samedi 30 novembre 2013

pourquoi un excédé a tiré sur des journalistes...


... parce que lorsque les médias se taisent, donc tout est possible, partout.

 

Une cour de cassation qui ne casse pas des briques, incompétente, inique, c'est jouable si les médias se taisent.


Un conseil constitutionnel qui est anticonstitutionnel parce qu'il utilise des faux et de purs et simples mensonges , c'est facile, puisque les décisions du Conseil sont sans recours (article 62 de la constitution). C'est un peu comme si le droit divin était rétabli au coeur de la constitution, mais pas pour être divin.

 

Un tribunal correctionnel (12ème chambre/1 du TGI de Paris) qui veut condamner la victime blessée à vie, l'agresseur étant un indic de la police :

c'est encore plus facile, non seulement les médias le cachent, mais les gendarmes sont là pour veiller et expulser de l'audience, en tout devoir de réserve, acte que je traduis en devoir d'idiotie ou de lâcheté, ou de complicité active, au choix.

 

ALORS,

Mme Dominique Simonnot (journaliste du Canard Enchaîné en charge des procès viciés) :

Merci de venir assister à mon procès le 18 décembre 2013 à 13H30 pour constater que la 12ème chambre correctionnelle /1 du TGI Paris sait condamner une victime.
Comme d’habitude (déjà 3 procès politiques, une dizaine d’audiences !), je serais expulsé par les gendarmes dès que j'ouvrirai la bouche :


 

L’affaire, un 3ème coup monté par les flics aux ordres de l’ex-préfet de police Michel Gaudin :


 

Une interview radio IDFM98 a eu lieu, il existe des médias compatissants (si, si, tout le monde ne travaille pas au canard très enchaîné) :


 

Vous noterez que la CNCCFP (comptes de campagnes) déclare systématiquement inéligible pour 3 ans les candidats hors partis, dont moi, par décision du Conseil  constitutionnel parce que ses décisions sont sans recours (article 62 constitution). Il suffit de googler « journal officiel prénom nom » pour connaître les malheureux fort démocratiquement « inéligiblés »  :


 

Vous noterez aussi qu’une cour de cassation ne vérifie pas la procédure (absence d'avocat dans ce cas), mais juge que la peine n'est pas assez lourde en invoquant un article de loi déjà abrogé parce que contraire à la constitution (618-1 du code de procédure pénale). On s'en fout que la loi soit abrogée, ça peut servir :



Ce n’est pas grave, aucun média ne signalera cette multitude de détails, surtout pas un journal indépendant comme le Canard Très Enchaîné, ou Médiapart, etc., au service de leurs lecteurs encenseurs, admirateurs du courage de ces journalistes, parce que vraiment trop... disons crédules.

 

Copie de ce message est envoyé à tous mes contacts courriels, l'invitation gratuite au cirque du 4 Bd du Palais à Paris, le 18-12-2013 à 13H30 vaut pour tous ceux qui s'ennuient.

Surtout pour les gendarmes, surtout ceux qui sont sur le point de se suicider, pour leur redonner de l'espoir, leur montrer un exemple de courage.
 

dimanche 24 novembre 2013

Présent qui compte, pour un anniversaire

Présent qui compte, pour un anniversaire
Puisque le mois nous est connu (décembre) mais que le jour nous est cachée, je pensais offrir 31 cadeaux, un par jour.
Ma banque, trop désintéressée, me l'interdit.
Alors un certain "CELUI-QUI-COMPREND-TOUT-SUR-TOUS-ET-QUI-L'EXPLIQUE-A-TOUS" a suggéré ce calendrier de l'Avent.
Génial, cela couvre déjà 24 jours, reste 7 !
Bon, d'accord, c'est pour les enfants, mais convient à une éternelle petite fille rieuse.
Il faut jouer le jeu, comme un enfant, un chocolat par jour, OK ?
Ceux qui n'aiment pas les anniversaires les perçoivent comme un compte des années perdues puis décompte des années qui restent.
Pour  moi c'est surtout une occasion de célébrer l'existence d'une personne, d'exprimer le plaisir de la connaître, la chance de l'avoir dans mon entourage.
Au point que je trouverais plus logique d'offrir un petit présent, ne serait-ce qu'un sourire, tous les jours de l'année.
D'ailleurs un anniversaire, ce n'est qu'un jour de plus, après tout.
Quant aux années perdues du passé, elles sont contenues dans le présent, ces jours, années sont un présent permanent qui nous a modelé, formé, fait ce que nous sommes aujourd'hui.
Je ne vis donc que "présentement", avec de plus en plus d'intensité.
Et cela continue jusqu'au dernier souffle, qui fait partie de la vie.
Puis perdure dans la mémoire des autres.
Quant aux années futures du décompte, elles sont façonnées par ce que je fais maintenant, donc elles aussi contenues dans le présent.
Seul le destin peut interférer, il suffit d'y faire face.
Je vis donc bien "présentement", avec de plus en plus d'acuité, avec un cap.
Je ne prendrais jamais une décision en fonction des facéties prévues par le destin.
Cela m'empêcherait de vivre mon présent, cela empiéterait sur ma liberté, gênerait ma recherche du bonheur.
Cela reviendrait à dire au destin "je m'incline, c'est toi qui dirige, je ne suis qu'un ballot dérivant sur les vagues au fil du temps, qui sait qu'il devra couler, alors à quoi bon…"
Non.
Le présent d'abord.
Goûtons le présent de l'avant, OK ?
Voilà.
Madame Sylvie, bonS anniversaireS !

