"NOLLE PROSEQUI" est l'expression juridique américaine signifiant "non-lieu", du latin "Aucune poursuite" . Ceci pour votre culture générale, les romains n'ayant jamais envahi les Amériques, seulement une partie de leur civilisation y a été expédiée, après 2 000 ans de voyage.
En sortant d'un "Grand Opening", avec alcools, buffet à volonté et à gogo, offerts aux employés de notre firme, à l'occasion de l'ouverture d'une boîte de nuit immense, j'ai préféré ne pas prendre le volant et laisser un collègue américain, moins imbibé que moi prendre le volant de ma petite "convertible Ford Mustang".
Je me suis retrouvé seul dans la voiture, celle-ci formant une parfaite équerre avec la route, sur l'herbe du bas-côté. Le conducteur "ami" s'était réfugié dans une autre voiture en me laissant seul face à mon destin.
Celui-ci n'a pas tardé à se manifester par l'apparition d'un robot-flic, qui a constaté que je conduisais sous l'influence de l'alcool, assis sur le capot arrière, avec des yeux "d'Alien Resident American" (carte verte), en attendant de décuiter, dans la chaude nuit de Floride, dans un espace-temps où les téléphones portables n'étaient pas répandus.
Longtemps après ma sortie de l'équivalent de notre garde à vue locale, ma petite sœur, avocate américaine, est intervenue pour m'obtenir un non-lieu gratuit et bien mérité :
Un "DUI", Driving Under Influence", est un des pires aspects du rêve américain. Ils considèrent que conduire après avoir bu une ou deux bières aurait pu vous conduire à l'assassinat d'un bébé dans son landau poussé par une gentille grand-mère, et vous jugent comme si cela était arrivé.
Si en France, les juges jugeaient les faits (avant le sarkozysme) et non les hommes, là-bas, déjà, ils jugent et condamnent "comme si c'était fait ! Le parfum d'une bière suffit au robot-flic pour sauver tous les bébés et mémés que vous alliez rencontrer.
Mais ceci n'est pas l'objet de ce morceau choisi.
Le sarkozysme crée d'abord le crime, puis les foudres de la loi s'abattent. Exemple :
-------- Message original --------
Bonsoir M. Hénin,
je me suis un peu penché sur votre histoire et j'y ai trouvé un certain nombre de similitudes avec la mienne.
Nous en arrivons notamment aux mêmes conclusions lorsque vous affirmez que nous ne vivons pas dans un État de Droit et que la justice et les forces de l'ordre sont très étroitement "sous tutelle". Je ne ferai même pas allusion à la corruption qui, dans ce pays, est un véritable sport national et gangrène toutes nos institutions.
Depuis l'article que j'ai fait paraître sur le site LePost.fr où vous avez du me repérer, j'ai mis à jour ma page web après l'avoir un peu remaniée.
Vous la trouverez à une adresse plus simple d'accès :
http://mecenjjn.free.fr
Si vous avez déjà pris connaissance du dossier de presse que j'ai initialement mis en ligne, vous pouvez accéder directement au chapitre VII que j'ai ajouté et qui relate tout ce qui s'est passé depuis le 1er décembre 2009, jour de mon incarcération, en cliquant sur le lien suivant :
http://mecenjjn.free.fr/vigilance2713545478512/pgs/expose_affaire.htm#chapitre7
Le site de secours, pour le cas où celui hébergé chez Free connaîtrait une rupture de service, est directement accessible à l'adresse suivante :
http://vigilancecitoyenne.com
Le renvoi en appel de la révocation de mon sursis dans le cadre de la première procédure a été examiné lundi dernier à 14h15 par la Chambre de l'Application des Peines et j'ai demandé à être auditionné.
J'ai enregistré les débats et les mettrai prochainement en ligne si je parviens à rendre l'enregistrement réalisé avec mon téléphone portable audible. Le jugement a été mis en délibéré et sera prononcé dans un mois. Je suis resté un instant derrière la porte dans le sas de la Cour d'Appel de Rouen après avoir été auditionné.
Je les ai observé par le hublot de la porte : les magistrats discutaient entre eux et se marraient à l'issue de mon passage.
Je fais également le même constat que vous concernant le comportement de la presse, aussi bien à l'échelon local comme à l'échelon national.
Mon bilan personnel est le suivant :
- Le Courrier de l'Eure, invité à s'intéresser à mon affaire le 30/09/09 => aucune réaction
- l'Eure Infos, conviée à assister à mon arrestation le 01/12/09 et à relayer ma grève de la faim enclenchée dès mon premier jour d'incarcération en protestation contre l'arbitraire dont je suis l'objet => aucun article paru dans ses colonnes.
Le journaliste contacté et que j'ai rappelé à l'issue de mon incarcération a trouvé mon affaire trop "complexe".
