dimanche 4 juin 2006

2010 14 juillet Prière aux parachutistes

Ce livre électronique inachevé est en vente 3,99€ chez Lulu.com : http://www.lulu.com/product/ebook/phenix/18497384

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Prière aux parachutistes, déposée dans le forum des Forces Spéciales, "sous-forum "unités françaises", et envoyée à la plupart des régiments par voie postale.

8ème RPIMA Quartier Fayolle
Avenue Desplats
81100 Castres
Téléphone : 05.63.62.55.99

E-Mail :
bcrp@rpima8.terre.defense.gouv.fr

PRIERE DU PARACHUTISTE,
lue par un ancien camarade de combat lors des obsèques du commandant Gilbert Hénin,
en la Chapelle Impériale de l'hôpital Bégin.
Les porte-drapeaux de l'ANAP, des Médaillés Militaires, lui ont rendu les derniers honneurs...
Le porte-drapeau de la Légion d'Honneur n'est pas venu, il n'était pas à jour de ses cotisations, signe des temps...
Gilbert Hénin était le plus décoré de son régiment, le 1er RPIMA : Médaille Militaire, du mérite, Légion d'Honneur, Croix de guerre française, des Pays-Bas, du Laos...


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Il décède sans avoir touché son important rappel de pension d'invalide de guerre, alors que ses anciens camarades de combat avaient tous gagné leur procès contre l'Etat.

Il laisse une veuve et 3 enfants, l'aîné Patrice, handicapé proche de la retraite, son frère, Jérôme, sa sœur, Catherine.
Ces deux derniers vivent en Floride, l'un promoteur immobilier, ancien dirigeant de Bouygues Immobilier, et l'autre attorney (avocate).

Madame Renée Hénin est seule héritière de par son mariage matrimonial, sans droits pour les enfants.
Elle hérite d'un appartement (325 000$), deux terrains (2 X 5000$) et un compte bancaire en Floride 175000$), d'un appartement à Paris, un autre à Saint-Jean-de-Monts.

Côté États-Unis, Jérôme convoite la fortune de sa mère. Pour que l'aîné ne puisse s'y opposer, il décide de le faire interner en utilisant ses puissantes relations chez Bouygues. Cela tombe bien, l'ami de Martin Bouygues, Sarkozy, est élu.
Jérôme, plutôt cynique, envoie même un courriel à Patrice dans lequel il lui écrit avec la certitude de l'impunité : "je te ferai interner le moment venu" !

Chose incroyable, police, expert-psychiatre, chambre correctionnelle, cour d'appel, cour de cassation, établissent des faux témoignages, jugent Patrice en son absence et sans avocats, en lui refusant à chaque fois l'aide juridictionnelle à laquelle il a droit, à cause de ses faibles ressources d'handicapé aux poumons à moitié détruits par 45 ans de tabagisme.

Il a suffit à Jérôme de prendre l'avion pour venir frapper son frère. Puis il est rentré dans un commissariat du XIIème à Paris, pour porter plainte pour coups et blessures !
Lorsque Patrice s'y est présenté pour porter plainte, il a été traité comme un criminel, les policiers et la déléguée du procureur de la République, Mme Françoise Guyot, n'ont pas voulu tenir compte de sa plainte.

Madame Renée Hénin a versé 3000€ à l'avocat Me Louis Boré, docteur en droit, pour continuer à réclamer la pension d'invalidité au dernier recours, le Conseil d'Etat. Celui-ci lui donne raison, et ordonne au ministère de la défense, en la personne du colonel Gilles Castel, non pas de la rembourser, mais de lui faire signer un "porte-fort" l'obligeant à partager ces 3000€ avec ses enfants, en ignorant délibérément son statut matrimonial ! Lorsqu'elle téléphone, écrit, à ce colonel, celui menace de ne rien verser du tout si elle ne signe pas le partage !
Patrice Hénin téléphone à ce Gilles Castel qui lui raccroche au nez, puis lui renvoie sa lettre recommandée sans l'ouvrir.

Lorsque madame Hénin reçoit en mai 2010 le décompte de la liquidation de la pension établit par le Tribunal des Pensions d'Invalidité de guerre (19545€), l'Office National des Anciens Combattants ne répond pas à ses coups de fil, à ses lettres.

Un ancien Français Libre SAS avait lu la prière des parachutistes, lors des obsèques :

Je m'adresse à vous, mon Dieu,
Car vous seul donnez
Ce que l'on ne peut obtenir que de soi.

Donnez-moi, mon Dieu, ce qu'il vous reste,
Donnez-moi ce qu'on ne vous demande jamais.

Je ne vous demande pas le repos
Ni la tranquillité,
Ni celle de l'âme ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la richesse
Ni le succès, ni peut-être même la santé.
Tout ça, mon Dieu, on vous le demande tellement
Que vous ne devez plus en avoir.

Donnez-moi, mon Dieu, ce qu'il vous reste,
Donnez-moi ce que l'on vous refuse.

Je veux l'insécurité et l'inquiétude,
Je veux la tourmente et la bagarre,
Et que vous me les donniez, mon Dieu,
Définitivement.

Que je sois sûr de les avoir toujours,
Car je n'aurai pas toujours le courage
De vous les demander.

Donnez-moi, mon Dieu, ce qu'il vous reste,
Donnez-moi ce dont les autres ne veulent pas.

