De :
Patrice Hénin
29 rue des Meuniers 75012 Paris
Patrice Hénin
29 rue des Meuniers 75012 Paris
A :
Madame la présidente de la 17ème chambre civile
4 bd du Palais
75004 Paris
Madame la présidente de la 17ème chambre civile
4 bd du Palais
75004 Paris
Madame la présidente 17ème chambre,
Lors de l'audience du 20 février 2015 j'ai demandé la
présence d'un défenseur et vous avez bien voulu reporter le procès au 6 octobre
2015, en précisant qu'un renvoi contradictoire ne donne pas lieu à une
convocation écrite, ce que je sais pour l'avoir déjà expérimenté.
En effet, le 23 mai 2007 la présidente de la 16ème
chambre correctionnelle, avait ordonné le renvoi de l'audience au 7
septembre 2007 afin de me faire examiner par une psychiatre faisant elle aussi
partie de cette association de nombreux malfaiteurs très empressés de me faire
interner en psychiatrie.
La présidente de cette chambre m'avait précisé de bien noter la date parce qu'il n'y avait pas de convocation écrite.
La présidente de cette chambre m'avait précisé de bien noter la date parce qu'il n'y avait pas de convocation écrite.
Ce renvoi était programmé puisque la partie adverse, un
ancien directeur général de chez Bouygues Immobilier n'était pas présente ni
même représentée ce 23 mai 2007.
Mais ce tribunal m'a donné l'occasion de mesurer l'étendue
de la décomposition du pouvoir judiciaire en utilisant l'absence de convocation
pour me juger le 5 et non pas le 7 septembre 2007, toujours sans avocat.
Il était important d'éliminer ma présence et celle des
avocats pour pouvoir
me condamner d'abord à soigner une "dangerosité envers autrui" inventée contre toute vraisemblance
(mon état de santé), ensuite à trouver un logement (!!??) et enfin à chercher un
travail ! En effet, n'importe quel avocat aurait pu faire remarquer que j'étais
déclaré inapte au travail depuis 2001, incapable de "courir après tout le monde avec un parapluie" avec un
emphysème, que personne ne m'avait jamais trouvé dangereux et que j'étais
locataire depuis 30 ans du même appartement.
Tout ce petit monde obéissant ainsi aux ordres d'un ancien
directeur général de Bouygues Immobilier (de 1986 à 1993), mon frère cadet Jérôme
Hénin. En effet, il fallait que je sois interné pour que je ne puisse pas
m'opposer à la suite de l'accomplissement de la captation d'héritage au profit
de mon frère Jérôme Hénin, avec la complicité active de membres de la police, justice,
notariat.
En ce qui concerne mon accusation actuelle, il est fortement
question de filmer les audiences de cour
d'assises, je n'en suis pas l'innovateur. Cela permettra de réagir plus
rapidement lorsqu'un magistrat comme Philippe
Zamour se masturbe en pleine audience ou qu'un magistrat
de cour d'assises à Paris est plus sensible à l'éclat d'une pendule Empire
(qu'il finira par voler) plutôt que par
les noirceurs du terroriste Carlos.
Les aberrations judiciaires
dont je suis le témoin depuis des années de persécutions judiciaires m'obligent
à prouver les mensonges incroyables proférés au cours de ces audiences par des
juges et procureurs, parfois sous l'œil placide d'avocats lorsque ceux-ci
veulent bien se présenter à l'audience.
Ainsi, lors d'une audience de la 12ème chambre où j'étais accusé faussement d'avoir donné une gifle à un indic de la police ce qui expliquerait d'après ce procureur que celui-ci m'ait cassé la figure en fracturant deux fois ma mâchoire plus une fracture du plancher de l'orbite, un procureur a affirmé "il est incontestable qu'il a donné une gifle… il n'y avait pas de témoins… il a donc reçu un seul coup de poing…".
Je n'avais pas giflé cet indicateur mais essayé de le prendre en photo pour obliger les policiers à reconnaître leur indic. Les policiers ont alors rédigé un faux rapport et incité l'agresseur à porter plainte pour violences réciproques, ainsi qu'à mentir au procès.
Je vous laisse à penser ce que ces voyous peuvent penser de la République qu'on leur demande de respecter.
Ainsi, lors d'une audience de la 12ème chambre où j'étais accusé faussement d'avoir donné une gifle à un indic de la police ce qui expliquerait d'après ce procureur que celui-ci m'ait cassé la figure en fracturant deux fois ma mâchoire plus une fracture du plancher de l'orbite, un procureur a affirmé "il est incontestable qu'il a donné une gifle… il n'y avait pas de témoins… il a donc reçu un seul coup de poing…".
Je n'avais pas giflé cet indicateur mais essayé de le prendre en photo pour obliger les policiers à reconnaître leur indic. Les policiers ont alors rédigé un faux rapport et incité l'agresseur à porter plainte pour violences réciproques, ainsi qu'à mentir au procès.
Je vous laisse à penser ce que ces voyous peuvent penser de la République qu'on leur demande de respecter.
J'ai fait une demande d'aide judiciaire pour ce procès dont
je n'ai pas de nouvelles. Cela aussi je l'ai déjà expérimenté en découvrant des
avocats commis d'office qui arrivent au procès sans m'avoir rencontré pour
étudier l'affaire et préparer ma défense, mais avec des instructions qui n'ont
rien à voir avec une défense.
Vous voudrez donc bien noter que d'après le bout de papier
déchiré sur lequel un greffier a griffonné la date, c'est bien le 6 octobre
2015 qu'aura lieu la prochaine audience et que je désire préparer ma défense en
considérant que la loi m'oblige à dénoncer en les prouvant les crimes commis et
pouvant se réitérer.
En tant que politicien candidat aux élections présidentielle
et législatives
(2012 et suivantes), ma conviction est que le bon déroulement de la justice
d'un pays est la clef de voûte de notre civilisation, je prône donc la
tolérance zéro en matière de corruption au sein de nos institutions sous peine
de voir mon pays sombrer comme tant d'autres (ex. : Mexique) dans le chaos de
la barbarie.
Veuillez agréer, Madame la présidente, l'expression de mes
sentiments dévoués à la restauration de la République.
Pièce jointe : copie papier déchiré servant de convocation
Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris
29 rue des Meuniers
75012 Paris
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