Citoyen Jean-Claude Marin,
je vous accuse de corruption, de complicité d'escroqueries (1), de barbarie et de 5 autres violations des droits de l'homme à mon encontre (2).
Je dispose de toutes les preuves qui démontrent que vous ne reculez pas devant les actes les plus insensés, quitte à faire perdre son sens à la justice, pour servir vos maîtres, fussent-ils des escrocs.
Des preuves d'autant plus indéniables qu'elles sont de vos mains, Marin.
Quant à la justice instaurée par la République, elle est tellement gênante pour vous et vos pseudo-juges, que vous êtes obligés de travestir la vérité par tous les moyens.
Avec l'insouciance de l'impunité, vous pratiquez la diffamation comme bouclier, vous créez des faux comme glaives, avec pour objectif l'ignominie.
Pourquoi ?
Les français doivent savoir.
En vous fondant sur un rapport de police rédigé à l'aide de faux témoignages policiers, vous avez fait montre d'une rare imbécillité (3).
Tellement il est évident que la personne qui portait plainte pour coups et blessures était l'agresseur, et non la victime. Cet aveuglement étrange vous condamne.
Au bout de trois ans de procédure construite par ces faux, de ridicules et maladroits témoignages de policiers, après avoir demandé à l'expert-psychiatre Marie-Elisabeth Meyer-Buisan de me déclarer "dangereux, à soigner", vous avez placé la pauvre juge des peines et libertés Catherine BARES dans une situation qui tient de la folie :
Vos juges véreux (4) me convoquent le 7 septembre 2007 pour me juger le 5, sans avocats, ni au TGI ni en appel. Ils m'ont condamné à 3 obligations délirantes, sous peine de faire 6 mois de prison :
1) Fournir des justificatifs de soins médicaux, sans préciser lesquels. Il semblerait que l'on ait renoncé à parler de dangerosité à mon sujet, vu mon état de santé.
Marin, je suis atteint d'un grave emphysème et d'une bronchite chronique. Attaquer quelqu'un me pose plus infiniment plus de problèmes que d'attaquer un escalier.
2) Je dois trouver un logement et y fixer résidence.
Marin, je suis locataire de mon appartement depuis 28 ans.
3) Je suis condamné à trouver un travail.
Marin, après avoir travaillé toute ma vie, je suis handicapé reconnu inapte au travail depuis 2001.
De plus, au moment où Barés me convoque pour me faire exécuter mes 3 obligations, aujourd'hui, je suis retraité.
Grâce à vos forfaitures, la France n'est plus un état de droit.
Le Palais de justice est devenu votre cirque, la risée du monde qui me lit, notre honte d'être français.
Les avocats sont tout simplement priés de ne pas vous défendre sous peine d'être suspendus, voire radiés !
Je demande votre arrestation immédiate, et votre jugement par un jury populaire.
Que toute la lumière soit faite sur vos crimes et ceux que vous servez, ou qui vous ont servi dans cette affaire.
J'exige la réhabilitation immédiate de mon honneur et que, vu la gravité de tels faits, des sanctions vraiment exemplaires et des dispositions soient prises afin que nul ne puisse jamais utiliser la force publique et les institutions de la justice à des fins aussi puériles que futiles (faire plaisir à une relation de Bouygues !) et barbares (faire interner quelqu'un pour permettre la captation d'héritage et protéger un escroc).
Une enquête rapide confirmera mes accusations et le personnel dont les noms suivent doivent expliquer leurs motifs, qui n'ont rien à voir avec la recherche de la justice.
Nul ne doit s'y opposer.
J'en appelle à la Cour Européenne des Droits de l'Homme, et lui demande de passer en urgence ma requête 32405/08.
Nul ne peut s'y opposer.
Il faut restaurer la justice en France, mon affaire démontre le pourquoi et le comment.
