Il m'a fallu attendre 16 mois pour prendre connaissance de
ce rapport d'examen psychiatrique établi par la pseudo psychiatre Élisabeth-Marie
Meyer-Buisan le 9 juillet 2007.
Le temps que les cours correctionnelles, d'appel, fassent leur jugements.
Le temps que les cours correctionnelles, d'appel, fassent leur jugements.
Je n'ai pu le lire que lors de ma demande de pourvoi juste
après mon jugement en appel, le 3 juin 2008.
Idem pour la plainte de mon adversaire (23avril 2006), le
véritable agresseur, mais aussi millionnaire franco-américain, nervi de Martin Bouygues,
vivant maintenant en Floride.
Idem pour le faux témoignage de Stephane Mezencev.
Idem pour le faux témoignage de Stephane Mezencev.
Donc, quelque part, "on" avait vraiment décidé que j'étais bon à soigner. La lecture de ces documents ne devait pas être divulguée parce que je militais dans la section socialiste du XIIème arrondissement de Paris, dont les caciques ont tout fait pour étouffer l'affaire.
Les plaies des coups reçus de mon agresseur étant depuis longtemps cicatrisées, "on" a peut-être pensé à une sorte de mini cellule de crise pour me faire supporter en psychiatrie une pareille injustice !
Pourtant cette injustice ne m'a pas rendu fou furieux, je me suis contenté d'en faire un bouquin électronique, que vous lisez en ce moment même.
Commençons, voici le délire écrit d'une psychiatre un peu
vieillotte, mais complaisante vis-à-vis de ses commanditaires : la XVIème
chambre de cour correctionnelle du TGI de Paris.
On remarque tout de suite qu'elle a effectivement reçu une
feuille de route pour démontrer ce qu'on lui demande de prouver. Elle doit
juste se débrouiller pour faire la démonstration souhaitée.
Puis très certainement encaisser son chèque secrètement convoité.
Puis très certainement encaisser son chèque secrètement convoité.
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Docteur Marie-Elisabeth MEYER-BUISAN Paris, le 26/08/07
Psychiatre des Hôpitaux
Expert près la Cour d'Appel de Paris
Agrée par la Cour de Cassation
Expert près la Cour d'Appel de Paris
Agrée par la Cour de Cassation
6 rue Picot
751160 Paris
Tél. : 06 09 65 13 92
01 56 26 12 12
Fax : 01 46 51 60 97
01 56 26 12 10
Tél. : 06 09 65 13 92
01 56 26 12 12
Fax : 01 46 51 60 97
01 56 26 12 10
E-Mail : Dr.Meyer-Buisan@free.fr
Tribunal de Grande Instance
16ème/2 Chambre Correctionnelle
Palais de Justice
4 Boulevard du Palais
75055 PARIS LOUVRE R.P.S.P
16ème/2 Chambre Correctionnelle
Palais de Justice
4 Boulevard du Palais
75055 PARIS LOUVRE R.P.S.P
Examen psychiatrique de Patrice
HENIN, audience du 5 septembre 2007
+ courrier de Mr HENIN en date du 10 juillet 2007
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Docteur Marie-Elisabeth
Meyer-Buisan PARIS,
le 26 août 2007
Psychiatre des Hôpitaux
Expert près la Cour d'Appel de Paris
Agrée par la Cour de Cassation
Expert près la Cour d'Appel de Paris
Agrée par la Cour de Cassation
6 rue Picot
751160 Paris
Tél. : 06 09 65 13 92
RAPPORT D'EXPERTISE
EXAMEN PSYCHIATRIQUE
EXAMEN PSYCHIATRIQUE
CONCERNANT : Patrice HENIN, né le 4 juillet 1949 à
Dakar (Sénégal)
PREVENU du chef de : Violence avec usage ou menace d'une arme sans incapacité ;
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS
16ème Chambre Correctionnelle, 2ème section, Mme Aïda TRAORE, Juge;
NUMERO DE L'AFFAIRE : 06 184 08076
DATE DE L'EXAMEN: 9 Juillet 2007
PREVENU du chef de : Violence avec usage ou menace d'une arme sans incapacité ;
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS
16ème Chambre Correctionnelle, 2ème section, Mme Aïda TRAORE, Juge;
NUMERO DE L'AFFAIRE : 06 184 08076
DATE DE L'EXAMEN: 9 Juillet 2007
Le médecin
soussigné, Madame le Docteur Marie-Elisabeth MEYER-BUISAN, Psychiatre des
Hôpitaux, 6 rue Picot 75116 Paris, commis par Jugement de la 16ème Chambre
Correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de PARIS, en date du 23 mai
2007, avec mission de : [quelle franchise ! De
plus, cette idiote prouve incidemment que l'audience du 23 mai 2007, à laquelle
la partie adverse ne s'est même pas présentée (pas même son avocat), a bien été
renvoyée au 7 septembre uniquement pour faire procéder à un examen
psychiatrique sur mesure. Ce n'était pas un simple renvoi parce que je m'étais
fait "porter pâle", c'était donc bien prévu, ce renvoi. Relire
l'article de la médiatrice Françoise Guyot :"Voici
ce que nous allons faire…"]
- Prendre connaissance du dossier [il faut vraiment tout lui dire !] et s'entourer de tous renseignements utiles.
