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Les conseilleurs d'Etat ne sont pas les payeurs, d'accord, mais voici l'une des raisons pour lesquelles je "dois être soigné en hospitalisation d'office" après une parodie de justice digne de l'inquisition.
Si le droit a été inventé pour remplacer le droit du plus fort, l'épée pour un butin, aujourd'hui l'argent a remplacé le fer.
1789 est à refaire.
Ma mère est la seule héritière de feu son mari, sans droits pour les enfants.
Difficile de capter un tel héritage.
Eh bien, non, pas au XXIème siècle en France.
Pas lorsque l'un des enfants sur les 3 a été introduit dans le milieu brumeux des hommes de main du groupe Bouygues Immobilier, pour trimbaler des valises de billets.
Pas lorsque la petite dernière est devenue avocate et ensuite attorney en Floride.
Quant à l'aîné, rédacteur de ces lignes, trop honnête et osant éprouver de l'affection pour celle qui lui a donné la vie, il est facile de s'en débarrasser.
Il suffit de faire appel à ses relations dans le monde de corrompus qui dirigent ce pays et qui feront appel à la justicerie (anciennement "Justice").
Vous avez constaté en lisant ce livre électronique qu'avec l'aide de la police, puis de la justicerie, on cherche absolument à me faire interner en psychiatrie, avec faux en écriture publique, expertise psychiatrique sur commande avec feuille de route pour la célèbre experte-psychiatre Marie-Elisabeth Meyer-Buisan.
Personne, moi compris, ne savait toujours pas pourquoi.
Me faire interner, c'était peut-être une pure marque de sympathie fraternelle mais gratuite. Sans intérêt. Ça ne rapporte rien, ça coûte même des frais d'avocat.
Mais je me souviens de quelques détails concernant le combat judiciaire de mon père, officier parachutiste, commencé en 1987, pour obtenir la revalorisation de sa pension d'invalide de guerre. Il avait été blessé à Dien Bien Phu, puis avait sauté sur une mine à Madagascar.
Il avait perdu tous ses procès et décède le 17 septembre 2005.
Pendant l'hiver 2006-2007, Jerome Henin (pas d'accent, il est devenu américain et vit en Floride à une rue de chez sa soeur) avait demandé à sa mère de participer aux frais de son avocate, alors qu'elle était là pour les fêtes en Floride, essayant de se persuader qu'elle était chez ses enfants affectueux.
Jerome Henin lui dit, devant mon neveu, "tu pourrais participer aux frais d'avocat, quand même", d'un air de grand sauveur qui se coltine tout le travail.
Jerome Henin se persuade lui-même et les "siens" qu'il fait le bien de tous. Cela l'encourage à aller encore plus loin. Mais faire participer aux frais ses victimes, c'est impayable ! J'ai beaucoup d'admiration pour lui. Je ne dis pas cela parce qu'il est mon frère, je constate !
Je ne sais pas s'il a vraiment compris pourquoi cela lui avait valu une virulente colère maternelle, ponctuée d'une gifle.
Il voulait aussi prouver devant son fils que j'étais un oncle d'Europe abominable, qui devait être châtié à distance, en utilisant sa télécommande Martin Bouygues. En essayant de lui faire croire que ma mère partageait son courroux et qu'elle me poursuivait en justice ! Raté.
Raté aussi pour mon neveu. Il paraît qu'il attend avec impatience ses 18 ans (octobre 2010) pour aller vivre chez sa mère, où il va déjà constamment. Il fuit le millionnaire pour aller chez la "petite gens" maternelle, en attendant de voler de ses propres ailes. Sans voler personne, lui.
Pour s'attribuer cette future revalorisation de pension d'invalidité de guerre, Jerome Henin (ci-après appelé "l'Innommable") préparait son coup depuis 16 ans. Il avait même reçu en Floride un futur retraité du centre des pensions militaires, du Centre de La Rochelle, qui cherchait une maison en Floride pour sa retraite.
Il a sauté sur l'occasion.
L'Innommable s'était empressé de rencontrer ce monsieur, en 1996. J'étais en Floride à cette époque.
Ce monsieur, probe, n'a jamais voulu revoir l'Innommable.
Mon père, probe, était furieux de cette ingérence dans ses affaires, de cette tentative de corruption : "cela me dessert plutôt qu'autre chose, ce ne sont pas des businessmen les gens de la Rochelle, ils évaluent ce que vaut une vie avec des morceaux de chair en moins, avec des tissus de soi en moins.".