Patrice Hénin
2) La Cour Européenne a accepté ma requête (32405/08. Délai : 4 ans !) contre l'état français, pour atteinte à :
- article 5 : droit à la liberté et à la sûreté
- article 6 : droit à un procès équitable
- article 4 : l'interdiction de l'esclavage et du travail forcé
- article 8 : droit au respect de la vie privée et familiale
- article 10 : liberté d'expression
- article 13 : droit à un recours effectif
- article 14 : interdiction de discrimination
- article 5 : droit à la liberté et à la sûreté
- article 6 : droit à un procès équitable
- article 4 : l'interdiction de l'esclavage et du travail forcé
- article 8 : droit au respect de la vie privée et familiale
- article 10 : liberté d'expression
- article 13 : droit à un recours effectif
- article 14 : interdiction de discrimination
3) Unité Police Quartier PICPUS, 30-32 rue Hénard Paris XII, le 23/04/2006 N° PV initial : 2006/006272 :
Cdt Jean-Robert BERNARD, lt Emmanuel Perret, brigadier-chef Frédéric Dugat, gardien de la paix Rachid Amar, lt Arnaud Mounier, gardienne de la paix Virginie Crouzy, gardien de la paix Stéphane Mezencev
4) Mme Guyot, déléguée auprès du procureur de la République de Paris, Maison de la Justice et du Droit, 15-17 rue du Buisson Saint-Louis 75010 Paris (01 53 38 61 81)
5) 16ème chambre correctionnelle :
A l'audience du 5 septembre 2007, 9 heures, 16eme chambre/2, le tribunal était composé de :
Président : MME. Anne-Marie BEAUGUION vice-présidente
Ministère Public : MME. Véronique DEGERMANN vice-procureur de la République
Greffier : MME. Charlotte GALANT
Président : MME. Anne-Marie BEAUGUION vice-présidente
Ministère Public : MME. Véronique DEGERMANN vice-procureur de la République
Greffier : MME. Charlotte GALANT
Me Augustin Kemadjou, absent
Experte-psychiatre Marie-Elsabeth Meyer-Buisan
10ème cour d'appel :
Président : Madame MORAT,
Conseillers : Monsieur FRANCHI,
Madame SCHOONWATER,
greffier Monsieur FENOGLI
avocat général Madame VICHNIEVSKY
Me Béatrice Zareczky Weinberg, absente
Conseillers : Monsieur FRANCHI,
Madame SCHOONWATER,
greffier Monsieur FENOGLI
avocat général Madame VICHNIEVSKY
Me Béatrice Zareczky Weinberg, absente
– omettre de produire certaines pièces probantes de leur défense,
– accepter de ne pas répondre à certains arguments fallacieux de la partie adverse,
– ou tout simplement ne pas présenter « pour accord », les conclusions à leur client, afin de mettre ces derniers, devant le fait accompli, en audience.
Je confirme, également, que les sanctions prises à l’égards des rares avocats rebelles, sont particulèrement graves, aussi bien en matière de déontologie que d’économie. Ces sanctions vont de la suspension provisoire, à la radiation, en cas de « récidive ».
On peut comprendre pourquoi les avocats insoumis se font si rares.
A mon sens, le seul moyen de prévenir ces dérives, est de centraliser la représentation de l’Ordre, au seul plan national. Les siègeants du Comité de Discipline, préconisé par Monsieur DELOMPRE, seraient des représentants de l’Ordre, associés à de simples citoyens volontaires ( à définir les conditions de recrutement). Les économies de charges de fonctionnement, serviraient à financer le dit Comité de Discipline. Les litiges, et autres difficultés liées à la défense, les Conseils de Discipline, seraient, ainsi, gérés par une équipe hétérogène, non régionale, et de ce fait, moins influençable, donc plus équitable.
-->
En parenthèse, je suis particulièrement stupéfait de constater que les recours devant la Cour d’Appel, concernant ces suspensions d’avocat, soient systématiquement écartés. Mais c’est un autre problème qui pourrait venir devant une autre commission, en vue de la réforme de la magistrature.
En ce qui concerne les attributions de dossiers aux avocats commis d’office, il est parfaitement anormal de réserver ce pouvoir aux bâtonniers. Il y a, de cette manière, effectivement, une incitation à accorder ou refuser selon la gratitude. Il serait tellement plus simple et équitable, de suivre, rigoureusement, une liste d’avocat inscrits. Et de n’en revenir au début que lorsqu’elle est achevée.
Il m’est difficile d’admettre que certains avocats refusent de prendre un dossier sérieux, au seul prétexte que le justiciable soit bénéficaire de l’AJ . Le Comité de Discipline pourrait sanctionner.
Le budjet de l’AJ doit, effectivement être surveillé. Les bénéficiaires de cette aide, ne peuvent en aucun cas abuser pour lancer des procédures tous azimuts. Le rôle du Conseil est certainement de prévenir, autant que possible, les déviances. En cas de litige, le demandeur peut toujours recourir au Comité de Discipline..."
En ce qui concerne les attributions de dossiers aux avocats commis d’office, il est parfaitement anormal de réserver ce pouvoir aux bâtonniers. Il y a, de cette manière, effectivement, une incitation à accorder ou refuser selon la gratitude. Il serait tellement plus simple et équitable, de suivre, rigoureusement, une liste d’avocat inscrits. Et de n’en revenir au début que lorsqu’elle est achevée.
Il m’est difficile d’admettre que certains avocats refusent de prendre un dossier sérieux, au seul prétexte que le justiciable soit bénéficaire de l’AJ . Le Comité de Discipline pourrait sanctionner.
