14.06.2008 11:50 0004 Un de plus, tous pour lui, moi déduit
Clarté, Créativité, Courage :
...assumer notre identité sans céder aux injonctions (des bolcheviques avec couteaux pointus) de ceux qui, au nom d'une "radicalité" (?) de gauche mécaniquement revendiquée, neutralisent en fait des forces de transformation sociale et renoncent à toute confrontation de leurs convictions avec l'exercice des responsabilités."
Si ce n'est pas une attaque violente, insultante d'une autre motion, ce n'est certainement pas un cri de rassemblement.
Encore une division de plus, après Ségo, à expliquer aux badauds, dans les marchés, pour leur faire comprendre que "si, si, on est refondus, rénovés, reconstruits, etc., un pour tous mais surtout tous pour lui..."
Je demande une explication de texte de ce paragraphe, puis des excuses publiques (par courriel en section, et à la Mutualité, par exemple, demain).
Injonction, de la part de Patrice Hénin, gauchiste depuis mai 68 jusqu'à présent (mai 2K8), à Bertrand Delanoë :
... assumer notre identité sans céder aux injonctions ...
Il y aurait donc au sein du parti socialiste un courant composés de gens dangereux, qui opèrent à coup d'injonctions, ou alors je ne sais pas lire ? Donc expliquez au pauvre débile que je suis.
Notre courant ayant participé comme toutes les autres à l'élaboration de la déclaration de principe, ces gens empêchent ce courant (et lui seul, apparemment), d'assumer son identité, par injonctions. Comprenne qui pourra.
... ceux qui, au nom d'une "radicalité" ...
Amoureux de la francophonie, c'est avec plaisir que je me suis précipité sur mon dictionnaire pour y découvrir un nouveau mot.
Quelle déception, je n'y ai trouvé que le mot "radicalisme", comme je m'y attendais.
Radicalisme a été transformé en radicalité (radicaleusité, bande de radicalant, auraient été plus percutant) en guise de mépris insultant.
Je ne suis pas atteint de "radicalité", mais pétri de convictions socialistes.
Clarté, Créativité, Courage :
...assumer notre identité sans céder aux injonctions (des bolcheviques avec couteaux pointus) de ceux qui, au nom d'une "radicalité" (?) de gauche mécaniquement revendiquée, neutralisent en fait des forces de transformation sociale et renoncent à toute confrontation de leurs convictions avec l'exercice des responsabilités."
Si ce n'est pas une attaque violente, insultante d'une autre motion, ce n'est certainement pas un cri de rassemblement.
Encore une division de plus, après Ségo, à expliquer aux badauds, dans les marchés, pour leur faire comprendre que "si, si, on est refondus, rénovés, reconstruits, etc., un pour tous mais surtout tous pour lui..."
Je demande une explication de texte de ce paragraphe, puis des excuses publiques (par courriel en section, et à la Mutualité, par exemple, demain).
Injonction, de la part de Patrice Hénin, gauchiste depuis mai 68 jusqu'à présent (mai 2K8), à Bertrand Delanoë :
... assumer notre identité sans céder aux injonctions ...
Il y aurait donc au sein du parti socialiste un courant composés de gens dangereux, qui opèrent à coup d'injonctions, ou alors je ne sais pas lire ? Donc expliquez au pauvre débile que je suis.
Notre courant ayant participé comme toutes les autres à l'élaboration de la déclaration de principe, ces gens empêchent ce courant (et lui seul, apparemment), d'assumer son identité, par injonctions. Comprenne qui pourra.
... ceux qui, au nom d'une "radicalité" ...
Amoureux de la francophonie, c'est avec plaisir que je me suis précipité sur mon dictionnaire pour y découvrir un nouveau mot.
Quelle déception, je n'y ai trouvé que le mot "radicalisme", comme je m'y attendais.
Radicalisme a été transformé en radicalité (radicaleusité, bande de radicalant, auraient été plus percutant) en guise de mépris insultant.