L'Innommable pense peut-être que toucher un pension d'invalidité à la place de son père est plus juste, puisqu'il est de sa chair, pas sa mère.
Mais cela n'explique pas pourquoi il s'intéresse à une petite somme estimée à 23 000€, lui qui était déjà millionnaire.
A La Rochelle, ils traduisent la souffrance en argent. Jerome ne pouvait que rater son coup, c'est un aveugle dans ce monde de guerriers et de femme de soldat.
Après le décès du père, la veuve donne 3 000€ à Me Louis Boré, docteur en droit, pour qu'il continue le procès en Conseil d'Etat. Il gagne.
Mais curieusement, le ministère de la défense est condamné à rembourser les frais d'avocat, ces 3 000€, puis la régularisation de la pension d'invalide de guerre, aux ayants droits de la succession qui incluent illégalement les 3 enfants.
Il m'a fallu du temps pour comprendre l'incroyable, mais faire signer à la mère un document qu'elle n'avait aucune raison de signer, comme s'engager par écrit à toucher cette pension à condition d'en reverser leur part aux autres ayant-droits, ses enfants.
Comme elle est la seule ayant droit, signer sans raison était preuve qu'elle n'avait pas toute sa raison.
Et voilà, toutes les raisons de clamer qu'elle est incapable de gérer ses biens, document signé sous pressions téléphoniques, est une bonne occasion d'envisager sérieusement de la mettre sous curatelle renforcée, donc de gérer l'ensemble de ses biens !
Facile. L'astuce paraissant incroyable et un peu alambiquée, elle avait toutes les chances de passer, d'être difficile à imaginer.
Plus c'est incroyable, plus c'est difficile à expliquer, plus ça passe.
C'est l'une des techniques de la justicerie moderne.
On ne met pas la main sur une fortune de 600 000$ + 2 appartements en France sans un peu d'imagination et de bonnes relations, le tout magouillé dans un état pourri.
On y va, voici le déroulement des faits.
Me Louis Boré a demandé à ma mère, à l'époque de la constitution du dossier, la liste de ses enfants et non pas de ses ayant-droits, comme il me l'affirme au téléphone.
Ma mère avait pensé qu'il prévoyait tout, vu son âge, les aléas de la vie, comme seul un docteur en droit de cette envergure pouvait le faire. Elle n'avait aucune raison de penser à mal.
Elle lui verse 3 000€ pour aller en Conseil d'Etat pour terminer la demande de feu son mari : la revalorisation de cette pension d'invalide de guerre face au Tribunal de Pension des Arméees.
Me Louis Boré la remercie pour ses 3 000€ par courrier, qu'elle a conservé.
Mais je suis l'empêcheur de voler des ronds.
D'ailleurs j'aurais dû être interné en psychiatrie, opération préliminaire qui a échoué vu ma résistance et "l'incompétence" de la juge des libertés et des peines à l'issue de mon 1er procès (un èeme vient d'être prononcé avec le même but, en octobre 2012).
Ce n'est donc qu'en février 2010 que j'ai compris pourquoi il fallait absolument m'interner.
Voici une lettre de la chambre des notaires qui confirme clairement que ma mère est la seule ayant-droit, sans droits pour les enfants :
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Si le droit a été inventé pour remplacer le droit du plus fort, l'épée pour un butin, aujourd'hui l'argent a remplacé le fer.
1789 est à refaire.
Ma mère est la seule héritière de feu son mari, sans droits pour les enfants.
Difficile de capter un tel héritage.
Eh bien, non, pas au XXIème siècle en France.
Pas lorsque l'un des enfants sur les 3 a été introduit dans le milieu brumeux des hommes de main du groupe Bouygues Immobilier, pour trimbaler des valises de billets.
Pas lorsque la petite dernière est devenue avocate et ensuite attorney en Floride.
Quant à l'aîné, rédacteur de ces lignes, trop honnête et osant éprouver de l'affection pour celle qui lui a donné la vie, il est facile de s'en débarrasser.
Il suffit de faire appel à ses relations dans le monde de corrompus qui dirigent ce pays et qui feront appel à la justicerie (anciennement "Justice").