Le budjet de l’AJ doit, effectivement être surveillé. Les bénéficiaires de cette aide, ne peuvent en aucun cas abuser pour lancer des procédures tous azimuts. Le rôle du Conseil est certainement de prévenir, autant que possible, les déviances. En cas de litige, le demandeur peut toujours recourir au Comité de Discipline..."
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NOTE de dernière minute, 20 octobre 09 :
Le texte ci-dessus a été remis ce jour au greffe de la 11ème chambre du Palais de justice.
Il était trop tard pour m'inscrire comme témoin dans le procès Clearstream, où le procureur de sa république Marin est avocat général, pour lire cette accusation à la barre. Je m'y étais préparé, et j'avais l'intention de préciser que Marin n'a pas sa place dans un Palais de justice, mais en-dessous, au dépôt.
Où alors ce n'est plus un Palais de justice, mais un Palais de la Honte.
C'est malheureusement le cas.
oooOooo
Autres cas délirants d'injustice :
Avis à la population : contrefaçon de dossier, protection de petit mafieux, déni de droit et corruption de fonctionnaires sur la juridiction d'Evreux (27000) :
http://vigilancecitoyenne.com
N'attendez pas d'être victime de ce système hors-la-loi pour engager la lutte.
JJN.
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Quelques pécisions sur la carrière d'un lèche-cul :
A diffuser largement. Merci.
Pour que nous sachions à qui nous avons affaire avec Jean-Claude Marin qui a été promu en qualité de procureur général près la Cour de Cassation par Sarkozy, le 27 juillet 2011, nous avons constitué un dossier de 34 pages que vous trouverez en pièce jointe, ainsi que ses dernières mutations pour services rendus à SARKOZY et ce au détriment du Peuple Français.
Jean-Luc Marin est le Procureur de Paris qui était au Parquet de Paris lorsque Nicolas SARKOZY s'est marié dans la clandestinité à l'Elysée.
C'est certainement lui qui lui a donné l'autorisation de se marier à l'Elysée dans la clandestinité et qui lui a donné les moyens de ne pas publier les bans en Mairie.Donc de cacher sa véritable identité.
Vous verrez que tout en connaissant la véritable identité de Nicolas SARKOZY, il est intervenu tout au long de l'affaire Clearstream, dans laquelle justement est apparue l'utilisation des doubles patronymes portés par SARKOZY, sans jamais le dénoncer sur sa véritable identité et que bien au contraire, il s'est acharné sur Dominique de Villepin.
Vous verrez que tout en connaissant la véritable identité de Nicolas SARKOZY, il est intervenu tout au long de l'affaire Clearstream, dans laquelle justement est apparue l'utilisation des doubles patronymes portés par SARKOZY, sans jamais le dénoncer sur sa véritable identité et que bien au contraire, il s'est acharné sur Dominique de Villepin.
Voilà comment ils se couvrent tous, sur la base des secrets bien gardés.
Vous remarquerez qu'il a bénéficié de 3 promotions :
1 - le 27 juillet 2011 : mutation-promotion en tant que Procureur Général auprès de la Cour de Cassation,
2 - le 2 avril 2010 : promotion à l'ordre du mérite national - légion d'honneur, et
3- le 1 février 2012 : nomination en qualité de directeur administratif du Palais de Justice de Paris. Sans doute pour avoir rendu des services à Nicolas SARKOZY;
Ci-dessous le descriptif du dossier joint : La croisade politique de Jean-Claude MARIN en faveur de l’UMP et de Nicolas SARKOZY - Mariage dans la clandestinité, affaire Clearstream
La croisade politique de Jean-Claude MARIN en faveur de l’UMP et de Nicolas SARKOZY - Mariage dans la clandestinité, affaire Clearstream
Dossier : Jean-Claude MARIN – Procureur Général près de la Cour de Cassation
1 - La croisade politique de Jean-Claude MARIN en faveur de l’UMP et de Nicolas SARKOZY
2 - Les promotions politiques providentielles pour services rendus à Nicolas SARKOZY
3 - Mariage de SARKOZY dans la clandestinité
4 – Affaire Clearstream – Jean-Claude Marin et apparition de l’usage du double patronyme de Sarkozy
4 – Affaire Clearstream – Jean-Claude Marin et apparition de l’usage du double patronyme de Sarkozy
5 – Chronologie de l’affaire Clearstream – L’express
6 – Les grandes dates de l’affaire Clearstream – Le monde
7 – L’affaire Clearstream racontée à un employé de DAEWOO – Vidéos
8 – Biographie de Jean-Claude Marin
Avis à la population : contrefaçon de dossier, protection de petit mafieux, déni de droit et corruption de fonctionnaires sur la juridiction d'Evreux (27000) :
RépondreSupprimerhttp://vigilancecitoyenne.com
N'attendez pas d'être victime de ce système hors-la-loi pour engager la lutte.