- Mediapart.fr, informé de mon affaire le 16/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour
- Marianne2.fr, informé de mon affaire le 20/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour
- CharlieHebdo, informé de mon affaire le 20/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour
- le Canard enchaîné, informé de mon affaire le 23/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour.
Mon second courriel m'étant revenu avec la mention "non lu et supprimé", je me suis permis de les appeler pour tenter d'obtenir une explication. Je suis tombé sur une petite dame qui m'a expliqué que mon courriel a peu-être été supprimé suite à une erreur de manipulation et qu'il fallait que je transmette à la journaliste Isabelle BARRÉ une version papier de mon dossier de presse.
Un vrai travail en perspective (il y a plus de cent documents numérisés joints au dossier)
- l'ex-journaliste de Canal+ et fondateur de latelelibre.fr John-Paul Leppers, informé de mon affaire le 26/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour et je n'en reviens pas quand je vois la qualité du travail de ce journaliste.
Une manif anti-prison notamment a eu lieu le 28 mars dernier devant la prison de la Santé et s'est soldée par 110 arrestations. Je n'en ai entendu parler que sur ce site (http://latelelibre.fr/index.php/2010/03/manif-anti-prisons-110-arrestations/).
Des gendarmes manipulables à souhait, des magistrats gracieusement entretenus aux frais du contribuable qui se permettent de prononcer des jugements grossièrement arbitraires avant de vous envoyer en cabane et des journalistes qui désinforment la population, une gentillette petite dictature s'est, à la faveur de l'absence de vigilance du citoyen, mise en place dans ce pays et nous nous préparons des lendemains qui chantent !
Vous avez amplement raison, il est grand temps de placer nos institutions sous le contrôle du Peuple. Il ne reste plus à ce dernier qu'à être en mesure de surmonter sa trouille, et vu les réactions de mon entourage, je vous affirme que ce n'est pas gagné !
Je ne vous dis pas bon courage, je vous dis plutôt unissons-nous et continuons le combat.
Très cordialement,
J-J N
P.S. : j'ai failli oublié le plus beau : la Ligue des Droits de l'Homme, régulièrement informée de l'évolution de mon affaire depuis le 07/05/09, son président M. Jean-Pierre DUBOIS ayant personnellement été invité à se pencher sur mon dossier au cours de mon incarcération =>
cette Ligue n'a jamais été en mesure de me conseiller et ne m'est depuis le premier jour d'aucune utilité.
Bonne nuit à vous quand même.
En sortant d'un "Grand Opening", avec alcools, buffet à volonté et à gogo, offerts aux employés de notre firme, à l'occasion de l'ouverture d'une boîte de nuit immense, j'ai préféré ne pas prendre le volant et laisser un collègue américain, moins imbibé que moi prendre le volant de ma petite "convertible Ford Mustang".
Je me suis retrouvé seul dans la voiture, celle-ci formant une parfaite équerre avec la route, sur l'herbe du bas-côté. Le conducteur "ami" s'était réfugié dans une autre voiture en me laissant seul face à mon destin.
Celui-ci n'a pas tardé à se manifester par l'apparition d'un robot-flic, qui a constaté que je conduisais sous l'influence de l'alcool, assis sur le capot arrière, avec des yeux "d'Alien Resident American" (carte verte), en attendant de décuiter, dans la chaude nuit de Floride, dans un espace-temps où les téléphones portables n'étaient pas répandus.
Longtemps après ma sortie de l'équivalent de notre garde à vue locale, ma petite sœur, avocate américaine, est intervenue pour m'obtenir un non-lieu gratuit et bien mérité :
Un "DUI", Driving Under Influence", est un des pires aspects du rêve américain. Ils considèrent que conduire après avoir bu une ou deux bières aurait pu vous conduire à l'assassinat d'un bébé dans son landau poussé par une gentille grand-mère, et vous jugent comme si cela était arrivé.
Si en France, les juges jugeaient les faits (avant le sarkozysme) et non les hommes, là-bas, déjà, ils jugent et condamnent "comme si c'était fait ! Le parfum d'une bière suffit au robot-flic pour sauver tous les bébés et mémés que vous alliez rencontrer.
Mais ceci n'est pas l'objet de ce morceau choisi.
Le sarkozysme crée d'abord le crime, puis les foudres de la loi s'abattent. Exemple :
-------- Message original --------
Sujet: | Re: Une certaine idée de la France |
---|---|
Date : | Sat, 22 May 2010 03:34:27 +0200 |
De : | J-J N |
Pour : | patrice.henin@free.fr, patrice.henin@gmail.com |
Bonsoir M. Hénin,
je me suis un peu penché sur votre histoire et j'y ai trouvé un certain nombre de similitudes avec la mienne.