Vous avez constaté en lisant ce livre électronique qu'avec l'aide de la police, puis de la justicerie, on cherche absolument à me faire interner en psychiatrie, avec faux en écriture publique, expertise psychiatrique sur commande avec feuille de route pour la célèbre experte-psychiatre Marie-Elisabeth Meyer-Buisan.
Personne, moi compris, ne savait toujours pas pourquoi.
Me faire interner, c'était peut-être une pure marque de sympathie fraternelle mais gratuite. Sans intérêt. Ça ne rapporte rien, ça coûte même des frais d'avocat.
Mais je me souviens de quelques détails concernant le combat judiciaire de mon père, officier parachutiste, commencé en 1987, pour obtenir la revalorisation de sa pension d'invalide de guerre. Il avait été blessé à Dien Bien Phu, puis avait sauté sur une mine à Madagascar.
Il avait perdu tous ses procès et décède le 17 septembre 2005.
Pendant l'hiver 2006-2007, Jerome Henin (pas d'accent, il est devenu américain et vit en Floride à une rue de chez sa soeur) avait demandé à sa mère de participer aux frais de son avocate, alors qu'elle était là pour les fêtes en Floride, essayant de se persuader qu'elle était chez ses enfants affectueux.
Jerome Henin lui dit, devant mon neveu, "tu pourrais participer aux frais d'avocat, quand même", d'un air de grand sauveur qui se coltine tout le travail.
Jerome Henin se persuade lui-même et les "siens" qu'il fait le bien de tous. Cela l'encourage à aller encore plus loin. Mais faire participer aux frais ses victimes, c'est impayable ! J'ai beaucoup d'admiration pour lui. Je ne dis pas cela parce qu'il est mon frère, je constate !
Je ne sais pas s'il a vraiment compris pourquoi cela lui avait valu une virulente colère maternelle, ponctuée d'une gifle.
Il voulait aussi prouver devant son fils que j'étais un oncle d'Europe abominable, qui devait être châtié à distance, en utilisant sa télécommande Martin Bouygues. En essayant de lui faire croire que ma mère partageait son courroux et qu'elle me poursuivait en justice ! Raté.
Raté aussi pour mon neveu. Il paraît qu'il attend avec impatience ses 18 ans (octobre 2010) pour aller vivre chez sa mère, où il va déjà constamment. Il fuit le millionnaire pour aller chez la "petite gens" maternelle, en attendant de voler de ses propres ailes. Sans voler personne, lui.
Pour s'attribuer cette future revalorisation de pension d'invalidité de guerre, Jerome Henin (ci-après appelé "l'Innommable") préparait son coup depuis 16 ans. Il avait même reçu en Floride un futur retraité du centre des pensions militaires, du Centre de La Rochelle, qui cherchait une maison en Floride pour sa retraite.
Il a sauté sur l'occasion.
L'Innommable s'était empressé de rencontrer ce monsieur, en 1996. J'étais en Floride à cette époque.
Ce monsieur, probe, n'a jamais voulu revoir l'Innommable.
Mon père, probe, était furieux de cette ingérence dans ses affaires, de cette tentative de corruption : "cela me dessert plutôt qu'autre chose, ce ne sont pas des businessmen les gens de la Rochelle, ils évaluent ce que vaut une vie avec des morceaux de chair en moins, avec des tissus de soi en moins.".
L'Innommable pense peut-être que toucher un pension d'invalidité à la place de son père est plus juste, puisqu'il est de sa chair, pas sa mère.
Mais cela n'explique pas pourquoi il s'intéresse à une petite somme estimée à 23 000€, lui qui était déjà millionnaire.
A La Rochelle, ils traduisent la souffrance en argent. Jerome ne pouvait que rater son coup, c'est un aveugle dans ce monde de guerriers et de femme de soldat.
Après le décès du père, la veuve donne 3 000€ à Me Louis Boré, docteur en droit, pour qu'il continue le procès en Conseil d'Etat. Il gagne.
Mais curieusement, le ministère de la défense est condamné à rembourser les frais d'avocat, ces 3 000€, puis la régularisation de la pension d'invalide de guerre, aux ayants droits de la succession qui incluent illégalement les 3 enfants.
Il m'a fallu du temps pour comprendre l'incroyable, mais faire signer à la mère un document qu'elle n'avait aucune raison de signer, comme s'engager par écrit à toucher cette pension à condition d'en reverser leur part aux autres ayant-droits, ses enfants.
