Le 24 mars 2009 à 23h05, la veille de ma convocation pour la première comparution à la police du 14 rue Charles Fourrier 75013 Paris, pour cette plainte en diffamation de Jérôme, je reçois un coup de fil d'un monsieur dont la voix pouvait étre celle de mon frère Jérôme, mais pas sûr.
Un nom inconnu affiché sur l'écran du combiné : Veronique LEB (tronqué, cela pouvait être LEBrun, LEBorgne? etc.).
Je n'avais pas entendu la voix de Jérôme depuis 2006, lorsqu'il m'avait frappé en silence avec un vélo, ce fameux jour d'anniversaire du 23 avril de ma mère.
Auparavant, c'était lors de mon dernier séjour en Floride, en 2003.
- c'est patrice ?
- oui, qui c'est ?
- tu ne reconnais pas ma voix ?
j'y réfléchissais quelques secondes, mais il continue sans attendre :
- t'es mort, Patrice, t'es mort !
J'allais répondre, "ben non, je suis en train de téléphoner, j'peux pas être mort !", mais il avait déjà décroché.
J'étais trop occupé avec cette nouvelle affaire, mais je me suis décidé finalement à porter plainte contre X au commissariat du 35 rue Hénard, où "je suis bien connu des services de police", et que je connais bien moi aussi.
J'ai demandé d'un ton bonhomme des nouvelles de leurs collègues si serviables avec les membres de ma famille, quand j'ai cité le nom d'Emmanuel Perret, une policière s'est écriée "mais c'est mon ami !"
Ah bon, si c'est son ami, c'est sûrement un mec bien, puisqu'il faut supposer qu'elle du bien d'elle-même, comme ses collègues présents.
Ben oui, c'est tous des flics, donc des gens bien, je commence à être insolent, en demandant des nouvelles de ceux qui travaillent avec tant d'empressement pour un prétendu ami de Bouygues !
L'autre policière Ingrid Kafelik, gardien de la paix, qui commençait à préparer ma plainte, se lève à demi pour se rapprocher de mon visage en criant, toujours à demi " et qu'est-ce qui vous fait dire que c'est pour ça !?!".
C'est vrai, il n'est pas beau, Jérôme, mais tant de charisme, de talent.
Personne ne lui résiste.
Je ne répond pas et parle de cette menace de mort annoncée, mais erronée, c'est vrai.
J'étai toujours bel et bien vivant. Affligé d'une nouvelle plainte en diffamation, cette fois, mais tué tout de même.
Ils n'ont pas encore le droit de tuer tout de suite, il leur faut encore faire preuve d'imagination.
Je suis ressorti avec cette plainte :
Un nom inconnu affiché sur l'écran du combiné : Veronique LEB (tronqué, cela pouvait être LEBrun, LEBorgne? etc.).
Je n'avais pas entendu la voix de Jérôme depuis 2006, lorsqu'il m'avait frappé en silence avec un vélo, ce fameux jour d'anniversaire du 23 avril de ma mère.
Auparavant, c'était lors de mon dernier séjour en Floride, en 2003.
- c'est patrice ?
- oui, qui c'est ?
- tu ne reconnais pas ma voix ?
j'y réfléchissais quelques secondes, mais il continue sans attendre :
- t'es mort, Patrice, t'es mort !
J'allais répondre, "ben non, je suis en train de téléphoner, j'peux pas être mort !", mais il avait déjà décroché.
J'étais trop occupé avec cette nouvelle affaire, mais je me suis décidé finalement à porter plainte contre X au commissariat du 35 rue Hénard, où "je suis bien connu des services de police", et que je connais bien moi aussi.
J'ai demandé d'un ton bonhomme des nouvelles de leurs collègues si serviables avec les membres de ma famille, quand j'ai cité le nom d'Emmanuel Perret, une policière s'est écriée "mais c'est mon ami !"
Ah bon, si c'est son ami, c'est sûrement un mec bien, puisqu'il faut supposer qu'elle du bien d'elle-même, comme ses collègues présents.
Ben oui, c'est tous des flics, donc des gens bien, je commence à être insolent, en demandant des nouvelles de ceux qui travaillent avec tant d'empressement pour un prétendu ami de Bouygues !
L'autre policière Ingrid Kafelik, gardien de la paix, qui commençait à préparer ma plainte, se lève à demi pour se rapprocher de mon visage en criant, toujours à demi " et qu'est-ce qui vous fait dire que c'est pour ça !?!".
C'est vrai, il n'est pas beau, Jérôme, mais tant de charisme, de talent.
Personne ne lui résiste.
Je ne répond pas et parle de cette menace de mort annoncée, mais erronée, c'est vrai.
J'étai toujours bel et bien vivant. Affligé d'une nouvelle plainte en diffamation, cette fois, mais tué tout de même.
Ils n'ont pas encore le droit de tuer tout de suite, il leur faut encore faire preuve d'imagination.
Je suis ressorti avec cette plainte :
De PHÉNIx, blog qui renaît toujours de ses censures |
De PHÉNIx, blog qui renaît toujours de ses censures |
De PHÉNIx, blog qui renaît toujours de ses censures Puis la plainte a été classée sans suite. Évidemment, quand on donne le nom qui s'affiche, cela brouille les pistes. J'ai contesté le classement sans suite, il a fallu que je fasse une demande d'aide judiciaire, j'attends encore, en ce 5 mai 2011. |
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