Mais donnez-moi aussi le courage
Et la force et la foi.

Car vous seul donnez
Ce qu'on ne peut obtenir que de soi.


Français Libre du SPECIAL AIR SERVICE (SAS).
"Cette prière fut trouvée sur le corps de l’Aspirant Zirnheld, tué en juillet 42, en Libye, au cours d’un raid sur les arrières de l’ennemi.
Elle avait été écrite en avril 1938, alors qu’André Zirnheld était professeur de philosophie au lycée de Tunis. Plus tard, l’Aspirant Zirnheld s’était engagé au 1° Bataillon d’infanterie de marine en Palestine, puis, envoyé à l’École d’aspirants de Brazzaville, il y fut recruté par le Capitaine Bergé qui mettait sur pied les premières compagnies SAS.
A l’origine, ce texte s’intitulait “ Prière ”, mais il fut immédiatement adopté par les parachutistes qui, d’emblée, y retrouvèrent l’écho de leur âme : ce mélange d’abnégation orgueilleuse, de doute et de fureur, de désenchantement et de foi.
Le texte de l’Aspirant Zirnheld exprime en effet aussi parfaitement que possible l’esprit parachutiste.
Et, près d’un demi-siècle plus tard, dans un monde et un environnement différents il n’y a rien à y changer".

Alors aujourd'hui, désemparé, ayant affaire à un État de non droit, ne sachant plus quoi faire, ayant compris que la corruption a atteint un point inimaginable dans ce soit-disant pays des droits de l'homme, les élus, les partis politiques de tous bords et surtout les médias, alertés en vain pendant 4 ans, refusant de réagir :

Patrice Hénin a ré-écrit cette prière, pour exhorter les parachutistes des Forces Spéciales, de défiler drapeau en berne le 14 juillet 2010, si Sarkozy est toujours en fonction, puisque la République n'est plus...

afin que sa mère, qui a partagé aux côtés de son mari les angoisses des guerres passées, puisse encore aimer la France. Fille de chef de gare, elle a vu les mains qui s'agitaient des trains de l'horreur.

Patrice Hénin est atteint d'un grave emphysème,
il perd ses forces petit à petit par manque d'oxygène.
Il avait passé son brevet de parachutiste pré-militaire en 1967, juste pour savoir s'il était capable de franchir une porte déjà ouverte.
Il est maintenant un pré-grabataire, mais doit encore lutter.

Lorsqu'il n'aura plus assez d'air, en toute logique, il n'aura pas besoin de parachute.
Mais justice doit être rendue, à lui et sa mère.

Le droit a été inventé pour remplacer la loi du plus fort, l'épée.
Aujourd'hui, l'argent a remplacé le fer.
1789 et l'abolition des lettres de cachet, des privilèges est à refaire.

Avant de sauter comme son père le fit, sachez qu'il n'y a plus de France reconnaissante, Marianne est violée chaque jour.

Parachutistes, vous tombez de haut, en apprenant tout ceci.
Vous ne pouviez pas imaginer qu'il y a des voleurs qui volent, ces fous, de plus en plus bas dans la bassesse.

Gardes Républicains, ne rendez plus les honneurs, cette république est une horreur.

Paras en guerre, pensez à vos femmes et enfants, qui eux aussi, voudront peut-être continuer à aimer la France.
Le 14 juillet 2010, défilez drapeaux en berne, parce que notre République, pillée par les riches et puissants, n'est plus qu'un butin.


MA PRIÈRE AUX PARAS

Je m'adresse à vous, paras,
Car vous seul pouvez exiger
Ce que je ne peux obtenir de moi seul.

Rendez-nous, soldats, ce qui nous reste,
Rendez-nous ce qui ne se demande jamais.

Je ne vous demande pas le repos
Ni la tranquillité,
Ni celle de l'âme ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la richesse
Ni le succès, ni même la santé.
Tout ça, soldats, j'en manque tellement
Que je ne veux plus le savoir.

Rendez-nous, officiers, ce qu'il nous reste,
Rendez-nous ce que l'on nous refuse.

J'ai l'insécurité et l'inquiétude,
J'ai la tourmente et la bagarre,
Et que vous les partagiez, paras,
Définitivement.

Que je sois sûr de vous avoir toujours,
Car je n'aurai pas toujours la rage
De toujours l'exiger.

Rendez-nous, hommes d'honneur, de ceux qui restent,
Rendez-nous ce que d'autres nous refusent.

Mais donnez-nous aussi la justice
Par la force et la loi.

Car vous seul pouvez
Ce que je ne peux obtenir de moi seul.


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DERNIÈRE MINUTE : "QUI OSE GAGNE"
Le journal Internet "Le Post" a osé publier ma prière aux parachutistes :
http://www.lepost.fr/article/2010/07/08/2144953_sarkozy-vole-les-pension-de-veuves-de-guerre-au-profit-d-un-homme-de-bouygues.html


Au suivant, visitez le "forum des Forces Spéciales", sous-forum "Unités françaises"

Ségolène Royal vient de m'envoyer une lettre d'encouragement, je compte la publier. Mais pas de chèque dans l'enveloppe, juste "... j'espère que votre combat pourra un jour aboutir...". Mais pourquoi son avocat jean-Pierre Mignard, informé depuis 2007, ne me contacte-t-il pas ?
La situation exige des actes, immédiats, pas des mots.
ooooOoooo

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