- Procéder à l'examen psychiatrique de Patrice HENIN, et répondre [comme il se doit] notamment aux questions suivantes :
1°) L'examen du sujet [Monsieur Patrice est devenu un sujet d'examen] révèle-t-il des anomalies mentales ou psychiques ? [c'est judicieux de se pencher sur cette question lorsqu'une personne de 58 ans a toujours vécu sans manifester de troubles psychiatriques] Le cas échéant, les décrire et préciser à quelles affections elles se rattachent ; [eh oui, brave femme, il va vous falloir être créative !]
2°) L'infraction qui est reprochée au sujet [on aurait dû écrire "l'infraction qui lui est reprochée", mais je suis devenu un sujet, bientôt un "patient"] est-elle ou non en relation avec de telles anomalies ?
3°) Le sujet présente-t-il un état dangereux ? [je rappelle que le "sujet" a été "l'objet" de coups et blessures très volontaires !]
4°) Le sujet est-il accessible à une sanction pénale ? [ben non, il n'est coupable de rien, on veut juste le mettre en psy, sinon on l'aurait "jugé" de suite sans renvoyer l'affaire]
5°) Le sujet est-il curable ou réadaptable ? [Monsieur Patrice Hénin, devenu "sujet", est déjà considéré comme malade, puisque la question est comment le soigner ?]
6°) Le prévenu était-il atteint au moment des faits d'un trouble psychique ou neuro-psychique qui a aboli son discernement ou le contrôle de ses actes ? [on donne une première piste pour l'obéissante psychiatre]
7°) Le prévenu était-il atteint d'un trouble psychique ou neuro-psychique qui a altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes ? [autre suggestion possible pour caractériser la maladie imaginaire]
8°) Le cas échéant, se prononcer sur l'opportunité d'une injonction de soins dans le cadre d'une mesure de suivi socio-judiciaire. [seuls les mots "le cas échéant" sont superflus !]
- Prendre connaissance du dossier [il faut vraiment tout lui dire !] et s'entourer de tous renseignements utiles.
- Procéder à l'examen psychiatrique de Patrice HENIN, et répondre [comme il se doit] notamment aux questions suivantes :
1°) L'examen du sujet [Monsieur Patrice est devenu un sujet d'examen] révèle-t-il des anomalies mentales ou psychiques ? [c'est judicieux de se pencher sur cette question lorsqu'une personne de 58 ans a toujours vécu sans manifester de troubles psychiatriques] Le cas échéant, les décrire et préciser à quelles affections elles se rattachent ; [eh oui, brave femme, il va vous falloir être créative !]
2°) L'infraction qui est reprochée au sujet [on aurait dû écrire "l'infraction qui lui est reprochée", mais je suis devenu un sujet, bientôt un "patient"] est-elle ou non en relation avec de telles anomalies ?
3°) Le sujet présente-t-il un état dangereux ? [je rappelle que le "sujet" a été "l'objet" de coups et blessures très volontaires !]
4°) Le sujet est-il accessible à une sanction pénale ? [ben non, il n'est coupable de rien, on veut juste le mettre en psy, sinon on l'aurait "jugé" de suite sans renvoyer l'affaire]
5°) Le sujet est-il curable ou réadaptable ? [Monsieur Patrice Hénin, devenu "sujet", est déjà considéré comme malade, puisque la question est comment le soigner ?]
6°) Le prévenu était-il atteint au moment des faits d'un trouble psychique ou neuro-psychique qui a aboli son discernement ou le contrôle de ses actes ? [on donne une première piste pour l'obéissante psychiatre]
7°) Le prévenu était-il atteint d'un trouble psychique ou neuro-psychique qui a altéré son discernement ou entravé le contrôle de ses actes ? [autre suggestion possible pour caractériser la maladie imaginaire]
8°) Le cas échéant, se prononcer sur l'opportunité d'une injonction de soins dans le cadre d'une mesure de suivi socio-judiciaire. [seuls les mots "le cas échéant" sont superflus !]
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I) RAPPEL DES FAITS
Patrice HENIN est prévenu d'avoir, à Paris, le 23 avril
2006, volontairement commis des violences n'ayant pas entraîné d'incapacité
totale de travail personnel, sur la personne de Mr Jérôme HENIN. [c'est l'inverse, mais Monsieur Jérôme Hénin étant devenu
millionnaire après 7 ans de bons et "loyaux" services (corruption de hauts
fonctionnaires) pour le compte de Bouygues Immobilier, il ne peut être ni
inquiété ni contrarié : Jérôme Hénin a demandé l'internement de son frère aîné
en vue d'une captation d'héritage, point.]
