Et me voilà de retour chez moi.
Zut, ce texte peut servir à un policier, à fins de vérifications. Faut qu’il soit lisible. Donc, écrit en poliçiais, mieux qu'en français. Je reprends, en faisant comme si je déposais une ... déposition, pour coups et blessures.
Je décrirai la véritable scène du portage de plainte plus tard. C'est juste pour donner l'ambiance de l'article suivant, où je rédigerai en mode "sérieux".
Fond sonore "tchac… tchac, tchacthac… tchac… tchactchacthactchactchac tchac quruiiiiit !!!!
à chaque ligne.
Le ci-devant individu prénommé ? :
- Patrisse
- Nommé ? :
- Hé!nain
- né en France, à Dakar, département neuf neuf, le ?:
- zéro quatre (je commençais à piger)
- Mois ? :
- zéro sept
- année ?...tchac tchac...tchac tchac
- Mille neuf cent...
- Sans quoi ?
- quarante neuf.
- …. Euh… (ce fout d'ma gueule ?) … ah ! Tu vas te foutre de moi longtemps ?!?!! Hein, je vais t'en foutre des 49 kouzetblesssuURES,
- mille neuf cent quarante neuf
- mais c'est qu'il recommence ! A SE FOUTRE DE MA GUEULE !!!!!!
- sans gâteau et sans lunettes...
.... déclare, à moi, devant le ci-devant, dedans le bureau en plaintes du 80 avenue Daumesnil, Paris XIIème :
avoir lâchement abandonné, parce que le lâchant, un gâteau de 33€, blanc, dizaïgne, aux Fruits de la Passion.
Cette secte n'étant pas notoirement, ni défavorablement connus de nos services, ni retrouvée ni identifiée.
Recevant déposition, je, soussigné Ducont Lajoie, stagiaire présentement en fonction, aussi assis que le ci-devant devant moi, assis tous les deux, quoi, lui devant et moi devant. Quruiiiiit !!!!
Enfin, puisqu'il est à ci, non, assis devant, moi aussi (aux-ci ?). C'est comme si on était en face. Sa face devant ma face, assis, de face, FACE A FACE, (ben voilà !) quruiiiiit !!!
Puis, le douteux suspect affirme que sans lunette il ne peut observer la vue, l'assis devant moi individuellement prénommé Patrisse et susnommé Hénain, alias suspect présomptueusement présumé innocent, suivit la rue par défaut, MAIS TOUJOURS EN POSSESSION DE SON TASER DE 500 000 volts, et de surplus 100 parapluie noir.
Puis :
"Est revenu", (non...), "marchât", (ou bien :) "se dirigeât", (ouah, encore mieux) "arpentât", (plutôt) "évoluât vers", (simplement ?) "se déplaçât", (tiens ! tordant ! :) "sautillât", (ou peut-être :) "retournât chez (?), (hé ! hé :) "claudiquât", "allât" (bof), "se rendit", "errât"…
(et merde !), tu vas me le dire ce que tu foutais dans cette rue à 18 heures !! Tu vas me le dire !!
… avoue finalement qu'il effectuât un déplacement louche car à caractère de mode pédestre, afin de quitter les lieux "de son forfait", (non), "de son crime", (ça va pas non plus), du crime (eh ! ben, voilà…) en s'éloignant simultanément des dits lieux sis 47-57 (même porte) boulevard Poniatowski, Paris XIIème, pour se rendre, à son domicile qu'il habite, par le fait qu'il demeure sans squatter puisque jouissant des lieux légalement de façon locative, sans liens de propriété apparenté, dans la porte 28 derrière le numéro 29 devant la censeur, le tout prétendument localisé en la rue des Meuniers, Paris XIIème.
L'individu revient sur ses déclarations pour affirmer que la censeur, de bonne conduite, va du numéro 29 de la rue à la porte 28.
Après avoir traversé la rue des Meuniers, Paris XIIème et la porte blindée 28, située aux dires de l'individu susnommé annoté, le baillé prit la censeur puisque forcé, la censeur étant au-dessous de la dite porte, parfois au même niveau qu'un couloir de même niveau que la porte 28, quoique qu'il reconnaît qu'il s'agirait d'un troisième étage !
