOGUE
Titre "Une
famille, deux siècles, trois mondes (l'ancien, le nouveau, le dernier)".
Ce livre électronique est en cours de construction, cette
table des matières est plutôt un établi constamment dérangé de matières.
Mon site de stockage chez http://patrice.henin.free.fr a été censuré, pour télécharger le manuscrit.pdf et mes interviews par la radio IDFM98, il faut aller ICI :
(https://drive.google.com/file/d/0B-_wGVSw73rfYmdSQnQwSzY5SGs/view?usp=sharing).
Ou encore ici : https://onedrive.live.com/redir?resid=31138ABE4EA319A4%2110777
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Il commence par le PROLOGUE, à lire en premier pour utiliser
au mieux la Table des Matières.
Le premier chapitre "DESTINS d'HÉNINS" comprend quelques
récits du vécu des membres de la famille qui traverse les XXème et XXIème
siècles, de l'ancien monde (l'empire français) au dernier monde (le monde
post-capitaliste) en passant par le nouveau monde (États-Unis d'Amérique).
L'ancien monde.
Le père Gilbert (1924-2005), officier parachutiste avait fui
la Lorraine "zone interdite" à 19 ans (1942) pour rejoindre le
général de Gaulle en 1943 et combattre le Reich nazi (campagnes
de France 1944 et Pays-Bas 1945). Resté dans l'armée, il combat en
Indochine de 1946 à 1948 puis de 1953 à 1955 (blessé à Dien Bien Phu) et en
Algérie (1956 à 1958).
Quelques récits étonnants de souvenirs de guerres méritaient
d'être sauvés, ceux de la guerre d'Indochine peuvent horrifier des militaires
d'aujourd'hui, même ceux qui ont connu l'Afghanistan.
La mère Renée est la fillette d'un chef de gare lorrain pendant l'occupation.
L'ancien monde apparaît à Patrice le 4 juillet 1949 à Dakar,
en Afrique Occidentale Française.
Puis la famille est affectée dans le sud-ouest où se
trouvent les garnisons de parachutistes. Patrice change d'école à peu près tous
les 6-8 mois au gré des affectations de son père, Bayonne, Blanc-Pignon,
Anglet, Pau, Mont-de-Marsan...
Renée et Patrice rejoignent le sous-officier Gilbert pendant
la
guerre d'Algérie, de 1956 à 1958.
À force de guerroyer, Gilbert devient peu à peu un alcoolique
violent.
Le cadet Jérôme
nait à Mont-de-Marsan le 12 décembre 1958.
Devenu officier, Gilbert est muté à Tananarive, Madagascar, où nait la benjamine Catherine en 1960. Patrice subit les violences de son père devenues quasi quotidiennes. Gilbert est gravement blessé en sautant sur une mine au cours d'un exercice à Fianarantsoa.
La famille revient définitivement en France en décembre
1962, à Montfermeil, une banlieue huppée à l'époque. Patrice est heureux de
découvrir la télévision en noir et blanc (une chaine), les copains d'écoles que
l'on retrouve l'année d'après, la neige en hiver…
Les coups continuent de pleuvoir.
Une assistante sociale du lycée du Raincy lui demande
pourquoi il vient souvent à l'école avec le visage tuméfié, les yeux au "beurre noir". À son insu, la DDAS
décide de le retirer de sa famille, mais Renée fait un discours touchant et
promet que les coups cesseront.
Les coups cessent mais sont remplacés par la haine de son
père qui l'accuse d'avoir "le vice
dans la panse". Plus d'argent de poche, des brimades comme couper l'eau
chaude de la douche au bout de quelques minutes…
Patrice finit par se révolter contre sa famille, la société, décide de
faire tout ce qui est interdit. Il participe aux événements de mai 1968 au
lycée.
Gilbert se met à encenser Jérôme, "digne fils" qui a tous les droits et subit une éducation
dépourvue de règles.