Nous en arrivons notamment aux mêmes conclusions lorsque vous affirmez que nous ne vivons pas dans un État de Droit et que la justice et les forces de l'ordre sont très étroitement "sous tutelle". Je ne ferai même pas allusion à la corruption qui, dans ce pays, est un véritable sport national et gangrène toutes nos institutions.
Depuis l'article que j'ai fait paraître sur le site LePost.fr où vous avez du me repérer, j'ai mis à jour ma page web après l'avoir un peu remaniée.
Vous la trouverez à une adresse plus simple d'accès :
http://mecenjjn.free.fr
Si vous avez déjà pris connaissance du dossier de presse que j'ai initialement mis en ligne, vous pouvez accéder directement au chapitre VII que j'ai ajouté et qui relate tout ce qui s'est passé depuis le 1er décembre 2009, jour de mon incarcération, en cliquant sur le lien suivant :
http://mecenjjn.free.fr/vigilance2713545478512/pgs/expose_affaire.htm#chapitre7
Le site de secours, pour le cas où celui hébergé chez Free connaîtrait une rupture de service, est directement accessible à l'adresse suivante :
http://vigilancecitoyenne.com
Le renvoi en appel de la révocation de mon sursis dans le cadre de la première procédure a été examiné lundi dernier à 14h15 par la Chambre de l'Application des Peines et j'ai demandé à être auditionné.
J'ai enregistré les débats et les mettrai prochainement en ligne si je parviens à rendre l'enregistrement réalisé avec mon téléphone portable audible. Le jugement a été mis en délibéré et sera prononcé dans un mois. Je suis resté un instant derrière la porte dans le sas de la Cour d'Appel de Rouen après avoir été auditionné.
Je les ai observé par le hublot de la porte : les magistrats discutaient entre eux et se marraient à l'issue de mon passage.
Je fais également le même constat que vous concernant le comportement de la presse, aussi bien à l'échelon local comme à l'échelon national.
Mon bilan personnel est le suivant :
- Le Courrier de l'Eure, invité à s'intéresser à mon affaire le 30/09/09 => aucune réaction
- l'Eure Infos, conviée à assister à mon arrestation le 01/12/09 et à relayer ma grève de la faim enclenchée dès mon premier jour d'incarcération en protestation contre l'arbitraire dont je suis l'objet => aucun article paru dans ses colonnes.
Le journaliste contacté et que j'ai rappelé à l'issue de mon incarcération a trouvé mon affaire trop "complexe".
- Mediapart.fr, informé de mon affaire le 16/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour
- Marianne2.fr, informé de mon affaire le 20/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour
- CharlieHebdo, informé de mon affaire le 20/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour
- le Canard enchaîné, informé de mon affaire le 23/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour.
Mon second courriel m'étant revenu avec la mention "non lu et supprimé", je me suis permis de les appeler pour tenter d'obtenir une explication. Je suis tombé sur une petite dame qui m'a expliqué que mon courriel a peu-être été supprimé suite à une erreur de manipulation et qu'il fallait que je transmette à la journaliste Isabelle BARRÉ une version papier de mon dossier de presse.
Un vrai travail en perspective (il y a plus de cent documents numérisés joints au dossier)
- l'ex-journaliste de Canal+ et fondateur de latelelibre.fr John-Paul Leppers, informé de mon affaire le 26/11/09 et relancé le 19/05/10 => aucune réaction à ce jour et je n'en reviens pas quand je vois la qualité du travail de ce journaliste.
Une manif anti-prison notamment a eu lieu le 28 mars dernier devant la prison de la Santé et s'est soldée par 110 arrestations. Je n'en ai entendu parler que sur ce site (http://latelelibre.fr/index.php/2010/03/manif-anti-prisons-110-arrestations/).
Des gendarmes manipulables à souhait, des magistrats gracieusement entretenus aux frais du contribuable qui se permettent de prononcer des jugements grossièrement arbitraires avant de vous envoyer en cabane et des journalistes qui désinforment la population, une gentillette petite dictature s'est, à la faveur de l'absence de vigilance du citoyen, mise en place dans ce pays et nous nous préparons des lendemains qui chantent !
Vous avez amplement raison, il est grand temps de placer nos institutions sous le contrôle du Peuple. Il ne reste plus à ce dernier qu'à être en mesure de surmonter sa trouille, et vu les réactions de mon entourage, je vous affirme que ce n'est pas gagné !
Je ne vous dis pas bon courage, je vous dis plutôt unissons-nous et continuons le combat.
Très cordialement,
J-J N
P.S. : j'ai failli oublié le plus beau : la Ligue des Droits de l'Homme, régulièrement informée de l'évolution de mon affaire depuis le 07/05/09, son président M. Jean-Pierre DUBOIS ayant personnellement été invité à se pencher sur mon dossier au cours de mon incarcération =>
cette Ligue n'a jamais été en mesure de me conseiller et ne m'est depuis le premier jour d'aucune utilité.
Bonne nuit à vous quand même.
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