oooooOooooo
ENGLISH VERSION:


a present that counts (for your bithday):

For those who do not like birthdays and perceive them as an account of the lost years and counting down remaining years.

For me it is mostly an opportunity to celebrate the existence of a person to express the pleasure of knowing her, the chance to have her around me.
To the point that I would find more sense to offer a small gift, maybe a simple smile, every day of the year.
Besides a birthday, it's one more day, after all.

As for the lost years of the past, they are contained in the present, these days, years, are ever lasting present that had shaped us, made what we are today.
So I live my present, my "now", with more and more intensity.
And this continues until the last breath , which is also part of life.
Then continues in the memory of others.

As for the remaining years of the count, they are shaped by what I do now, so also contained in my present.
Only fate can interfere, then just cope.
I am well " now ", with more and more acute, with a goal.

I would never take a decision based on the bad jokes provided by fate.

This would prevent me from living my present, would interfere with my freedom, hinder with my pursuit of happiness.
This would mean to say to Destiny " I bow, you're directing, I 'm just a stupid straw drifting on the waves over time, who knows he will sink, so why live on my own..."

No.
Let me make all birthdays gifts be my present, every days, first of all.
Patrice Henin
 

lundi 18 novembre 2013

Lex gladius juris est

Le refus de paiement de la dette publique est la mesure impérative à prendre avant de reconstruire notre nation.
C'est présenté dans cet article :
http://patricehenin.blogspot.fr/2013/07/dette-publique.html

Il ne reste plus que la force des armées pour rétablir l'état de droit, refaire des élections après avoir corrigé et fait accepter par referendum la constitution "nettoyée".
Par exemple, plus de conseil constitutionnel "divin" (dont les décisions sont sans recours ! article 62).
Un organisme qui fait et défait les élections, fait et défait les lois.

Sortie de l'Europe, de l'euro, de l'OTAN, mais en mettant en place une monnaie de référence internationale ainsi qu'une Alliance de pays l'adoptant. Et reconstruire les armées pour montrer les muscles, ce monde est devenu trop dangereux.

Objectifs ultimes : baisse des populations sans génocides (1 enfant par couple ?), baisse de la consommation et productions tueuses de biodiversité.

Lutte sans pitié contre la corruption, plus de monnaie "liquide", niches fiscales...
Donc, rétablissement de la peine de mort lorsqu'il s'agit de crimes

Alors, pour les militaires hésitants, voici un texte un peu grandiloquent, mais convainquant, à usage pratique.

oooooOooooo


Nous, soldats de la République, n'avons que des devoirs dont celui de réserve.

Nous ne sommes pas des mercenaires, nous ne pouvons tuer que des ennemis de la France et uniquement sur ordre.

Même si le logiciel LOUVOIS est très bien programmé pour nous payer de façon aléatoire et fantaisiste, nous restons engagés pour défendre au péril de nos vies des valeurs autres que celles des ploutocrates qui contrôlent certains de nos chefs, des élus, par corruption.

Le chef suprême des armées a pourtant demandé à ses propres soldats de retirer le percuteur de nos FAMAS lorsqu'il passe ses troupes en revue (01).

Le président a peur de son armée et nous a considérés comme des terroristes ennemis.

 

C'est pour cela, Amiral, que vous devez vérifier de qui notre chef suprême tient ses propres ordres.
Des ploutocrates, de l'extérieur, appuyés par des collaborateurs internes, dont lui-même, ou bien de notre peuple souverain ?