Gilbert, officier recruteur et en charge des affectations des bidasses, envoie Patrice faire son
service militaire à Berlin-Ouest en 1970. Patrice entre dans la vie active en 1971. Il
commence une carrière dans la toute nouvelle banque BNP mais démissionne sur un
coup de colère. Il se retrouve postier aux Armées pendant 5 ans, y attrape la
tuberculose en 1973 à cause de la poussière des centres de tri et de la fatigue
(heures supplémentaires de nuit, sorties festives nocturnes).
Il est embauché chez Elf Aquitaine Production en 1977 comme
simple distributeur de courrier puis gravit les échelons hiérarchiques jusqu'à
devenir cadre dans la division pétrochimie d'Atochem.
Il restaure la section CFDT d'Atochimie (filiale chimique d'Elf Aquitaine) complètement
pourrie.
En 1990 la restructuration de la chimie provoque une
charrette de 1 300 licenciements économiques à laquelle il essaie d'échapper.
Il touche 240 000 FF de prime de licenciement et endure 4 ans de chômage.
Catherine a une scolarité exemplaire, toujours première en
classe.
Jérôme
s'oriente vers l'immobilier et a une ambition démesurée, ne pense qu'à la
frime, l'argent, ne connait pas de filles, méprise sa famille.
En1972, Gilbert arrête définitivement, d'un coup, de boire et fumer. Patrice découvre enfin son vrai père, un homme féru d'histoire, doux (!!), sociable.
La famille aborde le nouveau monde.
Les parents prennent leur retraite en 1981 alternativement
dans une villa en Floride l'hiver et l'été à Paris. Ils étaient influencés par
Catherine dont le rêve était de devenir américaine en étudiant le droit
international aux États-Unis. Elle prête serment d'avocate en 1984 puis
s'installe chez les parents en Floride pour étudier le droit US.
Elle est aujourd'hui attorney, mariée à un urgentiste
américain et a deux enfants.
Le fils cadet Jérôme, assoiffé d'argent, travaille dans
l'immobilier mais démissionne en 1985 pour s'installer dans la villa des
parents en Floride. Son but : se marier avec une américaine pour devenir
américain comme sa sœur.
Les parents n'apprécient pas du tout le mariage blanc de
Jérôme. En 1986 Gilbert intime l'ordre à Jérôme d'arrêter de tourner en rond
chez lui et de retourner à Paris se faire héberger chez Patrice, pour trouver
un travail.
Jérôme est remarqué par le DRH de Bouygues Immobilier non
pas pour ses compétences, mais pour sa
personnalité de psychopathe ne pouvant éprouver de sentiments que pour
l'argent. Il devient rapidement directeur
général de 1986 à 1993.
Encore immature à l'âge de 28 ans, Jérôme ne peut s'empêcher
de parler à Patrice : il convoie des "sacs marins" pour corrompre
des élus comme le maire de Lyon Michel Noir, pour n'en citer qu'un seul.
Peut-être jugé trop bavard, Jérôme, directeur général de la
Stim (groupe Bouygues Immobilier) est licencié économique en 1993 et s'installe
en Floride où il crée des sociétés d'investissement immobilier. Ayant obtenu
son passeport US, il divorce de sa femme devenue inutile. Il
escroque par abus de confiance des investisseurs français.
Attorney
spécialisée en immigration, Catherine fait obtenir la "carte verte" à ses parents puis à
Patrice qui fuit enfin le chômage en partant en août 1995 pour faire des petits
boulots en Floride. Il est embauché 3 semaines après son arrivée.
Atteint
d'une leucémie aiguë, Gilbert revient définitivement à Paris en 2004.
Patrice, atteint d'une bronchite chronique, d'un emphysème
et dégouté de la vie américaine revient lui aussi en 1998. Il retrouve le
chômage puis est déclaré inapte au travail en 2001 à cause de ses problèmes
respiratoires.
Peu après ce retour à Paris, le père décède en 2005 en
léguant tous ses biens français et américains à sa femme, sans droits pour les
enfants.