Les faits ont été commis avec usage ou menace d'une arme, en l'espèce un tazer et un parapluie. [sauf qu'en 2006, même les forces de police n'étaient pas encore équipées de tasers (sans "z"), dont seuls les policiers sont équipés aujourd'hui. La mention d'un parapluie est un mystère !]
Le 9 juillet 2007, j'ai examiné Patrice Hénin dans mon service.
[très bref rappel des faits, une phrase, mieux vaut pour la "justicerie" (institution mafieuse qui s'est substituée à la Justice) ne pas trop s'étendre sur les faits réels : http://patricehenin.blogspot.fr/2008/11/0056-rapport-de-police-feuillet-0-sur.html ]
Les faits ont été commis avec usage ou menace d'une arme, en l'espèce un tazer et un parapluie. [sauf qu'en 2006, même les forces de police n'étaient pas encore équipées de tasers (sans "z"), dont seuls les policiers sont équipés aujourd'hui. La mention d'un parapluie est un mystère !]
Le 9 juillet 2007, j'ai examiné Patrice Hénin dans mon service.
[très bref rappel des faits, une phrase, mieux vaut pour la "justicerie" (institution mafieuse qui s'est substituée à la Justice) ne pas trop s'étendre sur les faits réels : http://patricehenin.blogspot.fr/2008/11/0056-rapport-de-police-feuillet-0-sur.html ]
II BIOGRAPHIE DE
PATRICE HENIN
Son père était officier dans l'armée française. "Il a rejoint le général de gaulle en 1943.
Il est resté dans l'armée. Sa femme et son fils aîné (Patrice Hénin), l'ont
rejoint en Algérie. Il était alcoolique". Il est mort d'une leucémie
aiguë le 17/9/2005. Patrice Hénin "adore
son père, bien qu'il l'ait battu et qu'il ait été alcoolique".
[je divulgue ce rapport 7 ans
après, en 2013. Je ne me souviens pas avoir dit avec insistance que mon père
était alcoolique, mais expliqué qu'il était au front en Algérie, devenu
alcoolique à force de risquer sa vie tous les jours pendant des années de
combat (1943-1945, Indochine, Algérie. Je ne "l'adore" pas, mais
l'admire pour ses faits d'armes. Pour une psychiatre de la qualité de cette
Meyer-Buisan, ces subtilités sont impénétrables. La tournure de la phrase
laisse entendre que je suis celui qui battait son père, mais Meyer-Buisan est
psychiatre, pas écrivain].
Sa mère a 78 ans. Elle vit seule dans le XIIème
arrondissement de Paris, pas très loin de Patrice HENIN, qui habite depuis 26
ans (1981), un studio qu'il a obtenu quand il travaillait chez Elf. Celui-ci a
de bonnes relations avec sa mère. [elle en pose des
questions !]
Patrice HENIN est l'aîné d'une fratrie de 3 :
- Jérôme, de 10 ans son cadet [9 ans 1/2 pour être précis], vit aux États-Unis, en Floride. "Alors qu'il était déjà aux États-Unis, Patrice HENIN lui a rendu service en fraudant en France : il allait signer pour lui sa carte de chômage au Plessis-Trévise". [en fait, j'ai précisé cela pour répondre à la question "avez-vous toujours éprouvé de l'animosité pour votre frère ?". J'ai prouvé que j'étais capable de rendre service à mon frère en bravant la loi, en prenant des risques, à seule fin que mon petit frère ait une chance de réaliser son rêve américain. J'avais aussi signalé les privilèges étonnants de cet ex-directeur général de chez Bouygues Immobilier qui s'est toujours vanté de n'avoir jamais payé d'impôts en France. Pas très contribuable, mais il a quand même touché pendant 3 ans son chômage de "licencié économique" alors qu'il était à la tête de deux entreprises de promotion immobilière en Floride : pas un mot là-dessus dans ce rapport !]
Son frère a été marié pendant 10 ans, "avec une femme portoricaine qu'il a épousé 3 semaines après l'avoir rencontrée pour avoir ses papiers". [exact, sauf que je suis le seul membre de la famille à avoir tout fait pour que Terry ("la femme portoricaine") soit acceptée par ma famille ! Ainsi que ce mariage express qui n'avait rien d'un coup de foudre, plutôt un coup d'esbroufe pour effectivement obtenir la nationalité américaine ! Terry est la seule à m'avoir témoigné de la sympathie après que Jérôme ait décidé de divorcer en 1996. Au fait, nous sommes paraît-il en train de déterminer à quel point je suis violent, m'enfin, continuons à répondre aux questions…] Il ne s'est pas remarié. "Il a des call-girls". [heureusement que je suis discret, mon frère est aussi bisexuel, mais je m'en fous et n'en ai pas parlé] Il est "millionnaire". Il travaille chez Bouygues. [de 1986 à 1993, pas en 2006] D'agent immobilier il est devenu promoteur. [chômeur-promoteur, j'avais dit pour m'amuser] "Avant de rentrer chez Bouygues il a passé des tests qui ont montré qu'il avait une ambition démesurée, mais ni scrupules ni affectivité. Il est intelligent. Il travaille beaucoup mais il n'a aucune moralité. C'est le rêve américain. [?] Il est jaloux de sa sœur et de son frère". [oui, j'ai répété ce que Jérôme Hénin m'avait raconté lui-même à l'époque, voir mon article : 1986 : je suis embauché par Bouygues parce que je suis immonde ! pour faire comprendre à cette psychiatre que ce n'était pas moi qui devrait passer sur un divan !]