Comme elle est la seule ayant droit, signer sans raison était preuve qu'elle n'avait pas toute sa raison.
Et voilà, toutes les raisons de clamer qu'elle est incapable de gérer ses biens, document signé sous pressions téléphoniques, est une bonne occasion d'envisager sérieusement de la mettre sous curatelle renforcée, donc de gérer l'ensemble de ses biens !
Facile. L'astuce paraissant incroyable et un peu alambiquée, elle avait toutes les chances de passer, d'être difficile à imaginer.
Plus c'est incroyable, plus c'est difficile à expliquer, plus ça passe.
C'est l'une des techniques de la justicerie moderne.
On ne met pas la main sur une fortune de 600 000$ + 2 appartements en France sans un peu d'imagination et de bonnes relations, le tout magouillé dans un état pourri.
On y va, voici le déroulement des faits.
Me Louis Boré a demandé à ma mère, à l'époque de la constitution du dossier, la liste de ses enfants et non pas de ses ayant-droits, comme il me l'affirme au téléphone.
Ma mère avait pensé qu'il prévoyait tout, vu son âge, les aléas de la vie, comme seul un docteur en droit de cette envergure pouvait le faire. Elle n'avait aucune raison de penser à mal.
Elle lui verse 3 000€ pour aller en Conseil d'Etat pour terminer la demande de feu son mari : la revalorisation de cette pension d'invalide de guerre face au Tribunal de Pension des Arméees.
Me Louis Boré la remercie pour ses 3 000€ par courrier, qu'elle a conservé.
Mais je suis l'empêcheur de voler des ronds.
D'ailleurs j'aurais dû être interné en psychiatrie, opération préliminaire qui a échoué vu ma résistance et "l'incompétence" de la juge des libertés et des peines à l'issue de mon 1er procès (un èeme vient d'être prononcé avec le même but, en octobre 2012).
Ce n'est donc qu'en février 2010 que j'ai compris pourquoi il fallait absolument m'interner.
Voici une lettre de la chambre des notaires qui confirme clairement que ma mère est la seule ayant-droit, sans droits pour les enfants :
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CHAMBRE DES NOTAIRES DE PARIS
SEINE-SAINT-DENIS – VAL-DE-MARNE
Le président
Monsieur Patrice HENIN
00 rue secrets bien gardés
75012 Paris
Dossier n° 26C382
C/SCP BEGON BONNEAU HERBERT BOUGEART ET BRULON
Paris le 17 novembre 2006
Monsieur,
Votre courrier non daté est bien parvenu à notre chambre le 17 octobre 2006 et a retenu toute notre attention.
Vous exposez que vous demandez à Maître BRULON d'établir un procès-verbal de difficulté concernant la succession de Monsieur Gilbert Hénin, du fait de griefs que vous auriez à élever à l'encontre de votre Mère et de votre Frère.
A l'examen de ce dossier, j'observe que vos parents avaient changé de régime matrimonial suivant acte reçu par Maître CAUX, notaire à SAINT JEAN DE MONTS, le 16 septembre 1994, homologué suivant ordonnance rendue par le Tribunal de Grande Instance des Sables d'Olonnes le 6 février 1995, le régime adopté étant la communauté universelle de biens avec stipulation d'une clause d'attribution intégrale de la communauté au conjoint survivant.
Je vous rappelle, pour vous citer, que vous avez donné votre accord en 1994 à ce changement de régime matrimonial ainsi que votre frère et votre soeur.
La conséquence principale de ce régime est qu'à ce jour que votre Mère se trouve être seule propriétaire de la totalité des biens meubles et immeubles, sans droits pour les enfants.
Il n'y a donc pas lieu à partage de la succession et la seule mission de Maître BRULON est d'établir un acte de notoriété constatant cela.
Par ailleurs, concernant l'existence d'un testament aux Etats-Unis, Maître BRULON m'a confirmé n'en avoir jamais été informé par votre Mère et ne pas posséder une copie de ce document.
En conséquence, ce dernier ne saurait établir le procès-verbal de difficulté que vous souhaitez, n'ayant pas lieu à liquidation de la succession.
Aussi, si vous estimez devoir vous pourvoir en justice contre votre Mère ou/et votre Frère, je ne saurais que vous conseiller de vous adresser à un avocat de votre choix.
Espérant avoir répondu à vos questions,
je vous prie de croire, Monsieur, en l'expression de mes sentiments distingués.