Il était en procès contre l'état français pour toucher une
revalorisation de sa pension d'invalide de guerre. La veuve Renée verse 3000€
au docteur en droit Louis Boré pour continuer le procès au Conseil d'État.
Chapitre II : LETTRE DE CACHET et chapitre III : MILITANT EN QUÊTE DE PARTI.
Ces chapitres décrivent d'abord la même période (2006-2008) pour le 1er coup monté de la police et sa première condamnation à se faire "soigner" en psychiatrie.
Un coup monté commandité par Jérôme et exécuté sans sourciller par la police et la justice !
Patrice est aujourd'hui retraité cadre d'Atochem
(pétrochimie). Il
milite au Parti Socialiste en 2006-2007 pour la campagne présidentielle de Ségolène
Royal, la campagne législative de la députée Sandrine Mazetier et enfin
pour les municipales 2008 du XIIème arrondissement de Paris. Déçu par ce parti,
il aide à la création
du Parti de Gauche en novembre 2008. Écœuré, il quitte le PG dès février
2009 et se range aux côtés de Nicolas
Dupont-Aignan pour la campagne des régionales 2010.
Dès l'annonce de la leucémie de son Père, Jérôme n'avait pas
hésité à écrire à Patrice "je te
ferai interner le moment venu" ! Il veut capter l'héritage de sa mère
en faisant interner Patrice pour avoir le champ libre et faire agir ses
relations corrompues du Conseil d'État et en justice pour faire placer sa mère
en curatelle.
C'est alors le début
d'une étonnante et incroyable saga, le dernier monde ou plutôt le
dernier des mondes (vu sous l'angle de l'abjection de la corruption) ou le
dernier monde, vu sous l'angle de l'extinction
de l'espèce humaine.
Cela pourrait être aussi le dernier monde final, vu sous
l'angle d'une évolution radicale de l'humanité.
Jérôme passe aux actes le 23 avril 2006 : il
vient à Paris casser la figure à Patrice et file au commissariat du XIIème
porter plainte
pour coups et blessures. Il demande aux policiers d'intervertir les rôles
agresseur-victime afin de faire interner Patrice en psychiatrie.
La 16ème chambre correctionnelle puis la 10ème
chambre d'appel condamnent Patrice à se faire soigner, bien sûr, mais aussi à
trouver un logement alors qu'il est locataire, un travail alors qu'il est déclaré
inapte au travail depuis 2001 puis retraité en 2009 ! Parce que le tribunal a jugé Patrice sans avocat, en son absence, uniquement au vu des instructions du rapport policier délirant, d'une expertise psychiatrique véreuse.
L'avocat
commis d'office ne vient pas aux audiences de la 16ème chambre.
La candidate Sandrine Mazetier suggère à son militant Patrice de prendre comme
avocate son amie Béatrice
Weinberg Zareczky. Celle-ci ne va pas à l'audience
de la 10ème chambre.
Mais de 2009 à 2011, la juge
des Libertés et Peines Catherine Barès se contente de faire pointer Patrice
tous les mois pendant 2 ans, sans le faire interner.
En février 2010, le Conseil d'État condamne le ministère de
la Défense à verser la revalorisation de la pension d'invalide de guerre aux
ayant-droits de Gilbert Hénin.
Mais le conseiller
d'État Louis Boré inclut les enfants comme ayant droits alors que seule la
veuve est légalement l'héritière. Le colonel Gilles Castel de la SGA du
ministère de la Défense ne paie pas et harcèle Renée pour qu'elle signe un porte-fort dans
lequel elle doit s'engager à verser leur part à ses enfants qui pourtant n'ont
aucuns droits.
Les enfants, eux, doivent signer chacun un document dans
lequel ils autorisent leur mère à toucher cette somme à condition qu'elle
s'engage à leur reverser leur part !