- Jérôme, de 10 ans son cadet [9 ans 1/2 pour être précis], vit aux États-Unis, en Floride. "Alors qu'il était déjà aux États-Unis, Patrice HENIN lui a rendu service en fraudant en France : il allait signer pour lui sa carte de chômage au Plessis-Trévise". [en fait, j'ai précisé cela pour répondre à la question "avez-vous toujours éprouvé de l'animosité pour votre frère ?". J'ai prouvé que j'étais capable de rendre service à mon frère en bravant la loi, en prenant des risques, à seule fin que mon petit frère ait une chance de réaliser son rêve américain. J'avais aussi signalé les privilèges étonnants de cet ex-directeur général de chez Bouygues Immobilier qui s'est toujours vanté de n'avoir jamais payé d'impôts en France. Pas très contribuable, mais il a quand même touché pendant 3 ans son chômage de "licencié économique" alors qu'il était à la tête de deux entreprises de promotion immobilière en Floride : pas un mot là-dessus dans ce rapport !]
Son frère a été marié pendant 10 ans, "avec une femme portoricaine qu'il a épousé 3 semaines après l'avoir rencontrée pour avoir ses papiers". [exact, sauf que je suis le seul membre de la famille à avoir tout fait pour que Terry ("la femme portoricaine") soit acceptée par ma famille ! Ainsi que ce mariage express qui n'avait rien d'un coup de foudre, plutôt un coup d'esbroufe pour effectivement obtenir la nationalité américaine ! Terry est la seule à m'avoir témoigné de la sympathie après que Jérôme ait décidé de divorcer en 1996. Au fait, nous sommes paraît-il en train de déterminer à quel point je suis violent, m'enfin, continuons à répondre aux questions…] Il ne s'est pas remarié. "Il a des call-girls". [heureusement que je suis discret, mon frère est aussi bisexuel, mais je m'en fous et n'en ai pas parlé] Il est "millionnaire". Il travaille chez Bouygues. [de 1986 à 1993, pas en 2006] D'agent immobilier il est devenu promoteur. [chômeur-promoteur, j'avais dit pour m'amuser] "Avant de rentrer chez Bouygues il a passé des tests qui ont montré qu'il avait une ambition démesurée, mais ni scrupules ni affectivité. Il est intelligent. Il travaille beaucoup mais il n'a aucune moralité. C'est le rêve américain. [?] Il est jaloux de sa sœur et de son frère". [oui, j'ai répété ce que Jérôme Hénin m'avait raconté lui-même à l'époque, voir mon article : 1986 : je suis embauché par Bouygues parce que je suis immonde ! pour faire comprendre à cette psychiatre que ce n'était pas moi qui devrait passer sur un divan !]
- Catherine, 12 ans [11 ans pour
être précis] plus jeune que lui. En 1981 leurs parents ont fait
construire une villa en Floride pour y passer l'hiver. "Sa sœur est tombée amoureuse de la Floride.
Elle habite aux États-Unis. Elle a fait des études de Droit, qu'elle a reprises
pour avoir un diplôme américain. Elle est avocate. Elle a épousé un urgentiste
texan. Elle a 2 enfants très intelligents [?]. Mais elle est anorexique et son état
s'aggrave [? Je ne sais pas d'où elle sort ça]. Elle adore Patrice HENIN, mais ne se
manifeste plus depuis la mort de leur père". [exagération
: ma sœur grignote plus qu'elle ne mange, mais n'est pas anorexique. Elle
m'aime bien, quant à "m'adorer", encore ce verbe…]
Patrice HENIN a eu "une
enfance très difficile à partir de l'âge de 9 ans, quand son frère Jérôme est
né. [l'alcoolisme de mon père et ses
conséquences n'ont aucun rapport avec la naissance de mon frère, mais il faut
commencer à me donner des raisons de détester Jérôme, il faut expliquer
pourquoi je l'aurais frappé 48 ans après] Il a connu beaucoup de violences. Son père était très violent. Il le
battait. Quand ils vivaient à Madagascar il lui donnait des coups de trique.