Je ne suis pas atteint de "radicalité", mais pétri de convictions socialistes.
Cela fait longtemps que j'ai compris que le système capitaliste incontrôlé, encouragé par le laxisme de certains ténors du parti, plus soucieux de leur carrière que de nos fondamentaux, est la source (capitalistes assoiffés d'argent + ténors PS assoiffés de voix) de toutes les injustices et du transfert des fruits du travail de la masse au profit de 15000 personnes plus importantes que moi.
Et de nos échecs électoraux.
La dernière fois, c'était Ségolène Royal.
Tellement pétri de mes convictions que je ne peux rien "revendiquer" d'autre , et que je le clame haut et fort : Delanoë n'est pas mon ennemi (pas encore), mais bien ce système économique perverti.
Mais si Delanoë demande à ses troupes , son troupeau, de rédiger ce genre d'insanité (c'est dans le dictionnaire), alors, il ne respecte pas NOTRE déclaration de principe :
art. 22 : "il défend le pluralisme...". Delanoë s'opposerait-il au pluralisme au sein du PS, lorsqu'un courant le dérange, est dangereux pour son "projet" ?
Pourtant, nous sommes minoritaires, se seraient donc nos idées qui sont dangereuses... pour son élection ? Quel aveu !
... mécaniquement ...
Je le clame depuis si longtemps et avec de plus en plus de foi et d'ardeur, encore et encore, que cela peut paraître comme "mécanique" à ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas entendre.
Il m'a été jusqu'ici impossible d'affirmer autre chose que mes convictions, désolé, M. Eric Besson, et aussi le suivant ...
Ma mécanique pour prendre le pouvoir, ce serait plutôt notre idéologie socialiste, et non un "empilement de mesures thématiques agrégeant sans cohérence l'économique, le social, l'éducation..." (attaque contre Ségo ?)
... neutralisent en fait des forces de transformation sociale ...
et c'est nous qui neutralisons ! C'est si dangereux que cela, de lutter contre un capitalisme de plus en plus outrancier et mortel (grève des soins...) ? Eux seuls sauraient transformer socialement, sournoisement (vis-à-vis de la droite bernèe). Ne vous inquitez pas de leur droititude, c'est parce qu'ils sont gauches.
Oui, pour être élu. Il faut leur expliquer que le PS est maintenant nettoyé, le bouc émissaire est désigné à la vindicte populaire socialiste.
Je ne sors donc plus que la nuit.
... renoncent à toute confrontation de leurs convictions avec l'exercice des responsabilités ...
C'est vrai que Delanoë a l'expérience du pouvoir, son aura domine Paris, capitale de son monde à lui. Nous, de simples oiseaux, des perroquets répétant mécaniquement des dogmes éculés.
Alors que les capitalistes sont devenus très gentils et multiplient les largesses. Par exemple, plus personne ne va au spectacle de nos jours : les infos du J.T. sont de franches parties de rigolades en famille, chaque fois que des réformes sont annoncées.
Et de nos échecs électoraux.
La dernière fois, c'était Ségolène Royal.
Tellement pétri de mes convictions que je ne peux rien "revendiquer" d'autre , et que je le clame haut et fort : Delanoë n'est pas mon ennemi (pas encore), mais bien ce système économique perverti.
Mais si Delanoë demande à ses troupes , son troupeau, de rédiger ce genre d'insanité (c'est dans le dictionnaire), alors, il ne respecte pas NOTRE déclaration de principe :
art. 22 : "il défend le pluralisme...". Delanoë s'opposerait-il au pluralisme au sein du PS, lorsqu'un courant le dérange, est dangereux pour son "projet" ?
Pourtant, nous sommes minoritaires, se seraient donc nos idées qui sont dangereuses... pour son élection ? Quel aveu !
... mécaniquement ...
Je le clame depuis si longtemps et avec de plus en plus de foi et d'ardeur, encore et encore, que cela peut paraître comme "mécanique" à ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas entendre.
