...
parce que lorsque les
médias se taisent, donc tout est possible, partout.
Une cour de
cassation qui ne casse pas des briques, incompétente, inique, c'est jouable si
les médias se taisent.
Un conseil constitutionnel qui est anticonstitutionnel parce qu'il utilise des faux et de purs et simples mensonges , c'est facile, puisque les décisions du Conseil sont sans recours (article 62 de la constitution). C'est un peu comme si le droit divin était rétabli au coeur de la constitution, mais pas pour être divin.
Un tribunal
correctionnel (12ème chambre/1 du TGI de Paris) qui veut condamner la
victime blessée à vie, l'agresseur étant un indic de la police :
c'est
encore plus facile, non seulement les médias le cachent, mais les gendarmes
sont là pour veiller et expulser de l'audience, en tout devoir de
réserve, acte que je traduis en devoir d'idiotie ou de lâcheté, ou de
complicité active, au choix.
ALORS,
Mme Dominique Simonnot (journaliste du Canard
Enchaîné en charge des procès viciés) :
Merci de
venir assister à mon procès le 18
décembre 2013 à 13H30 pour constater que la 12ème chambre correctionnelle /1 du TGI Paris sait
condamner une victime.
Comme d’habitude (déjà 3 procès politiques, une dizaine
d’audiences !), je serais expulsé par les gendarmes dès que j'ouvrirai la
bouche :
L’affaire,
un 3ème coup monté par les flics aux ordres de l’ex-préfet de police
Michel Gaudin :
Une
interview radio IDFM98 a eu lieu, il existe des médias compatissants (si, si,
tout le monde ne travaille pas au canard très enchaîné) :
Vous
noterez que la CNCCFP (comptes de campagnes) déclare systématiquement
inéligible pour 3 ans les candidats hors partis, dont moi, par décision du
Conseil constitutionnel parce que ses
décisions sont sans recours (article 62 constitution). Il suffit de googler
« journal officiel prénom nom »
pour connaître les malheureux fort démocratiquement « inéligiblés »
:
Vous
noterez aussi qu’une cour de cassation ne vérifie pas la procédure
(absence d'avocat dans ce cas), mais juge que la peine n'est pas assez lourde
en invoquant un article de loi déjà abrogé parce que contraire à la
constitution (618-1 du code de procédure pénale). On s'en fout que la
loi soit abrogée, ça peut servir :
Ce n’est pas grave, aucun média ne signalera cette multitude de détails, surtout pas un journal indépendant comme le Canard Très Enchaîné, ou Médiapart, etc., au service de leurs lecteurs encenseurs, admirateurs du courage de ces journalistes, parce que vraiment trop... disons crédules.
Copie de ce
message est envoyé à tous mes contacts courriels, l'invitation gratuite au
cirque du 4 Bd du Palais à Paris, le 18-12-2013 à 13H30 vaut pour tous
ceux qui s'ennuient.
Surtout
pour les gendarmes, surtout ceux qui sont sur le point de se suicider,
pour leur redonner de l'espoir, leur montrer un exemple de courage.
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