Cette violence occasionnait des dysfonctionnements familiaux aigus" [exact, y compris pour les dysfonctionnements familiaux,
imaginez l'ambiance : le père frappe et refrappe l'aîné au rez-de-chaussée, la
sœur s'enferme dans sa chambre pour étudier, ma mère fait le cerbère devant sa
porte pour éviter les remontées d'alcoolique…].
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Patrice HENIN n'a pas réussi le BAC, qu'il a passé en 1969,
et qui était particulièrement difficile cette année-là, contrairement à l'année
précédente (1968), où il avait été facilité par les évènements sociaux de
l'époque, explique-t-il. Il a le certificat d'études primaires. [j'ai échoué au BAC de 3 points sur 127, j'ai obtenu le
Certificat de Fin d'Etudes Secondaires attribué à ceux qui ont au moins 8/20 au
Bac. J'avais passé le BEPC en classe de 3ème en même temps que le Certificat
d'Études Primaires, facultatif. J'ai obtenu un examen professionnel pour passer
cadre chez Atochem, classé 2ème sur 32, correspondant à BAC + 2. La psychiatre
n'a retenu que le Certificat d'Études Primaires, tout comme elle n'a rien
retenu de sa fac de droit]
Il a fait son Service Militaire dans le train, à Berlin,
pendant un an. [durée légale, mon contingent a été
le premier à faire un an pile, dans l'armée des "conducteurs" : le Train. Je lui avais dit aussi que
j'avais passé mon Brevet de Parachutiste Pré-Militaire en 1967, par choix
volontaire]
Il a ensuite occupé divers emploi :
- pendant 13 ans il a été employé chez Elf ; à la fin il
était l'assistant d'un ingénieur. [j'ai travaillé sans
une seule journée d'inactivité de la fin de mon service militaire (1970)
jusqu'à 1990. "A la fin", on me payait l'avion Air Inter 1ère classe
pour aller présenter mes applications informatiques dans nos raffineries, comme
celle de Lavéra]
- il a vécu aux États-Unis de 1995 à 1998, ses parents ayant
obtenu la green card par loterie, et passant l'hiver en Floride. [pour échapper au chômage en France, je suis parti
travailler de 1995 à 1998 en Floride dès que j'ai eu cette "green
card". J'ai eu un boulot 3 semaines après mon arrivée. Puis 3 mois de
travail en hiver 2001-2002 et 3 mois l'hiver 2002-2003, pour aider ma sœur
attorney, payé au noir. J'avais déjà fait plusieurs séjours, un total de 5 ans
passés uniquement en Floride. Ce sont mes parents qui passaient 7 mois d'hiver
en Floride, moi je travaillais de 40 à 60 heures toute l'année, 15 jours de
vacances par an comme tout américain]
Lui-même avait obtenu cette carte par "regroupement familial". Il y a fait "quantité de petits boulots" ; pendant un an et demi il a
travaillé dans un restaurant français dont le patron "détestait son frère" [toute la
communauté française de Floride connaissait les activités d'escroc immobilier
et de trafiquant d'armes de Jérôme Hénin : http://patricehenin.blogspot.fr/2008/12/2008-je-nadmettrai-jamais-que-lon.html]
Patrice Hénin a eu d'importants problèmes somatiques :
- en 1973 il a fait une tuberculose pulmonaire, qu'il
qualifie de "maladie du postier, car
il balayait la poussière". [cité comme
cela, cela fait grotesque ! Le médecin du travail m'avait annoncé que j'avais
attrapé la "maladie du postier". Pour me l'annoncer, il évitait de
^parler de tuberculose au début, cela m'avait surpris. On devait mouiller le
sol le soir pour balayer avant de partir. Souvent je faisais des heures
supplémentaires la nuit en centre de tri postal, avec des accordéons
d'aspirateurs accrochés au plafond pour débarrasser les sacs postaux de leur
poussière] Il a pris pendant 18
mois des antibiotiques et il a passé 6 mois en sanatorium.
- au États-Unis on lui a diagnostiqué une bronchite
chronique. Il a un emphysème, et doit très prochainement passer un examen de sa
fonction respiratoire. Depuis quelques mois il a beaucoup maigri : "il a toujours pesé 57kgs ; il ne pèse que 52.