Ayant usé, (mieux :), rusé, affirme abuser une nouvelle fois, une seule fois dit-il, de cette censeur, dans ses parties comme une, il aurait voulu téléphoner mobilement et / ou fixement, sans lunette et hors de vue et sans savoir si on lit de gauche à droite, puis de haut en bas, ou de bas en haut, les chiffres aussitôt floués que brouillés d'après sa vue.
TU VAS ME FAIRE CROIRE K'TU SAIS PAS LIRE !!! TU TLEPHONES OU TU LIS OU TU TE FOUS DE MA GUEULE ?!?!!!
T'AS FINI D'ME DIRE TES CONNERIES !! T'AS JAMAIS TLEPHONE DE TA VIE ?!?!!
MAIS C'EST Q'TU CHERCHES A M'EMBROUILLER ?!!
Le suspect finit par reconnaître que seul le chiffre 5 est toujours au milieu, et prétend alors que seul un aveugle peut ça voir et comprendre, mais qu'il voulait en plus toucher 10 chiffres du même téléphone localisé sans écoute à son domicile, ayant pourtant un autre téléphone, caché sournoisement dans sa poche, étant prêt à être mobilisé à son appel, dans une poche différente du TASER.
Puis l'individu Patrice Hénin se met alors à m'insulter de tous les noms, même des noms que je n'avais encore jamais entendus :
Patazeur ! Steune ! Gueux-ne ! Pataseur ! Steune ! Gueux-ne !
Il volte face verbalisement car le faussement assumé innocent reconnaît enfin que le taser fonctionne avec une pile de 9 volts seulement, alors qu'initialement il prétendait que c'était 500 000 volte pile.
De son propre chef, soudainement et sans raisons apparente ni sans être capable de s'expliquer, le désormais quasi-suspect traverse la porte blindée 28, que nous avons déterminée comme étant la sienne, quoiqu'à la limite des lieux communs, se retrouve au même niveau que la censeur, abuse d'elle une nouvelle fois en passant et même reconnaît finalement qu'en touchant ses boutons il put s'élever en elle au huitième…
Arrivé à ses fins, il l'abandonne sans même se retourner et sonne chez un compère, qu'il prétend se nommer Hun Voysain.
Puis il se rétracte, et Hun Voysain s'appellerait Franque. Il lui aurait demandé d'abuser de la censeur à deux, jusqu'au plus bas niveau, pour l'accompagner sur les lieux de son crime, ce qui établit la culpabilité indéniable de l'individu Patrice Hénin, car les criminels retournent toujours sur le lieu de leur crime.
Cette association de malfaiteurs, initialement fomentée par le désormais futur inculpé, exécutent leur plans, usent de la censeur, étage après étage, jusqu'à l'immobiliser au sol.
De retour dans la cour de l'immeuble des 47-57 boulevards Poniatowski, Paris XII, ce fils indigne, accompagné d'Hun Voysain alias Franque, celui-ci prêt à user de sa force brutale contre M. Jérôme Hénin, tentent de retrouver les lunettes du futur condamné, et même tendent un traquenard au sixième étage du domicile de la mère du fils dévoyé, utilisant sans autorisation la sonnette de la mère du monstre et de son compère, espérant qu'elle ouvre la porte pour rendre les lunettes qu'elle n'avait sûrement pas avalée, la pauvre dame.
Sans réponse de la dame qui ne serait pas derrière la porte, mais ailleurs, le complice Franque appelle la police avec son appareil téléphonique portable agréé par les réseaux de communications nationaux et même français.
Peu de temps après, nos agents collègues arrivent enfin, sécurisent les lieux et rétablissent l'ordre.
Tout leur indique la suspectitude de M. Patrice Hénin, lorsque celui essaye de renverser la situation en expliquant qu'il n'est pas l'agresseur, mais une victime qui ne devrait physiquement son intégrité (!!) que grâce à ce que les agents professionnels appellent un taser, qu'il ose même horrifier en le montrant à nos agents outragés.