Patrice explique au téléphone à ce colonel que sa mère est
la seule ayant droit, le colonel lui raccroche au nez. Il envoie alors une lettre recommandée
qui lui est retournée.
Il devine alors qu'il s'agit d'une odieuse manœuvre pour
faire signer à sa mère un document aberrant afin de prouver qu'elle signe
n'importe quoi. Si elle avait signé, elle aurait été mise en curatelle et
perdait la gestion de ses biens au profit de ses enfants (Patrice était censé
être en psychiatrie !).
Renée n'a jamais signé, la pension a finalement été versée
au bout de 18 mois.
Patrice cherche à comprendre pourquoi la police, les
tribunaux, le ministère de la Défense, les partis dans lesquels il militait
sont incroyablement pourris à ce point.
Il comprend que tout est contrôlé par les ploutocrates,
qu'il n'y a plus de nation digne de ce nom, que tout est factice.
Il commence à étudier ce qu'est
l'argent, s'intéresse aux mécanismes de création et circulation monétaire,
étudie "in vivo" des
éléments de droit pénal et constitutionnel.
Les persécutions pour éliminer Patrice qui en sait vraiment
trop, l'écrit et le démontre dans ce blogue, viennent de toutes parts :
- sa ligne
Freebox est coupée sans explications de décembre
2007 à février 2008.
- ses blogues sont successivement fermés sans procès (chez blogspirit.com
puis over-blog.com). Il faut
s'attendre à ce que celui-ci subisse le même sort.
- en 2009 et 2011, les anciens candidats PS du XIIème pour qui
Patrice avait milité, une fois élus, utilisent des provocateurs (des
voyous-indics de la police) pour faire expulser
Patrice du Restaurant social Émeraude de la rue de la
Brèche aux Loups (XIIème) où il prend ses repas depuis 2003, ainsi
que des autres restaurants Émeraude du XIIème. But : l'empêcher de parler de
ces élus dans les restaurants et le fatiguer en l'obligeant à des déplacements
pénibles, Patrice ne pouvant déjà plus gravir les escaliers du métro.
Puisque Patrice a échappé à l'internement, l'ex-préfet de
police de Paris Michel Gaudin organise deux autres coups montés, l'un pour le
faire interner, l'autre pour essayer de le terroriser à domicile :
Deuxième coup monté :
Le 15 mars 2011
un agent des stups le tabasse violemment en pleine rue et l'accuse à
tort d'avoir acheté du haschich et de rébellion à agent.
Le préfet de police de Paris Michel Gaudin se déplace vers 4
heures du matin pour donner l'ordre aux flics d'envoyer Patrice à l'Infirmerie
Psychiatrique de la Préfecture de Police de Paris où il passe une nuit en
contention.
Mais le psychiatre refuse de l'interner et le lendemain
Patrice est conduit au dépôt ou il passe un deuxième nuit. Il passe en jugement
le 17 mars pour flagrant délit de rébellion, est relâché sous contrainte
judiciaire parce que le procès est reporté au 28 avril 2011 pour provoquer une
autre expertise psychiatrique.
Le 12 mai 2011, il est condamné à 8 mois de prison avec sursis et à se faire
soigner en psychiatrie (!)
Patrice fait appel et l'audience du 9 février 2012 est
reportée au 19 septembre 2012 parce que Patrice n'a toujours pas trouvé
d'avocat qui accepte de le défendre.
Il cherche à obtenir le témoignage de la gardienne d'école
qui a assisté aux coups donnés par l'agent David Gatty. Mais la directrice de
l'école lui dit d'abord que cette gardienne est "malade" puis
"qu'elle ne travaille plus ici".
Catherine, la sœur américaine de Patrice, décide de se
réinscrire au barreau de Paris pour voler à son secours. Mais sa demande de réinscription est toujours bloquée à ce jour.