 

Nous, soldats de la République française, soldats français de toutes les souches, de toutes origines, ethnies, religions, de tous les corps de la Légion Étrangère, des airs, mers, terres, réunis en une seule nation, nous devons, au nom de ceux qui sont déjà morts pour notre pays, depuis des siècles, de tous ceux à naître, rétablir l'état de droit, sauver notre pays de la barbarie.

La copie de la plainte qui vous a été transmise, Amiral, pour information et action n'est qu'un exemple (02) parmi beaucoup trop d'autres.



Cette plainte démontre qu'une collection quasi complète de toutes nos institutions, associations, médias, partis politiques, y sont dénoncées pour association de malfaiteurs par des preuves irréfutables.

Maintenant nous le savons, sortir de notre réserve est notre devoir.

 

Amiral, il ne manquerait plus que vous pour rejoindre cette association, en continuant à servir cet état de non droit !

Ce serait sans nous.

 

Amiral, nous avons apprécié vos compétences pour ne pas dire vos exploits comme votre gestion de l'opération Harmattan en Libye.

Elles sont telles que si l'on vous ordonnait de mettre le feu au monde, avec comme moyens une boîte d'allumettes, vous y parviendriez.

Nous  renouvelons donc notre totale confiance en vous, Amiral, soyez assuré de notre sens de la discipline.

Mais si le président n'est pas l'émanation de notre peuple, nos armées sont des corps sans tête, il nous reste vous, Amiral pour que notre peuple retrouve ses forces.

 

Amiral, dites au président de la République que Vichy,
c'est fini.
Que le démantèlement de notre pays,

C'est fini.

Que la destruction de la planète, de tout et tous pour le profit,
c'est fini.

 

Nous, Gardes Républicains, avons la République en garde.

Nous connaissons les lieux des protocoles où ces corrompus caracolent et volent.
Pour une fois, la Garde se rendra, en ces lieux, pour y arrêter ces gens.

Amiral, nous attendons vos instructions.

 

Nous, agents de la force publique, policiers et gendarmes refusons de continuer à suivre ces syndicalistes policiers qui incitent au non-respect des lois, ces crimes répétés d'incitation à la désobéissance aux lois (03) adressées à ceux qui devraient la faire respecter (04).
Alors que des citoyens sont emprisonnés (05) pour avoir manifesté légalement leur opinion, que des policiers sont punis parce qu'ils dénoncent légalement la folie (06) de certains de leurs collègues, qui sont eux récompensés.
Nous, policiers, avons décidé de sauver l'honneur de la police, des gendarmes, et sortons de notre réserve.

 

Nous forces publiques au service de nos citoyens, de par la constitution séculaire, nous tuerons tout agent de "l'eurogendfor"(07) qui viendrait dans notre pays y semer la terreur, parce que le traité de Lisbonne l'autorise à tuer des "émeutiers" (08).
Nous ne laisserons pas des manifestants pacifiques français être assassinés par des miliciens venus de l'étranger.

 

Amiral, dites au président de la République qu'il doit appliquer l'article 67 au vu de son prédécesseur Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa : les instances et procédures peuvent être reprises ou engagées contre lui à l'expiration d'un délai d'un mois suivant la cessation des fonctions.

 

C'est lui qui a nommé le président du Conseil constitutionnel (article 09).

Nous avons en mémoire le discours de l'ancien chef suprême des Armées à Kaboul (09), le 20 août 2008, après que 10 familles aient perdues 10 de nos camarades de combat le 18 août 2008 :



Nous savons maintenant pourquoi le conseil constitutionnel n'a pas réagi en appliquant l'article 68 de la constitution : jamais dans l'histoire d'aucune guerre en aucuns pays un chef suprême d'armées n'avait eu l'idée d'essayer de faire de l'esprit et de glousser, de rire, devant des soldats au garde à vous qui venaient de perdre 10 des leurs en une patrouille, devant les 10 cercueils de nos frères d'armes.

 

Les politiciens qui veulent négocier les solutions pour éviter le pire ou maintenir une civilisation sont balayés par le Conseil constitutionnel qui fabrique des faux en écriture (10) publique ! Alors, en toute légalité, légitimement, nous disons :

Gare à nous !


Dites au président de la République qu'il est le garant de l'indépendance nationale (article 5).