[exact, sauf qu'elle modifie la date. C'est à mon
retour des Etats-Unis en 1998 que j'ai perdu l'appétit quelques mois. Il est
préférable de décaler cet épisode de ma vie vers le présent pour inciter les
juges à me forcer à prendre soin de moi !] Or il prend un substitut hyperprotéiné". [je prenais
en 1998-99 du Rénutril. Cette psychiatre commence à prendre l'habitude de
déformer mes dires, elle se construit son petit monde de malade] Il
avait diminué sa consommation quotidienne de tabac, passant de 3 paquets à 10
cigarettes. [elle réécrit mes dires, en me posant
de plus en plus de questions en rapport avec le "vice" que j'ai avoué
: je fume du tabac ! Et même, quotidiennement ! Pour expliquer comment on
m'avait détecté une bronchite chronique aux États-Unis, je lui avais expliqué
que je travaillais de 8h à vers minuit (dernier client), sans coupure, dans le restaurant français. Ma seule
autorisation était de fumer une cigarette côté parking, où je pouvais discuter
avec des gens. Je finissais par aller fumer presque toutes les 5 minutes, donc
à fumer jusqu'à 3 paquets par jour. De retour en France, j'ai repris mon rythme
habituel, un paquet par jour. La maladie progressant, je commençais à faire des
efforts pour diminuer, parfois 10 cigarettes par jour.] Il a arrêté une
semaine avant que je ne l'examine et "il
suce beaucoup de Niquitin. [non, Niquitine,
docteur] Le déclic pour arrêter a
été le décès d'une femme qui avait un durcissement des bronches". [il est vrai que le décès de madame Yvonne Brulon, amie
de mes parents et en plus ma voisine d'immeuble, m'a incité à arrêter mais cela
n'a duré qu'une semaine]
- depuis plusieurs mois il a des céphalées. Il a passé un
scanner cérébral, dont les résultats sont normaux.[ah,
bon ? C'est d'origine psycho alors… Elle continue à me poser des questions sur
ma vie, en continu]
- Il porte des lunettes car il est "astigmate, myope et presbyte". [parfaitement exact, je vois tout flou sans mes lunettes.
Les flics ayant eu l'idée d'essayer de dissimuler le fait que mon frère avait
commencé à me donner un coup à la tête pour faire tomber mes lunettes, je devais lui parler de mes lunettes et le
faire mettre dans le rapport. Réussi, mais les juges se sont senti obligés de passer outre]
En février 2001, "il
a fait une dépression nerveuse : aboulie totale ; angoisses ; impossibilité de
manger et de parler ; solitude totale ; il pensait rester aux États-Unis. Il y
avait des problèmes relationnels aigus dans la famille, a dit à son avocat.
[quel avocat ? Me Augustin Kemadjou, commis
d'office que je n'ai jamais vu, ou Me Philippe Miro, avocat embauché en
catastrophe par ma mère, que j'ai vu une seule fois se présenter à l'audience
du 23 mai 2007, celle qui a été renvoyée. Ce Philippe Miro aurait plaidé à
l'insu de mon plein gré ? En tous les cas, il n'a jamais osé facturer ma mère,
en toute honnêteté !] Pendant 15
jours il a été hospitalisé à la maison de santé de Nogent-sur-Marne, où son
père s'était fait désintoxiqué de l'alcool. Selon lui, ils sont nuls dans cet
établissement. Il n'a pas eu de suivi post hospitalisation". [oui, lors de ma dépression à cause de la solitude
absolue, du dépaysement, du retour au chômage français, de la prise de
conscience de ma maladie qui commençait à me poser des problèmes respiratoire,
j'ai consulté une psychiatre qui me chargeait pour 10 minutes passées à
m'écouter, après deux à trois heures d'attente. Elle recevait même le dimanche,
avide d'argent. Elle m'avait suggéré d'aller me reconstituer avec 3 repas par
jour en clinique. J'ai accepté à condition de ne pas être drogué. J'ai fini par
comprendre qu'elle était très appréciée comme pourvoyeuse de clients dans cette
clinique qui m'avait demandé à l'entrée 2 500 FF avant de réduire la
douloureuse à 1 500FF, vu mes faibles ressources de chômeur. Lorsque j'ai
appris que je devais rester plus longtemps que les 15 jours prévus, sans vraiment
être suivi par un psychiatre qui ne m'a reçu qu'une fois, condamné à
"essayer" des traitements lourds différents tous les 3 ou 4 jours,
enfermé dans cette clinique, j'ai obtenu ma sortie. Cette arnaque est résumée
en un mot par leur confrère Meyer-Buisan : ils sont "nuls". Pas tant
que ça ! J'y ai rencontré une autre patiente de ma psy qui a fui sans demander
son reste, une prof de philo de 29 ans, Sabine M., dont je suis tombé amoureux.
Peut-être l'effet des médicaments et sûrement de sa personnalité mignonnement
bien incarnée ! J'ai repris goût à la vie parisienne dès ma sortie !].
J'ai été en contact épistolaire avec mes collègues. Patrice
HENIN y a été hospitalisé le 23/2/2001, pour "dépendance importante aux
benzodiazépines sur personnalité très fragile avec des éléments anxio-dépressifs".
[Effectivement, j'avais pris goût au Lexomil
prescrit par la psychiatre, Dr Annick Perot, 228 rue des Boulets 75011
Paris; c'est pour cela qu'il avait été convenu que je devais aller en clinique
uniquement pour me reconstituer avec une alimentation régulière et voir du
monde. Question médication, j'ai été gâté, ils ont été jusqu'à me prescrire du
Largactil dans les derniers jours, une drogue hyper dangereuse et puissante.
