mercredi 6 avril 2011

RAMON MARZA au pays des merveilles

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DROIT DE REPONSE  Article Page 18- Vendredi 9 septembre 2011
Monsieur le Directeur de La Dépêche,
Vous avez publié un article calomnieux sur ma personne, je vous demande un droit de réponse avec parution intégrale de mon courrier.
J’espère dans le futur que vous disposerez de journalistes intègres ou plus soucieux de la vérité.
D’abord, permettez-moi de rappeler à la population polynésienne  que c’est moi, MARZA Ramon, ancien gérant de la société VAIANU, qui a porté plainte contre l’état et le gouvernement pour la mise en place de la TVA et le retrait des taxes Droits d’entrée et Droits de douane en place illégalement pendant 50 ans.

Je me bats pour de nobles causes, et aujourd’hui pour dénoncer un tribunal qui a oublié le mot JUSTICE.

D’abord le titre CALOMNIEUX, vous indiquez ne payait pas…  depuis des années. En bon français depuis des années, c’est AU MOINS DEUX, donc 24 mois minimum, et 24*24000 = 488.000 Fcfp.
Or le montant demandé des pensions est de 357.000 Fcfp, vous conviendrez que cela semble déjà exagéré, désirez-vous me mettre la population à dos ?? Vous ne feriez pas mieux…

Sous la photo, grève de la faim (de très courte durée), encore de la désinformation, j’irai jusqu’au bout pour obtenir réparation. Le procureur m’a menacé de dépôt si je restais devant le tribunal, je me suis donc déplacé à la cathédrale. Encore un moyen de minorer dans l’esprit de la population mon action contre le tribunal.

L’excentrique communauté d’Auroville, là je vous demande de publier des excuses pour Auroville, sans quoi je transmettrai à Auroville vos propos et vous subirez une poursuite qui est systématique en cas de diffamation.
Auroville est fondée depuis de nombreuses années couvert par l’UNESCO et a été inaugurée par un cérémonial international ou 147 nations ont versé de la terre de leur pays dans une urne.

Auroville est aujourd’hui visitée par 1 million de visiteurs / an.
C’est la seule ville sans gouvernement, qui dispose d’un centre de recherche scientifique reconnu par la communauté internationale. 2500 personnes originaires de 47 pays vivent en parfaite harmonie, et le but de chaque aurovillien est la recherche d’une conscience individuelle et collective.
Prenez-en de la graine… Votre terme péjoratif était surement dans le but de me faire passer pour un clown…

« Ces trois dernières années, je n’avais pas de ressources » Vous semblez indiquer que ce sont mes propos, alors que je n’ai jamais dit cela, donc mensonger ou sorti de son contexte, montrez-moi une seule preuve de ces paroles prononcées par moi.

Ce « webmaster »…. « Qu’un contact » avec ses enfants en cinq ans. TOTALEMENT MENSONGER ET SORTI DU CONTEXTE.
J’ai dit que mon ex-épouse n’a autorisé qu’un seul contact avec mes enfants en cinq ans PAR WEBCAM. J’ai indiqué revenir à Tahiti TOUS LES ANS POUR LES VOIR. J’ai aussi indiqué que mon épouse n’a autorisé AUCUN contact courrier depuis mon départ, aucun courrier pour mon anniversaire, aucun courrier pour la fête des pères, etc… Et que je désirais demander un jugement pour obtenir cela. Complètement le contraire de vos écrits.

Oui, mais voilà, l’homme a été insaisissable ces dernières années… ALORS LA ON VIENT AU FAIT PRINCIPAL DE L’AFFAIRE, qui est au centre de l’injustice.
D’abord cela commence par un faux témoignage de mon ex-épouse qui indique une fuite internationale.
Comment déformer la vérité plus simplement, j’ai une société internationale, qui a une adresse FIXE, je pars travailler, et je reviens tous les ans, voir mes enfants, et mon ex-épouse, qui ne me signale pas !!!
J’ai de la famille présente sur le territoire, deux frères, trois nièces, des amis par dizaines, mon site internet est utilisé par des centaines de polynésiens tous les jours, et mon adresse est plus que connue.
Évidemment mon ex-épouse la connait, mes enfants aussi, et avec mon simple e-mail, la gendarmerie m’aurait trouvé en 1 journée maximum !!!
Incompétence des services administratifs, ou vengeance pour la tva ??? Quand vous indiquez et le juge l’a aussi dit = VASTE RIGOLADE OU FUMISTERIE !!!
Mon ex-épouse a-t-elle omis de donner mon adresse ? Mon téléphone ? Mon e-mail ? Mon contact Skype ? Cela fait un peu beaucoup.

Évidemment quand j’explique que tout cela ne tient pas dix minutes, le président Stelmach « Vous commencez sérieusement à m’indisposer » et ensuite 18 mois de prison dont 6 fermes pour me faire taire, mais il a oublié qui je suis, Honneur et famille ont toujours guidé ma vie, et je la perdrai si utile.

Mon ex-épouse voulait de l’argent et se trouve surprise par la décision d'emprisonnement. Pour la partie financière, là encore INJUSTICE. La loi française est précise, toute personne poursuivie est INNOCENTE sans preuve du contraire.
Or, ma volonté de ne pas payer n’est pas démontrée, AUCUNE PREUVE, SEULES DES IMAGINATIONS de la plaignante et le souci de lui plaire de la part du juge et du président. Quand celui-ci me demande mes revenus en 2010, est-il ignorant ? OUI !! AUCUNE PREUVE. La cour de cassation en 2007 stipule que sur le fond, il faut prouver intentionnalité de non-paiement, et là problème zéro PREUVE car je suis innocent !!!