Nous ne sommes pas équipés, nous exigeons la réouverture de l'atelier GIAT du Mans pour nos munitions du FAMAS (11), afin de disposer de munitions pour nos FAMAS fabriquées en France et non en Israël ni aux Émirats.


Nous ne sommes plus une nation indépendante, la défense militaire française, sa force nucléaire sont cogérées financièrement avec le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie…

 

Les citoyens doivent nous redonner un chef suprême normal voire exceptionnel ou confirmer leur confiance envers le  président actuel.

Les élections ont été faussées, nous réclamons une réélection réellement digne de la démocratie, comprenant la réinscription de la centaine de candidats précédemment inscrits, la publication gratuite et médiatisation de leurs professions de foi auprès des élus qui parrainent.

 

Nous avons répondu présents, au garde à vous, dans la boue, pour nous entre-tuer entre nations voisines.

C'était une boucherie, mais nous avons obéi, parce qu'au fond de nos cœurs nous pensions que  nos femmes et enfants auraient un avenir meilleur.

Les marchands de canons y ont gagnés, grâce à nous.

 

Nous avons répondu présents, du fond de nos gourbis (12), de nos villages, au garde à vous, puis dans la boue, pour nous entretuer entre voisins et terres lointaines.
C'était la barbarie, nous l'avons éliminée, nous sommes retournés dans nos gourbis et nos villages, parce qu'au fond de nos cœurs nous pensions que  nos femmes et enfants auraient un avenir meilleur.

Les marchands de canons y ont gagnés, grâce à nous.

 

On rappelle encore ce qui reste de nous, la Syrie, son gisement de gaz et ses oléoducs appartiendraient à des barbares.
Non.

La barbarie est partout, chez nous, nous savons ce qu'ils peuvent faire à nos veuves et que nos enfants n'ont pas d'avenir (13).

En bons soldats nous ne bougerons que pour les membres d'un seul parti, la patrie, la France.

 

Amiral, il y a pire que de sacrifier sa vie, c'est de sacrifier son honneur (14).
Amiral, vous avez le choix de perdre ou sauver les deux à la fois.

Vous avez choisi de sauver la France, vous pouvez rappeler aux ploutocrates que :

lex gladius juris est.

 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 
(14) http://militaires-d-hier.forumgratuit.org/t3738-il-y-a-pire-que-le-sacrifice-de-sa-vie-c-est-celle-de-sacrifier-son-honneur
 

mardi 12 novembre 2013

Condamner la victime ? On peut, à la 12ème chambre...

Condamner la victime ? On peut, à la 12ème chambre du TGI Paris

INVITATION GRATUITE AU CIRQUE, SÉANCE PUBLIQUE OFFERTE par la 12ème chambre correctionnelle/1 le 18 décembre à 13H30 au Palais de Justice.

Rires garantis, spectacle mêlant le désopilant et désolant  : la chambre va s'efforcer de condamner la victime (moi) et couvrir ainsi les nombreux agissements (criminels) des policiers de notre charmant arrondissement.

 

Pendant tout l'été 2010, ce monsieur Mohamed Ali Mahmoudi a batifolé dans nos parties communes (escaliers) avec de nombreux amis toutes les nuits, avec une préférence marquée pour les étages supérieurs de notre immeuble.

Notre gardienne a nettoyé les restes de leurs agapes tous les matins pendant un bon mois.

Ceux et celles qui ont écrit en LRAR au commissariat pour faire cesser ces invasions et pollutions sont invités, ainsi que tous les habitants de l'immeuble, à découvrir le degré de civilisation atteints par ces forces "de l'ordre" très productives : rackets de dealers, corruption diverses et variées, impunité judiciaire… De vrais terroristes.

 

De juin à juillet 2011, ils n''étaient plus que deux à glander tous les après-midi et soirs devant notre entrée d'immeuble, on se demande pourquoi. Moi je le sais, à chaque fois que je rentrais seul, l'un d'eux se mettait à crier "le blog, le blog, toutes ces manigances, ça va péter, ça va péter !".

En effet, je dénonce dans mon site Internet de graves et répétés dysfonctionnements de ces policiers du XIIème, depuis avril 2006.

 

Le 16 juillet 2011 j'ai refusé de les laisser entrer en même temps que moi. J'ai appelé le 17.

Monsieur Mahmoudi m'a arraché mon téléphone, l'a jeté par terre. Quand la police est arrivée, longtemps après, elle s'est contentée de me dire de porter plainte le lendemain, "parce que l'on ne déplace pas pour rien".