Il m'a été jusqu'ici impossible d'affirmer autre chose que mes convictions, désolé, M. Eric Besson, et aussi le suivant ...
Ma mécanique pour prendre le pouvoir, ce serait plutôt notre idéologie socialiste, et non un "empilement de mesures thématiques agrégeant sans cohérence l'économique, le social, l'éducation..." (attaque contre Ségo ?)
... neutralisent en fait des forces de transformation sociale ...
et c'est nous qui neutralisons ! C'est si dangereux que cela, de lutter contre un capitalisme de plus en plus outrancier et mortel (grève des soins...) ? Eux seuls sauraient transformer socialement, sournoisement (vis-à-vis de la droite bernèe). Ne vous inquitez pas de leur droititude, c'est parce qu'ils sont gauches.
Oui, pour être élu. Il faut leur expliquer que le PS est maintenant nettoyé, le bouc émissaire est désigné à la vindicte populaire socialiste.
Je ne sors donc plus que la nuit.
... renoncent à toute confrontation de leurs convictions avec l'exercice des responsabilités ...
C'est vrai que Delanoë a l'expérience du pouvoir, son aura domine Paris, capitale de son monde à lui. Nous, de simples oiseaux, des perroquets répétant mécaniquement des dogmes éculés.
Alors que les capitalistes sont devenus très gentils et multiplient les largesses. Par exemple, plus personne ne va au spectacle de nos jours : les infos du J.T. sont de franches parties de rigolades en famille, chaque fois que des réformes sont annoncées.
Nous ne valons pas mieux que Sarkozy, question compétences. Notre courant n'est fondé que sur de l'esbroufe, comme lui.
Seul Delanoë détient la vérité étayée par son savoir-faire, et même savoir-faire-taire.
Il va très certainement élaguer les branches inutiles du PS lorsqu'il sera secrétaire national. Je suis sûr qu'il adore déjà le mot "national".
Dans son papier, Delanoë cite deux fois Sarkozy, comme ennemi. C'est "... un pur représentant de la droite dure ...". Ce n'est donc pas la droite, l'ennemi, et tout ce qu'elle représente, mais Sarkozy et une poignée de durs à cuire (son service d'ordre), nos homologues de droite, en somme. Il y aura bien 4% d'électeurs déçus par Sarkozy qui vont voter non pas PS, mais Delanoë ! Et 47% + 4% = on prend pas les mêmes, mais ça continue !
Utiliser le PS à de telles fins personnelles m'oblige à considérer que les médias n'ont pas tord de ne parler que de luttes de personnes en vue de la présidentielle 2012.
Il ne m'est donc plus possible d'envisager de voter pour Delanoë comme secrétaire national du P.S.
Et de rester au PS s'il en prend la tête.
à suivre...
Seul Delanoë détient la vérité étayée par son savoir-faire, et même savoir-faire-taire.
Il va très certainement élaguer les branches inutiles du PS lorsqu'il sera secrétaire national. Je suis sûr qu'il adore déjà le mot "national".
Dans son papier, Delanoë cite deux fois Sarkozy, comme ennemi. C'est "... un pur représentant de la droite dure ...". Ce n'est donc pas la droite, l'ennemi, et tout ce qu'elle représente, mais Sarkozy et une poignée de durs à cuire (son service d'ordre), nos homologues de droite, en somme. Il y aura bien 4% d'électeurs déçus par Sarkozy qui vont voter non pas PS, mais Delanoë ! Et 47% + 4% = on prend pas les mêmes, mais ça continue !
Utiliser le PS à de telles fins personnelles m'oblige à considérer que les médias n'ont pas tord de ne parler que de luttes de personnes en vue de la présidentielle 2012.
Il ne m'est donc plus possible d'envisager de voter pour Delanoë comme secrétaire national du P.S.
Et de rester au PS s'il en prend la tête.
à suivre...
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