Son complice Franque, alias Hun Voysain, coopère alors aussitôt avec nos agents collègues de l'ordre et tous affirment au sauvage pourfendeur de loi d'ohmme qu'il peut tuer un homme dissimulant un pacemaker en son sein pour le cacher.
Et que le port de cette arme de défense est interdite en-dehors de chez soi, la majorité des agressions ayant lieu à domicile, lorsque l'on se croit à l'abri, les portes blindées empêchant l'intervention des forces de l'ordre.
Tous les criminels savent cela.
Ne voulant rien entendre, le forcené prétend qu'il a acheté ce "stun gun" de ses deniers, par Internet, ce qu'il considérait comme une version électrique d'une bombe lacrymogène "propre", dont la détention est autorisée. Sinon, il se serait bien gardé d'en parler et surtout de la montrer à des policiers.
Et il ajoute avec culot que la police française allait bientôt être équipée de tasers, armes d'attaque et non plus de "stun guns" de défense, conçus pour toucher à distance des personnes dont la police se moque éperdument si elles cachent sournoisement un pacemaker.
Revenons au français.
Les policiers s'en vont, pleins de remontrances à mon égard.
Franck et moi revenons à notre immeuble. Il m'aide à téléphoner au commissariat du 80 avenue Daumesnil, où j'apprends que mon frère et ma mère s'y trouvent.
Pour déposer plainte pour coups et blessures ! Il leur est arrivé quelque chose, encore ?
Incroyable !
Non, je connais mon frère et son art de la manipulation, y compris et surtout envers ma mère. Il aime montrer sa puissance de parvenu. Il doit être en train d'expliquer aux flics ce qu'ils doivent faire : sévir.
Les flics adorent ça, en général. Et puis, comme le dit un proverbe arabe, s'ils ne savent pas pourquoi, lui, il le sait.
Il doit tout savoir, puisqu'il est millionnaire (en $, seulement).
Je décide d'aller au commissariat.
Lorsque j'ai téléphoné, d'ailleurs, la femme agent de police m'a dit "si vous voulez porter plainte, venez vite !"
Zut, ce texte peut servir à un policier, à fins de vérifications. Faut qu’il soit lisible. Donc, écrit en poliçiais, mieux qu'en français. Je reprends, en faisant comme si je déposais une ... déposition, pour coups et blessures.
Je décrirai la véritable scène du portage de plainte plus tard. C'est juste pour donner l'ambiance de l'article suivant, où je rédigerai en mode "sérieux".
Fond sonore "tchac… tchac, tchacthac… tchac… tchactchacthactchactchac tchac quruiiiiit !!!!
à chaque ligne.
Le ci-devant individu prénommé ? :
- Patrisse
- Nommé ? :
- Hé!nain
- né en France, à Dakar, département neuf neuf, le ?:
- zéro quatre (je commençais à piger)
- Mois ? :
- zéro sept
- année ?...tchac tchac...tchac tchac
- Mille neuf cent...
- Sans quoi ?
- quarante neuf.
- …. Euh… (ce fout d'ma gueule ?) … ah ! Tu vas te foutre de moi longtemps ?!?!! Hein, je vais t'en foutre des 49 kouzetblesssuURES,
- mille neuf cent quarante neuf
- mais c'est qu'il recommence ! A SE FOUTRE DE MA GUEULE !!!!!!
- sans gâteau et sans lunettes...
.... déclare, à moi, devant le ci-devant, dedans le bureau en plaintes du 80 avenue Daumesnil, Paris XIIème :
avoir lâchement abandonné, parce que le lâchant, un gâteau de 33€, blanc, dizaïgne, aux Fruits de la Passion.
Cette secte n'étant pas notoirement, ni défavorablement connus de nos services, ni retrouvée ni identifiée.
Recevant déposition, je, soussigné Ducont Lajoie, stagiaire présentement en fonction, aussi assis que le ci-devant devant moi, assis tous les deux, quoi, lui devant et moi devant. Quruiiiiit !!!!
Enfin, puisqu'il est à ci, non, assis devant, moi aussi (aux-ci ?). C'est comme si on était en face. Sa face devant ma face, assis, de face, FACE A FACE, (ben voilà !) quruiiiiit !!!