La nuit même, monsieur Jean Caire a été visité" par la fenêtre (1ème étage côté Jardiniers), sa plainte n'a jamais été transmise au parquet, ce qui prouve que la police protège cet individu.

Des policiers qui m'apprécient (ça existe) m'ont dit qu'il devait être un indicateur.

Monsieur Caire refuse de me donner copie de la plainte "oubliée", par peur de représailles policières. Elle me permettrait pourtant de prouver aux juges que ces policiers utilisent ce voyou.

Lors de mon dépôt de plainte, le policier a demandé une description précise.

 

Le 1er août 2011, Mahmoudi passe devant mon arrêt de bus à midi.

Il rigole en me voyant, je lui dis qu'il est recherché par la police et que je vais le prendre en photo.

Il me frappe très violemment au visage : mâchoire fracassée, nerf orbital sensitif détruit, donc hypoesthésie joue droite à vie. Un œil fermé pendant 10 jours.

Il disparaît au coin de la rue et réapparaît 10 minutes plus tard avec 2 agents de la BAC, qui conseillent au pauvre monsieur Mohamed Ali Mahmoudi de porter plainte contre moi.

Les photos sont visibles dans le "Prologue" de mon site "PHENIx, blog qui renaît toujours de ses censures" (http://patricehenin.blogspot.fr/p/prologue.html)

 

Une radio, IDFM98, m'a interviewé par téléphone le 5 septembre 2011, l'émission d'une heure est disponible sur CD ou à cette adresse http://patrice.henin.free.fr/

Vu l'émoi qu'a suscité cette interview, vous y trouverez aussi une émission que j'ai assuré de minuit à 6h le 20 septembre 2011.



VENEZ NOMBREUX ! RTT indispensable pour exiger le retour de l'état de droit.


 

 

Cour d'Appel de Paris
Tribunal de Grande Instance de Paris

 

Parquet du procureur de la RépubliqueService : AUDIENCEMENT 12/1

N° de parquet : 12048001400
N° de téléphone : 01 44 32 61 47

N° télécopie : 01 44 32 78 68

 

GROUPEMENT DES HUISSIERS
boulevard du Palais
75001 PARIS 1ER

Mandement de citation
à prévenu

Vu l'article 550 et suivants du code de procédure pénale ;

 

J'ai l'honneur de vous prier de bien vouloir citer à comparaître et, après régularisation de l'exploit, de me le retourner dans un délai maximum de 10 jours :

 

HENIN Patrice
né le 4 juillet 1949 à DAKAR (Sénégal)
29 rue des Meuniers 75012 PARIS
libre
prévenu

 

D'avoir à Paris, en tout cas sur le territoire national, le 1er août 2011 et depuis temps non prescrit, volontairement commis des violences n'ayant pas entraîné d'incapacité totale de travail sur la personne de Mohamed Ali MAHMOUDI, faits prévus par ART.R624-1 AL.1 C. PENAL, et réprimés par ART.R.624-1 AL.1, AL2 C. PENAL.

 

L'audience se tiendra le 18 décembre 2013 à 13H30 devant le Tribunal Correctionnel de Paris 4 Boulevard du Palais 75055 PARIS 1ER – 12ème chambre correctionnelle 1.

Fait au parquet, le 29 octobre 2013
Le procureur de la République
[cachet, signature, pas de nom]

 
 
 
 


Aux dernières nouvelles, le professeur Hervé Taillia n'est pas convoqué comme prévenu et ne sera donc pas condamné.


lundi 11 novembre 2013

Condamner la victime ? On peut, à la 12ème chambre du TGI Paris


INVITATION GRATUITE AU CIRQUE, SÉANCE PUBLIQUE OFFERTE par la 12ème chambre correctionnelle/1 le 18 décembre à 13H30 au Palais de Justice.

Rires garantis, spectacle mêlant le désopilant et désolant  : la chambre va s'efforcer de condamner la victime (moi) et couvrir ainsi les nombreux agissements (criminels) des policiers de notre charmant arrondissement.

 

Pendant tout l'été 2010, ce monsieur Mohamed Ali Mahmoudi a batifolé dans nos parties communes (escaliers) avec de nombreux amis toutes les nuits, avec une préférence marquée pour les étages supérieurs de notre immeuble.

Notre gardienne a nettoyé les restes de leurs agapes tous les matins pendant un bon mois.

Ceux et celles qui ont écrit en LRAR au commissariat pour faire cesser ces invasions et pollutions sont invités, ainsi que tous les habitants de l'immeuble, à découvrir le degré de civilisation atteints par ces forces "de l'ordre" très productives : rackets de dealers, corruption diverses et variées, impunité judiciaire… De vrais terroristes.