Le 19 septembre 2012, la cour d'appel Pôle 8 refuse de
reconnaitre que Catherine est le défenseur, "parce qu'elle n'est pas là" et juge Patrice sans avocat, le
condamne à 8 mois de prison avec sursis et 390€ d'indemnité à verser à l'agent
David Gatty, avec bien sûr l'obligation de soins médicaux avec "hospitalisation si nécessaire"
pendant 2 ans.
La bâtonnière bloque la réinscription de Catherine parce
qu'aucun avocat ne veut domicilier les courriers de Catherine, l'une des
conditions pour la réinscription.
La cour de cassation le condamne en plus à verser 2000€ au
titre d'un article de loi (618-1 du code de procédure pénal).
Le Conseil constitutionnel avait pourtant déclaré cet article
618-1 contraire à la constitution, mais tout en demandant son avis à
l'Assemblée nationale parce que "le
Conseil constitutionnel ne dispose pas d'un pouvoir général d'appréciation de
même nature que celui du Parlement".
En clair, le Conseil constitutionnel se déclare moins compétent que le Parlement en matière constitutionnelle !
Troisième coup monté :
Le 1er août 2011 deux voyous-indics se postent tous les jours devant sa porte d'immeuble pendant un mois et chaque fois qu'il rentrait
seul se mettaient à crier "le blogue, le blogue, ça va péter !!".
Patrice porte plainte, sa plainte n'est même pas référencée
et reste lettre morte, les flics n'identifient pas les indics.
Patrice essaye alors de prendre l'un d'eux en photo, le
voyou-indic lui démolit le portrait puis revient au bout de dix minutes en
compagnie de deux agents de la BAC en civil.
Au commissariat, les flics accusent Patrice d'avoir provoqué
"l'indic" en le giflant et la plainte devient une plainte de
violences réciproques.
Les flics hystériques en profitent pour monter un rapport sur
le "comportement" de Patrice.
Un certain Dr Thomin, psychiatre au Centre
Médico-Psychologique du XIIème lui écrit "…
suite à votre demande, je vous donne rendez-vous pour le 6 septembre 2011…".
Patrice ne connaît pas ce Dr Thomin, n'a jamais demandé quoi
que ce soit à ce centre médico-psychologique.
La 12ème chambre correctionnelle se saisit de la plainte
réciproque en "oubliant" la plainte pour menaces devant la porte
d'immeuble.
Au cours d'une audience ubuesque, la cour condamne Patrice à
360€ d'amende et l'indic à un mois de bracelet électronique au lieu des 10 ans
encourus pour violences physiques avec séquelles à vie.
Patrice est aujourd'hui en attente du procès en appel.
Patrice a le sentiment que le destin l'a désigné pour être
le mieux placé pour confondre la corruption en France.
Se sentant assez fort en économie, écologie, ayant trouvé
des solutions radicales pour éradiquer la corruption, en ayant compris ses
tenants (la loi du profit coûte que coûte, l'avidité, le principe de conformité au groupe, ) et aboutissants (la destruction des peuples et des civilisations), il se présente à la présidentielle 2012, sans étiquette.
Il prône pour le moyen ou long terme l'instauration du
système économique et écologique "écosociétalisme" (www.ecosocietal.org)
créé par des économistes et sociologues autour d'André-Jacques Holbecq.
La société Sofitek le bluffe en lui proposant un site qui
finalement ne réalise pas l'envoi des 37 000 demandes de parrainage aux
mairies.
Wikipédia efface systématiquement en quelques minutes sa
profession de foi chaque fois qu'il la publie.
Il se présente comme candidat député dans la 8èmecirconscription de Paris en négociant avec sa mère et sa sœur l'octroi d'une
avance sur héritage (3 700€).
Sa candidature est noyée dans 23 candidatures, un record en
France (y compris les DOM-TOM) !
Interdit de média, il récolte 67 voix en discutant avec des
curieux en collant ses affiches. Lors de chaque discussion, il
déclenche l'enthousiasme et ceux qui l'ont écouté promettent de voter pour lui
et de parler de lui dans leur entourage !