En résumé, convocation illégale, car je suis jugée sans convocation, celle au tribunal est conséquence de l’incompétence des services de recherche, je ne peux être convoqué correctement que par incompétence !!

Sur la forme, ILLÉGALE, car je suis jugé à charge, mes explications ne sont pas prises en compte, alors que facilement vérifiables.

Sur le fond, AUCUNE PREUVE DE QUOI QUE CE SOIT POUR LES NON PAIEMENTS et RIDICULE SUR UNE FUITE INTERNATIONALE, je suis patron d’une société internationale et revient tous les ans voir mes enfants.

En conclusion, je demande à avoir plus de contact avec mes enfants, et celle qui empêche ce contact me fait condamner par le tribunal pour abandon de famille.

Un tribunal ? OUI. Une justice ? NON.

Votre article de ce jour Lundi mériterait un second droit de réponse, mais la parution intégrale de ce texte me suffira en compensation.
Vous remerciant de faire paraître ce courrier.
Avec Honneur, et ma dignité de père.                                                
RAMON MARZA

(il faut s'abonner à La Dépêche pour lire l'article, ne le faites pas, je vais essayer de me le procurer) 

Wed, 14 Sep 2011 19:57 :
Voilà les deux articles scannés, si tu veux diffuser, penses à mettre ma réponse.
Si tu envois sans ma réponse, c'est diffamant.
Si tu envois avec ma réponse, les internautes verront comment La Dépêche peut diffamer.
Ramon
Aucun problème à ce que tu publies mes lignes ci-dessu.

Moi, si je lis bien ce journal soit-disant calomnbieux (d'abord c'est imprimé et distribué, vendu, donc c'est un truc pour savoir ce qui s passe, non ?) :
- ce monsieur se met en grève de la faim 'improvisée". Improisé, comme un sketch de théâtre. Ce n'est certaineemnt pas un acte de désespoir, une façon de réagir fasse à une calomnie diffusée dans les kiosques du coin, non. C'est pour faire son interessant. En plus, sa grève de la faim est de courte durée, écrit-on, et rien n'est plus vrai, tous les témoins oculaires vous confrmeront qu'après avoir été viré du tribunal, il a été de nouveau été viré de l'entrée du tribunal. Lieu trop évident pour contester une décision de justice. Il a donc stoppé sa grève de la faim "de très courte durée", pour en ré-improviser une autre immédiatement ddevant la cathédrale.
Ca fait moins désordre, l'ordre voulant que la maison de dieu accueille les miséreux incapables de nourrir leurs enfants.
Bon, sa femme au grand cœur mais aux poches toujours vides, est "pertubée" par cette peine de prison. C'est du fric qu'elle veut. les emplois sont rares en taule.
Elle a pourtant tout fait pour utiliser les enfants afin d'amener ce père trop sensible à venir à Tahiti, lui faire quitter son petit monde d'Auroville, pour s-y faire condamner non pas à aller en prison, mais lui verser 24 000 "francs polynésiens".
Oui, dans la France de Tahiti, point d'euros, la monnaie est tout à fait fictive. Mieux vaut payer avec des coquillages, c'est pour bientôt.
Mais passons ce détail? comme le fait que dans cette ville spéciale d'Auroville, on y travaille, étudie, vit, aime, évolue, éduque ses enfants, sans argent. Vous avez certainement cliqué sur le mot Auroville en début d'article, pour le savoir.
Ce con de juge, réalise qu'il n'y a rien à gratter du côté du père, et que toute sa construction d'une fuite imaginaire, d’abandon de famille, ne sert à rien : il et elle n'auront pas une roupie, pas un kopeck, pas de XPF, que dalle.
La pauvre femme abandonnée de son juge, de "sa" justice, ne peut que s"exclamer "je fais comment avec les enfants maintenant ?". Ben oui, ils ne servent plus à rien, eux non plus. Quel moyen de pression utiliser maintenant ?
Si vous, ami lecteur, avez une idée, contactez La Dépêche.
C'est une situation atroce pour cette pauvre femme esseulée : elle va être obligée de faire comme d'habitude, se contenter du fruit de son travail pour nourrir ses enfants. Jusque là, ils n'ont pas l'air d'être affamés.
Le magistrat lui répond "on est pas en Indes, on est en France". D'abord, Auroville n’appartient pas au gouvernement indien, tout juste un représentant symbolique du gouvernement. C'est une ville qui prétend "appartenir" à l’humanité".
C'est donc un résident d'une communauté spirituelle qui se retrouve dans un tribunal civilisé français, un peu tropical et sans monnaie, qui finit donc par "être énervé".

Bon, lisez le journal, pour savoir enfin comment on débloque quand on n'arrive pa à débloquer des fonds inexistants :




Maintenant, vous savez pourquoi un dicton populaire parle de torchons en parlant de de ce genre de papier : c'est parce qu'un torchon, ça peut bruler. Ca efface ce qu'il ne faut pas lire.

précisions d'un ami de Ramon Marza, René H.:  
Mon, 12 Sep 2011 16:10:44 -1000
Ramon l’a écrit sous son arbre durant sa grève de la faim, il y a quelques heures.
Mardi 13 sept. 2011 20:51
Ramon est à l’hôpital depuis hier, je n’ai pas eu le temps de le voir là-bas. Son vrai nom est à publier si tu fais quelque chose. Il insiste pour que son nom soit publié.
Ma remarque : aucune, il suffit de lire pour comprendre ce qui arrive à ce monsieur entrepreneur : ton fric m’intéresse, tu verras pas tes mômes. Le fric, encore et toujours, via la "justice".
Puis le désespoir...  La routine, quoi.


Affaire suivante !!!!

 

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