Puis, le douteux suspect affirme que sans lunette il ne peut observer la vue, l'assis devant moi individuellement prénommé Patrisse et susnommé Hénain, alias suspect présomptueusement présumé innocent, suivit la rue par défaut, MAIS TOUJOURS EN POSSESSION DE SON TASER DE 500 000 volts, et de surplus 100 parapluie noir.
Puis :
"Est revenu", (non...), "marchât", (ou bien :) "se dirigeât", (ouah, encore mieux) "arpentât", (plutôt) "évoluât vers", (simplement ?) "se déplaçât", (tiens ! tordant ! :) "sautillât", (ou peut-être :) "retournât chez (?), (hé ! hé :) "claudiquât", "allât" (bof), "se rendit", "errât"…
(et merde !), tu vas me le dire ce que tu foutais dans cette rue à 18 heures !! Tu vas me le dire !!
… avoue finalement qu'il effectuât un déplacement louche car à caractère de mode pédestre, afin de quitter les lieux "de son forfait", (non), "de son crime", (ça va pas non plus), du crime (eh ! ben, voilà…) en s'éloignant simultanément des dits lieux sis 47-57 (même porte) boulevard Poniatowski, Paris XIIème, pour se rendre, à son domicile qu'il habite, par le fait qu'il demeure sans squatter puisque jouissant des lieux légalement de façon locative, sans liens de propriété apparenté, dans la porte 28 derrière le numéro 29 devant la censeur, le tout prétendument localisé en la rue des Meuniers, Paris XIIème.
L'individu revient sur ses déclarations pour affirmer que la censeur, de bonne conduite, va du numéro 29 de la rue à la porte 28.
Après avoir traversé la rue des Meuniers, Paris XIIème et la porte blindée 28, située aux dires de l'individu susnommé annoté, le baillé prit la censeur puisque forcé, la censeur étant au-dessous de la dite porte, parfois au même niveau qu'un couloir de même niveau que la porte 28, quoique qu'il reconnaît qu'il s'agirait d'un troisième étage !
Ayant usé, (mieux :), rusé, affirme abuser une nouvelle fois, une seule fois dit-il, de cette censeur, dans ses parties comme une, il aurait voulu téléphoner mobilement et / ou fixement, sans lunette et hors de vue et sans savoir si on lit de gauche à droite, puis de haut en bas, ou de bas en haut, les chiffres aussitôt floués que brouillés d'après sa vue.
TU VAS ME FAIRE CROIRE K'TU SAIS PAS LIRE !!! TU TLEPHONES OU TU LIS OU TU TE FOUS DE MA GUEULE ?!?!!!
T'AS FINI D'ME DIRE TES CONNERIES !! T'AS JAMAIS TLEPHONE DE TA VIE ?!?!!
MAIS C'EST Q'TU CHERCHES A M'EMBROUILLER ?!!
Le suspect finit par reconnaître que seul le chiffre 5 est toujours au milieu, et prétend alors que seul un aveugle peut ça voir et comprendre, mais qu'il voulait en plus toucher 10 chiffres du même téléphone localisé sans écoute à son domicile, ayant pourtant un autre téléphone, caché sournoisement dans sa poche, étant prêt à être mobilisé à son appel, dans une poche différente du TASER.
Puis l'individu Patrice Hénin se met alors à m'insulter de tous les noms, même des noms que je n'avais encore jamais entendus :
Patazeur ! Steune ! Gueux-ne ! Pataseur ! Steune ! Gueux-ne !
Il volte face verbalisement car le faussement assumé innocent reconnaît enfin que le taser fonctionne avec une pile de 9 volts seulement, alors qu'initialement il prétendait que c'était 500 000 volte pile.
De son propre chef, soudainement et sans raisons apparente ni sans être capable de s'expliquer, le désormais quasi-suspect traverse la porte blindée 28, que nous avons déterminée comme étant la sienne, quoiqu'à la limite des lieux communs, se retrouve au même niveau que la censeur, abuse d'elle une nouvelle fois en passant et même reconnaît finalement qu'en touchant ses boutons il put s'élever en elle au huitième…
Arrivé à ses fins, il l'abandonne sans même se retourner et sonne chez un compère, qu'il prétend se nommer Hun Voysain.