Lorsque Patrice se présente à sa banque LCL pour faire le
virement pour payer l'acompte de l'imprimeur de ses bulletins de vote, son
agence refuse de faire le virement.
La Commission Nationale des Comptes de Campagne et de
Financement Politique lui réclame de restituer des carnets de reçu pour don
qu'il n'a jamais demandé et ne peut donc rendre.
Puis cette Commission demande au Conseil constitutionnel dele déclarer inéligible pour 3 ans parce qu'il n'a pas restitué ces carnets.
Patrice découvre ainsi que cette Commission Nationale des Comptes de Campagne et le Conseil
constitutionnel luttent de concert contre la démocratie en pratiquant ce
genre de mensonge éhonté pour rendre inéligible plusieurs anciens candidats
hors système.
En 2001 Patrice avait appris qu'il a une hépatite C, qui
devient virulente en 2012.
Après avoir subi un AVC le 2 juin 2010, soigné au Val de
Grâce et resté sans conséquences, Patrice demande au service hépatologie du Val
de Grâce de soigner ses hépatites B et C.
Le colonel hépatologue Dr G. Buzaglo-Braun lui demande en
août 2012 de consulter le Dr Corouge à l'hôpital Cochin "qui connaît bien les nouveaux traitements de
l'hépatite C".
En fait de nouveau médicaments, la Dr Corouge lui demande de
consulter le psychiatre Agop Kahvedjian en vue d'un traitement à l'interféron.
Ce psychiatre insiste lourdement pour que Patrice se fasse
soigner d'office au Centre Médico-Psychologique… du XIIème !
Patrice répond qu'il consultera un psychiatre uniquement si
l'Interféron induit une dépression, ce qui n'est pas le cas dans 60% à 70% des
cas.
Il revient vers l'hépatologue G. Buzaglo-Braun qui lui
affirme qu'il est déjà suivi dans ce centre médico-psychologique par un mystérieux Dr Thomin et qu'elle ne peut lui prescrire de l'Interféron s'il ne
va pas en psychiatrie !
Pour obtenir un document écrit, Patrice envoie une lettre
recommandée avec accusé de réception à l'hépatologue G. Buzaglo-Braun qui ne
répond pas et ne retourne pas l'accusé de réception.
Suite à une réclamation à la Poste, l'accusé de réception
est reçu au bout d'un mois et G. Buzaglo-Braun confirme par écrit son refus de
soigner cette hépatite virulente si pas de suivi psychiatrique préalable.
Elle écrit aussi qu'elle quitte l'hôpital du Val de Grâce et
que Patrice doit consulter un autre hépatologue.
Patrice décide alors de regrouper en mai 2013 ses soins en
hépatologie dans l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière où il est déjà suivi en
pneumologie.
L'hépatologue Joseph Moussali l'envoie consulter la
psychiatre Hélène Scapa, "une
formalité de routine" (23 juin 2013).
Puis Patrice effectue des examens à la demande du Dr
Moussali qui semble attendre avant de lui prescrire des soins.
Il subit un Doppler le 6 décembre qui révèle un nodule
"inquiétant".
Toujours pas de prescription à l'Interféron ni autre, un
scanneur révèle 3 nodules le 29 janvier 2014. Un seul nodule est visible par le
chirurgien et les autres médecins qui ont visionné les images du scanneur, dont
le mari de Catherine qui est un urgentiste américain.
Le 14 mars 2014, le chirurgien Jean-Christophe Vaillant
envisage l'ablation des 2/3 du foie droit ou une chimio-embolisation.
Le 10 avril 2014 Patrice subi un IRM qui décrit 5 nodules,
mais seuls deux sont visibles aux médecins à qui Patrice montre les images, dont
son beau-frère américain.
Le Dr Joseph Moussali reçoit Patrice le 13 juin 2014 pour
demander une Autorisation d'Utilisation Temporaire afin d'obtenir de la
Sécurité Sociale l'un des nouveaux médicaments qui remplace l'Interféron, le
Daclastavir. Mais il indique comme raison de la demande "contre-indication psychiatrique formelle"
à l'Interféron.