Pour le Président
Par délégation
[signature, pas de nom]
Membre de la Commission de Déontologie.
Chambre interdépartementale des notaires de Paris, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne
12 avenue Victoria, 75001 Paris – TEL : 01 44 82 24 00 – FAX : 01 44 82 24 10
Internet : http://www.paris-notaires.fr
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République française
MINISTÈRE DE LA DÉFENSE
SGA
secrétariat général pour l'administration
Direction des affaires juridiques
sous-direction du contentieux
Bureau du contentieux de la fonction militaire
Dossier suivi par mme CHAMBAUD
téléphone : 01 45 52 58 46
Télécopie : 01 45 52 55 40
Paris, le 09 février 2010
Madame,
Par lettre du 29 janvier 2010, votre conseil, maître Louis Boré, m'a adressé un relevé d'identité bancaire à votre nom.
Par arrêt du 3 décembre 2009, la cour régionales des pensions de Paris m'a condamné à verser la somme de 3 000€ aux ayants droits de M. HENIN.
Pour me permettre de faire procéder à ce paiement, j'ai l'honneur de vous demander de bien vouloir renseigner la lettre porte-fort ci-jointe.
Il conviendra, également, de faire renseigner l'autorisation porte-fort par chacun des ayants droits de M. HENIN : M. Patrice HENIN, M. Jérôme HENIN et Mme Catherine HENIN.
Dès réception des pièces demandées, les formalités de paiement seront entreprises.
Je vous prie d'agréer, madame, l'expression de mes meilleurs sentiments.
Madame renée HENIN Colonel Gilles Castel
00 boulevard des Eboueurs [signature]
75012 PARIS Chef du bureau du contentieux
de la section militaire
26 boulevard Victor - 00460 Armées
------------------------------------------------------------------------------------------------------
Voici l'autorisation que j'étais censé remplir :
Maître Louis Boré, docteur en droit de son état, il ne s'agit pas uniquement bien sûr de 3 000 / 4 = 750€ par escroc. Le service des pensions militaires de la Rochelle a recalculé la liquidation des années de pension corrigées. Le montant est de 19 4245€. Il ne reste plus à ma mère qu'à téléphoner au ministère de la défense et demander à quel comptable assignataire elle doit s'adresser pour encaisser cette liquidation. Depuis 3 semaines, elle téléphone, écrit, à qui de droit. Au ministère de l'économie et des finances 16 rue Notre-Dame Victoire 01 44 50 48 29 (01 44 50 44 92), comme indiqué lors d'une rare réponse par téléphone. Personne ne daigne lui répondre. Les téléphones sonnent longtemps, ils attendent patiemment qu'elle devienne finalement folle. Ce qui facilitera l'acte de la déclarer inapte à gérer ses biens, d'enfin pouvoir la mettre sous tutelle de cet état, qui n'est plus le nôtre. Ou d'attendre qu'elle décède, afin de terminer le travail que le fils influent a demandé. Vous ne savez pas, messieurs-dames, qu'une femme de soldat qui a vécu les guerres, sait mener des batailles. Quant à son décès, il vous faudra bien attendre vingt ans au moins. Vous ne savez pas que toujours justice est rendue, cher docteur en droit. Ma mère m'a confirmé que les 2 enfants américains lui avaient envoyé chacun leur déclaration de porte-fort remplie et signée, sauf la ligne "... s'engage à me reverser la somme de...". Il suffisait à n'importe qui de remplir cette ligne, puisque le document était signé. Venant de la part d'une avocate en droit français et américain, j'étais surpris que ma soeur ne réagisse pas comme moi, en signalant qu'elle n'avait pas à autoriser sa mère à toucher de l'argent qui lui revenait de plein droit, entièrement. Comme cela faisait des années que je n'avais pas de nouvelles d'elle, que mes messages sur répondeur restaient sans réponse, j'ai décidé d'expliquer à mes neveux et nièce ce que pensait de Jerome et Catherine un de leur client, qui m'avait envoyé son témoignage. J'ai collé c témoignage dans leurs profils Facebook, de toute ma petite famille, et les "amis" Facebook des relations de mon frère, soeur, nièce et neveux. : http://patricehenin.blogspot.com/2008/12/2008-je-nadmettrai-jamais-que-lon.html traduit en anglais. J'ai donc créé mon petit scandale et obtenu ce que je voulais : une réponse un peu colérique de ma soeur, qui prouve en passant qu'elle a bien signé son porte-fort, tout en me reprochant de ne pas avoir signé le mien. Elle me répond en anglais parce qu'elle répond à son fils Mark II (pour s'expliquer !) :
C'est plein de contradictions (texte en bleu contredit par celui en rouge), qui prouvent les mensonges. Je traduis :
"Bonjour Patrice:
Je ne comprends pas tes accusations. C'est tout simple : notre mère et son avocat m'ont demandé de signer un document dans lequel j'affirme que je n'ai aucun droit à cette pension - ce qui est le cas- et je l'ai fait aussitôt qu'il me l'a été demandé, tout comme Jerome.