Puis il se rétracte, et Hun Voysain s'appellerait Franque. Il lui aurait demandé d'abuser de la censeur à deux, jusqu'au plus bas niveau, pour l'accompagner sur les lieux de son crime, ce qui établit la culpabilité indéniable de l'individu Patrice Hénin, car les criminels retournent toujours sur le lieu de leur crime.
Cette association de malfaiteurs, initialement fomentée par le désormais futur inculpé, exécutent leur plans, usent de la censeur, étage après étage, jusqu'à l'immobiliser au sol.
De retour dans la cour de l'immeuble des 47-57 boulevards Poniatowski, Paris XII, ce fils indigne, accompagné d'Hun Voysain alias Franque, celui-ci prêt à user de sa force brutale contre M. Jérôme Hénin, tentent de retrouver les lunettes du futur condamné, et même tendent un traquenard au sixième étage du domicile de la mère du fils dévoyé, utilisant sans autorisation la sonnette de la mère du monstre et de son compère, espérant qu'elle ouvre la porte pour rendre les lunettes qu'elle n'avait sûrement pas avalée, la pauvre dame.
Sans réponse de la dame qui ne serait pas derrière la porte, mais ailleurs, le complice Franque appelle la police avec son appareil téléphonique portable agréé par les réseaux de communications nationaux et même français.
Peu de temps après, nos agents collègues arrivent enfin, sécurisent les lieux et rétablissent l'ordre.
Tout leur indique la suspectitude de M. Patrice Hénin, lorsque celui essaye de renverser la situation en expliquant qu'il n'est pas l'agresseur, mais une victime qui ne devrait physiquement son intégrité (!!) que grâce à ce que les agents professionnels appellent un taser, qu'il ose même horrifier en le montrant à nos agents outragés.
Son complice Franque, alias Hun Voysain, coopère alors aussitôt avec nos agents collègues de l'ordre et tous affirment au sauvage pourfendeur de loi d'ohmme qu'il peut tuer un homme dissimulant un pacemaker en son sein pour le cacher.
Et que le port de cette arme de défense est interdite en-dehors de chez soi, la majorité des agressions ayant lieu à domicile, lorsque l'on se croit à l'abri, les portes blindées empêchant l'intervention des forces de l'ordre.
Tous les criminels savent cela.
Ne voulant rien entendre, le forcené prétend qu'il a acheté ce "stun gun" de ses deniers, par Internet, ce qu'il considérait comme une version électrique d'une bombe lacrymogène "propre", dont la détention est autorisée. Sinon, il se serait bien gardé d'en parler et surtout de la montrer à des policiers.
Et il ajoute avec culot que la police française allait bientôt être équipée de tasers, armes d'attaque et non plus de "stun guns" de défense, conçus pour toucher à distance des personnes dont la police se moque éperdument si elles cachent sournoisement un pacemaker.
Revenons au français.
Les policiers s'en vont, pleins de remontrances à mon égard.
Franck et moi revenons à notre immeuble. Il m'aide à téléphoner au commissariat du 80 avenue Daumesnil, où j'apprends que mon frère et ma mère s'y trouvent.
Pour déposer plainte pour coups et blessures ! Il leur est arrivé quelque chose, encore ?
Incroyable !
Non, je connais mon frère et son art de la manipulation, y compris et surtout envers ma mère. Il aime montrer sa puissance de parvenu. Il doit être en train d'expliquer aux flics ce qu'ils doivent faire : sévir.
Les flics adorent ça, en général. Et puis, comme le dit un proverbe arabe, s'ils ne savent pas pourquoi, lui, il le sait.
Il doit tout savoir, puisqu'il est millionnaire (en $, seulement).
Je décide d'aller au commissariat.
Lorsque j'ai téléphoné, d'ailleurs, la femme agent de police m'a dit "si vous voulez porter plainte, venez vite !"
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