Après ma sortie, mon ancien médecin traitant, le Dr Armand Bouaziz s'était écrié, en voyant les
ordonnances "Oh ! les salauds
!", carrément.] Dans ses antécédents l'on retrouve : une
hospitalisation à son retour et dernièrement [ou
plutôt : il y a 9 ans !] en 1998 à l'hôpital Saint-Antoine pour un
sevrage aux benzodiazépines ; une hospitalisation en juin 2000 [en toute logique, elle devrait maintenant écrire :
"il sort tout juste de…"] pour sevrage alcoolique à l'hôpital
psychiatrique Esquirol. [1998 , de retour des
Etats-Unis, je me suis mis à picoler de la bière et j'ai été à l'hôpital
Saint-Antoine pour arrêter de boire. Cela a été justement l'occasion d'être
lexomique à la place de bièromane ! N'allez jamais confier votre santé à des
psychiatres] Au début de son séjour à la maison de santé de Nogent, il
était très compliant aux soins. Alors que la thymie et son sommeil se
normalisaient, il a demandé une
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sortie contre avis médical, qui a eu lieu le 14 mars 2001. [l'établissement a finalement régularisé ma sortie sans
m'obliger à signer une décharge de responsabilité, discrétion oblige] Son
traitement associait Largactil (neuroleptique), et Dépakine (régulateur de
l'humeur). Il lui a été demandé de revoir rapidement son médecin de ville pour
son suivi thérapeutique. [j'avais demandé à
l'infirmière de cet établissement pourquoi mon traitement changeait tout le
temps, elle m'avait répondu que les psychiatres cherchaient ce qui me convenait
le mieux. Ce à quoi j'avais répondu qu'ils faisaient n'importe quoi.
Effectivement j'ai revu mon médecin traitant qui, après s'être exclamé "Oh ! Les salauds", m'avait dit en
souriant "à la fac de médecine, ceux
qui choisissent la psychiatrie sont vraiment les plus bizarroïdes, on n'est pas
étonnés d'en voir certains choisir cette spécialisation !". Ce médecin
m'a soigné pendant pendant 20 ans, il n'a pas estimé nécessaire de me prescrire
ces drogues, bien au contraire]
Actuellement il ne prend pas de médicaments psychotropes et
il n'a pas de suivi psychologique. "Il
ne pense pas que la psychiatrie soit une science exacte". [voilà enfin introduit le fait que ne prenant pas de
psychotropes, je devrais en prendre. N'étant pas suivi, je devrais être suivi. Même
si 6 ans se sont écoulés, il n'est jamais trop tard pour mal faire. Je lui
avais fait part de mes remarques ci-dessus écrites en bleu, entre crochets,
c'est très bien résumé]
Depuis 2001, Patrice HENIN perçoit l'Allocation pour Adultes
Handicapés, soit environ 900€ mensuels [plutôt 800€] , qu'il explique par son
"problème respiratoire" [? Pourquoi ne
pas écrire normalement : … à cause de son emphysème ?].
Lorsque je lui demande s'il a des antécédents judiciaires Patrice HENIN répond que "depuis 2001 il a le droit de répondre non à cette question, et son casier judiciaire est vierge". Néanmoins il fait une vague allusion au Haschich. [j'avais dit que j'avais eu d'anciens ennuis judiciaires à cause de consommations de cannabis, prescrit depuis 2001]
Lorsque je lui demande s'il a des antécédents judiciaires Patrice HENIN répond que "depuis 2001 il a le droit de répondre non à cette question, et son casier judiciaire est vierge". Néanmoins il fait une vague allusion au Haschich. [j'avais dit que j'avais eu d'anciens ennuis judiciaires à cause de consommations de cannabis, prescrit depuis 2001]
Patrice HENIN décrit une vie affective instable :
[elle voulait savoir pourquoi je ne m'étais jamais marié, espérant peut-être découvrir une forme quelconque de pédophilie ! Cela me fait penser aux mots-clefs bizarres découverts dans mon premier site chez Blogspirit.com : http://patricehenin.blogspot.fr/2007/11/0001-comment-prouver-quun-blog-est.html, justement en juillet 2007]
[elle voulait savoir pourquoi je ne m'étais jamais marié, espérant peut-être découvrir une forme quelconque de pédophilie ! Cela me fait penser aux mots-clefs bizarres découverts dans mon premier site chez Blogspirit.com : http://patricehenin.blogspot.fr/2007/11/0001-comment-prouver-quun-blog-est.html, justement en juillet 2007]
- au lycée il eu un premier amour, Jasmine D., mais c'était
à sens unique.