Cependant, d'après notre mère, elle ne peut toucher cette pension parce que tu refuses de signer.
Tu as raison de dire que l'avocat n'aurait pas dû commencer par nous demander de faire ces attestations, parce que nous ne sommes pas de toute façon ayants-droit à cette pension, mais notre mère nous dit que cela irait plus vite si on lui renvoyait ces documents signés.
J'en ai parlé plusieurs fois avec notre mère et elle me dit à chaque fois qu'elle ne touche pas la pension à cause de toi.
Je n'ai aucune arrière-pensée ni intérêt sur les droits de notre mère. Toute ma vie j'ai tout fait pour que les parents soient fiers de moi et je leur ai offert des cadeaux, d'agréables moments, plus important encore un adorable beau-fils et petits-enfants.
Tu me rends très triste avec tes insinuations. Toi et Jerome ne vous êtes jamais aimé et je suis toujours restée en dehors de ça parce que je n'y peut rien. J'ai toujours éprouvé de l'affection pour toi et je continue.
Au sujet de ma vie professionnelle, je ne crois pas que personne ne puisse se plaindre de ce que j'ai fait pour eux. En 23 ans de carrière j'aide les gens et continue aujourd'hui. La citation que tu m'as envoyé ne me touche pas du tout parce que j'insiste, je suis une personne honnête et une bonne avocate.
Catherine.
VEUILLEZ NOTER NOTRE NOTRE NOUVELLE ADRESSE ET NUMÉRO DE TÉLÉPHONE /
Catherine R. Henin-Clark
Catherine R. Henin-Clark, P. A. (NDR : Professionnel Associate)
Board Certified in Immigration and Nationality Law
1151 N. Orange Avenue, #200
Winter Park, Florida 32789
+1 407 622 7452
Cellulaire : +1 321 231 4148
Fax : +1 407 622 74 54
chenin92@bellsouth.net
http://heninclark.com/
Vous avez compris l'astuce :
- si ma mère ne signe pas l'engagement de partager avec ses enfants, "pas de chèque !", dixit Mme Chambaud, secrétaire dévouée du colonel Gilles Castel et donc de l'Innommable.
- si ma mère signe ce document illégal, alors qu'elle n'a rien à partager puisqu'elle est la seule ayant droit, alors, notaires, justiciers ne manqueront pas de crier à la cantonade : "voyez messieurs dames, elle signe n'importe quoi, il faut la mettre sous tutelle !" Et elle perdrait le contrôle de sa fortune entière.
En admettant que ma soeur soit de bonne foi en me reprochant de ne pas signer une autorisation d'encaisser la pension pour ma mère, comment ensuite l'empêcher ma mère de signer son document dans lequel elle s'engage à partager avec les autres "ayant-droits" ?
Il est vrai qu'elle a souvent téléphoné à ma mère, qui me l'a répété, qu'ensuite ma mère me disait que c'était de ma faute si elle ne pouvait pas toucher la pension.
Mais en tant que femme de loi, pourquoi ma soeur n'a-telle pas réagit comme moi, en écrivant qu'elle n'avait pas à donner une autorisation à sa mère, cette pension lui revenant de plein droit, sans droits pour nous.
C'était clair t net, surtout cela ne nous entraînait pas à concourir à une "erreur", ce qui aurait incité ma mère
à signer un document aberrant.
L'avocat Me Louis Boré, le notaire Jean-Pierre Brulon, ont tous dit à ma mère que c'était de ma faute si elle ne pouvait pas toucher cette foutue pension.
Aucun n'a reconnu une erreur, tous ont invoqué ma "faute" !