 

De juin à juillet 2011, ils n''étaient plus que deux à glander tous les après-midi et soirs devant notre entrée d'immeuble, on se demande pourquoi. Moi je le sais, à chaque fois que je rentrais seul, l'un d'eux se mettait à crier "le blog, le blog, toutes ces manigances, ça va péter, ça va péter !".

En effet, je dénonce dans mon site Internet de graves et répétés dysfonctionnements de ces policiers du XIIème, depuis avril 2006.

 

Le 16 juillet 2011 j'ai refusé de les laisser entrer en même temps que moi. J'ai appelé le 17.

Monsieur Mahmoudi m'a arraché mon téléphone, l'a jeté par terre. Quand la police est arrivée, longtemps après, elle s'est contentée de me dire de porter plainte le lendemain, "parce que l'on ne déplace pas pour rien".

La nuit même, monsieur Jean Caire a été visité" par la fenêtre (1ème étage côté Jardiniers), sa plainte n'a jamais été transmise au parquet, ce qui prouve que la police protège cet individu.

Des policiers qui m'apprécient (ça existe) m'ont dit qu'il devait être un indicateur.

Monsieur Caire refuse de me donner copie de la plainte "oubliée", par peur de représailles policières. Elle me permettrait pourtant de prouver aux juges que ces policiers utilisent ce voyou.

Lors de mon dépôt de plainte, le policier a demandé une description précise.

 

Le 1er août 2011, Mahmoudi passe devant mon arrêt de bus à midi.

Il rigole en me voyant, je lui dis qu'il est recherché par la police et que je vais le prendre en photo.

Il me frappe très violemment au visage : mâchoire fracassée, nerf orbital sensitif détruit, donc hypoesthésie joue droite à vie. Un œil fermé pendant 10 jours.

Il disparaît au coin de la rue et réapparaît 10 minutes plus tard avec 2 agents de la BAC, qui conseillent au pauvre monsieur Mohamed Ali Mahmoudi de porter plainte contre moi.

Les photos sont visibles dans le "Prologue" de mon site "PHENIx, blog qui renaît toujours de ses censures" (http://patricehenin.blogspot.fr/p/prologue.html)

 

Une radio, IDFM98, m'a interviewé par téléphone le 5 septembre 2011, l'émission d'une heure est disponible sur CD ou à cette adresse http://patrice.henin.free.fr/

Vu l'émoi qu'a suscité cette interview, vous y trouverez aussi une émission que j'ai assuré de minuit à 6h le 20 septembre 2011.



VENEZ NOMBREUX ! RTT indispensable pour exiger le retour de l'état de droit.


 

 

Cour d'Appel de Paris
Tribunal de Grande Instance de Paris

 

Parquet du procureur de la République
Service : AUDIENCEMENT 12/1

N° de parquet : 12048001400
N° de téléphone : 01 44 32 61 47

N° télécopie : 01 44 32 78 68

 

GROUPEMENT DES HUISSIERS
boulevard du Palais
75001 PARIS 1ER

Mandement de citation
à prévenu

Vu l'article 550 et suivants du code de procédure pénale ;

 

J'ai l'honneur de vous prier de bien vouloir citer à comparaître et, après régularisation de l'exploit, de me le retourner dans un délai maximum de 10 jours :

 

HENIN Patrice
né le 4 juillet 1949 à DAKAR (Sénégal)
29 rue des Meuniers 75012 PARIS
libre
prévenu

 

D'avoir à Paris, en tout cas sur le territoire national, le 1er août 2011 et depuis temps non prescrit, volontairement commis des violences n'ayant pas entraîné d'incapacité totale de travail sur la personne de Mohamed Ali MAHMOUDI, faits prévus par ART.R624-1 AL.1 C. PENAL, et réprimés par ART.R.624-1 AL.1, AL2 C. PENAL.

 

L'audience se tiendra le 18 décembre 2013 à 13H30 devant le Tribunal Correctionnel de Paris 4 Boulevard du Palais 75055 PARIS 1ER – 12ème chambre correctionnelle 1.

Fait au parquet, le 29 octobre 2013
Le procureur de la République
[cachet, signature, pas de nom]

 
 
 
 


Aux dernières nouvelles, le professeur Hervé Taillia n'est pas convoqué comme prévenu et ne sera donc pas condamné.