Le 11 juillet 2014, le Dr Joseph Moussali prescrit enfin
deux nouveaux médicaments sans effets secondaires, très onéreux : l'un coûte 120 000€ pour
24 semaines de traitement,soit 714€ le comprimé quotidien !!
Il affirme à Patrice qu'il l'avait prévenu d'une
contre-indication psychiatrique. Devant ce mensonge, Patrice ne lui cache pas
qu'il a porté plainte contre lui et la psychiatre Hélène Scapa pour mise en
danger de la vie d'autrui.
Le 24 juillet 2014 il revoie cette psychiatre pour lui
demander son rapport du 26 juin 2013 dans lequel elle aurait indiqué à
l'hépatologue de ne pas le soigner à l'Interféron.
Elle prétend que le dossier est en chirurgie, ainsi que le
dossier d'hépatologie.
En chirurgie, la secrétaire fait une recherche feuille après
feuille mais ne trouve rien.
Le chirurgien programme une chimio-embolisation pour le 23
juillet 2014, soit 8 mois après la découverte du premier nodule le 6 décembre
2013.
Patrice fait reporter cette opération au 31 juillet 2014.
Catherine prend l'avion pour le soutenir pendant les premiers jours de la
chimio, elle est furieuse d'apprendre que la date est reportée à une date
ultérieure "faute de lit".
Finalement la chimio-embolisation sera faite le 21 août
2014.
Patrice reçoit le 21 août 2014 une convocation de la police des" délits à la personne" pour avoir enregistré son entrevue avec la juge des liberté et peines du 14 avril 2014, ordonnée par le parquet du TGI de Paris.
C'est le 6ème procès contre Patrice qui ne sera jamais tranquille, sauf à être mort ou président de la République !
Patrice reçoit le 21 août 2014 une convocation de la police des" délits à la personne" pour avoir enregistré son entrevue avec la juge des liberté et peines du 14 avril 2014, ordonnée par le parquet du TGI de Paris.
C'est le 6ème procès contre Patrice qui ne sera jamais tranquille, sauf à être mort ou président de la République !
L'histoire s'arrête là, à ce jour (25 août 2014).
Pendant ce temps, le Service de probation et d'Insertion Pénitentiaire continue de convoquer Patrice pour sa condamnation du 19
septembre 2012, celle de la rébellion inventée par l'agent David Gatty.
L'avant-dernière convocation aura lieu le 24 septembre 2014,
alors que Patrice sera sous les effets secondaires de la chimio : vomissements,
diarrhées, fièvre, perte de cheveux, douleurs abdominales.
La dernière convocation aura lieu en octobre 2014, les 2 ans
de probation auront été réduits à 6 mois, avec des convocations espacées de 2
mois, une obligation de soins psychiatriques consistant seulement à produire
une preuve d'une consultation par un psychologue ou psychiatre.
Le rendez-vous du 24 juillet avec la psychiatre Hélène Scapa fera l'affaire.
Il devra néanmoins payer par petites mensualités d'environ
50€ la somme de 390€ d'indemnités à l'agent David Gatty qui l'avait massacré le
15 mars 2011.
En ce qui concerne les 2 000€ exigés par la cour de cassation, pas de nouvelles.
En ce qui concerne les 2 000€ exigés par la cour de cassation, pas de nouvelles.
Tant de persécutions devraient faire comprendre à ceux qui ne l'ont (ou ne veulent pas) l'admettre, que Patrice est vraiment craint par le système, parce qu'il est devenu le seul à pouvoir prouver toutes ces aberrations incroyables, le seul à avoir élaboré, "in vivo", les solutions à appliquer immédiatement.
Patrice demande d'urgence une entrevue avec le chef d'état-major des Armées.
Voilà, c'est notre pays des droits de l'Homme.
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