Je vous assure qu'il m'a été très dur sur le plan affectif de recevoir des coups de fil de ma mère qui me reprochait "pourquoi tu n'aime pas ta mère ? Pourquoi tu ne veux pas signer ?...".
Finalement, ma mère n'a pas signé son porte-fort, j'ai réussi malgré les affirmations d'avocats, notaire, colonel, toutes personnes qui semblaient plus savantes que moi, à la convaincre de ne pas signer, d'aller en justice.
Ces corompus manipulateurs ont commis des erreurs, ont changé d'arguments, pour finir par m'accuser exclusivement de cette erreur, pour finalement lui raccrocher au nez.
Elle a compris. C'est une femme d'officier, de ceux qui existaient dans la vrai armée de France, une femme qui a vu de vrais soldats allemands, en toute légalité, verrouller des trains à bestiaux avec des juifs, femmes et enfants dedans. Dans la gare dont son père était le chef.
Elle a été vaccinée très tôt à l'horreur de la légalité innommable.
En septembre 2011, les 3 000€ lui sont remboursés, sans explications, sans porte-fort signé, avec même des interêts de retard. Puis en novembre 2011, elle reçoit toujours sans explications la pension, 19 545€, de la part du service comptable qui la lui refusait sans autre explication que de lui raccrocher au nez.
En passant, j'ai fait connaissance de ma soeur.
Vous ne serez pas surpris de ma méfiance lorsqu'en janvier 2012, pour mon 2ème procès, lorsqu'elle s'est proposée pour me défendre en se réinscrivant au barreau de Paris. J'étais sceptique, mais je me disais que j'avais retrouvé ma petite soeurette de toujours, d'avant le décès de notre père.
Eh bien, non. Lorsque l'appât de l'argent vous a transformé, il n'y a pas de rémission possible.
Une fleur pourrie ne peut redevenir parfumée.
Aux armes, citoyens.
Militaires, pensez à vos futures veuves.
La barbarie fait rage, nous sommes au moyen-âge !
Mais c'est de la folie, même un crime que de ne rien faire ! Il traîne encore des trace non effacées de notre civilisation : article 434-1 : Le fait, pour quiconque ayant connaissance d'un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende).
Réveillez-vous, ils refont les lois, il nous reste le droit, nous avons le vrai sens de la justice.
Il faut s'en servir avant que tout ne disparaisse.
Soyez courageux, faites comme les FFL-SAS, il n'y a que ça à faire :
http://patricehenin.blogspot.com/2008/04/0001-au-revoir-gilbert-hnin.html
Une vidéo qui se passe de commentaires, un président qui sait tellement ce que c'est que de risquer sa vie, qu'il s'imagine que faire une lourde plaisanterie fera rire des militaires qui viennent de perdre 10 de leurs camarades, avant de retourner rigoler avec les talibans.
On peut admirer l'esprit de notre président qui affirmait : "si c'était à refaire (envoyer des troupes en Afghanistan), je le referais ! Pas la patrouille, bien sûr ! (absence de rires, malgré celui du ridicule petit nabozy)..."https://www.youtube.com/watch?v=Sija6yr4Oss
Si cette vidéo disparaît, je la retrouverai. Parce que la vérité toujours a une source.
Je me suis démené comme un beau diable pour débloquer cette somme, j'ai alerté des médias, j'ai écrit dans le forum des Forces Spéciales cette "Prière AUX parachutistes", j'ai demandé des explications à ce Me Louis Boré. Au téléphone, Me Louis Boré met l'erreur d'ayants droits sur le dos du Tribunal de Pension des Armées, et m'envoie copie du jugement comme "preuve". On y remarque qu'il est bien le représentant des appelants, moi inclus. Mais je ne lui ai jamais rien demandé, ne le connaissant même pas. Un représentant ne travaille pas gratuitement, la somme de 3 000€ est donc un honoraire qu'il a touché. Pourquoi un docteur en droit accepte untel jugement sans faire remarquer au tribunal qu'il n'y a qu'une seule ayant droit, Madame Renée Hénin ?
Ce comportement de l'avocat Louis BORE est totalement "conforme" à son intervention dans mon dossier contre la mafia douanière où il intervient pour la première fois à Paris pour le directeur GENERAL des douanes... alors qu'à TAHITI seule la directrice REGIONALE était intervenue en première instance et en appel. Il est clair que Louis BORE, sous sa robe, est un complice des blanchisseurs d'XPF/EUROS.
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