- de 1975 à 1982 [1976 à 1980],
il a eu "une vie maritale",
avec Christiane L. Il a été "très
heureux", jusqu'à ce qu'elle ait "un coup de foudre pour un italien". Cette rupture "l'a cassé sur le plan affectif" [la voilà rassurée sur le plan "marital", mais
j'aurais préféré qu'elle écrive au passé, je m'en suis remis depuis ! Et surtout
qu'elle arrête de fouiner dans ma vie intime].
- de 1984 à 1987, il a vécu avec Sylvie H., "qui n'a jamais voulu partir lorsqu'il lui a
demandé, qu'il n'a jamais eu le cœur de chasser, mais qui a fui à l'arrivée de
son frère". [je n'ai pu m'empêcher de raconter
cette anecdote tragi-comique : ce jour où Sylvie se décide à partir par peur de
l'arrivée de mon frère : elle appelle l'ascenseur avec sa valise, mon frère surgit de l'ascenseur avec sa valise et lui
dit "t'es encore là, toi !"]
- à 50 ans il a rencontré Sabine M., 29 ans, professeur de
philo, mais la différence d'âge les aurait empêchés d'aller plus loin dans leur
relation. "Il n'a plus de libido. Il
n'a plus de relations depuis 3 ans, mais néanmoins des filles l'attirent".
[je n'ai pas apprécié sa curiosité sur ma vie
amoureuse, mais j'ai résumé les principaux épisodes. C'est assez pénible,
indécent.]
III) EXAMEN CLINIQUE
DE PATRICE HENIN
Patrice HENIN est un homme de 58 ans, anxieux, fébrile,
logorrhéique. "On m'a dit d'en dire
le minimum, or je vous raconte ma vie", conclut-il. [questionné, je réponds sans fard et j'explique lorsque
cela semble hors normes. Je me retrouve donc logorrhéique, un malade qui parle
sans arrêt, dont le flot de paroles intarissables est impossible à stopper.]
Il n'est pas venu au premier rendez-vous que je lui ai fixé,
le 15 juin 2007, et il m'en explique les raisons dans une lettre rédigée à
cette date : "j'ai eu peur que ce jour
soit celui où je serais interné à la demande de mon frère. Preuve que je suis
bien paranoïaque, comme le pense Mme Françoise Guyot, médiatrice",
écrit-il. [elle ne rate pas une occasion de
déformer mes paroles, j'ai fait remarquer que j'étais chez elle à la demande de
mon frère qui veut me faire interner, avec l'incroyable participation de la
médiatrice. Elle remanie cela] C'est après avoir rencontré son avocat
qu'il a repris contact avec moi. [excellent ! Je
n'ai vu cet avocat Me Philippe Miro que lors de l'audience du 23 mai 2007, il
s'est contenté d'écouter la juge demander un renvoi pour expertise
psychiatrique alors que la partie adverse, au courant de cette décision décidée
à l'avance, ne s'est même pas déplacée. Elle me donne l'occasion d'apprendre
que cet avocat qui ne s'est jamais occupé de moi m'aurait rencontré pour me
décider à suivre cette édifiante expertise psychiatrique. Il est donc partie
prenante dans l'association de malfaiteurs décidée à me nuire]
Après l'expertise, Patrice HENIN m'a écrit une longue lettre
expliquant en particulier ses démêlés familiaux. Il a souhaité que je la
transmette au Magistrat [l'obséquieuse psy n'oublie
pas la majuscule] qui doit le juger le 5 septembre, ce que j'ai fait.[sauf que j'ai été convoqué pour une audience le 7
septembre 2007, et jugé le 5, sans avoir ou lire ce présent rapport. Me
Philippe Miro savait depuis le 23 mai 2007 que j'étais convoqué oralement pour
le 7 septembre 2007]. Il tente d'expliquer le comportement de son frère
qui, selon lui, nécessiterait une expertise psychiatrique [j'avais dit "un examen psychologique, le même qu'il
avait passé pour son embauche chez Bouygues Immobilier, n'accordant que peu de
valeur aux examens psychiatriques]. Son récit est parfois flou et
confus, pas toujours facile à lire [faut le
digérer, je sais, c'est dur à avaler]. Il passe facilement du coq à
l'âne.[à l'oral, je suis logorrhéique, à l'écrit je
ne suis pas devenu prolixe, c'est déjà ça !]
"Le jour des
faits son frère était de passage en France. Il a amené sa mère au restaurant.
Or il est un troublion ["trublion" en
bon français, madame la psychiatre, un mot que je n'ai pas utilisé].
C'était l'anniversaire de sa mère (77 ans). Il pleuvait. Patrice HENIN lui
avait acheté un gâteau [en français parlé par des gens
normaux, on dit "il avait acheté un gâteau… "]. Il va chez sa
mère et ne trouve personne. En redescendant dans la cour, il la trouve, en
compagnie de son neveu [elle arrive, suivi d'une
femme et de mon neveu, que je n'ai pas immédiatement reconnu.] Elle
était pliée en 2, avec des signes de souffrances sur son visage. [? Qu'est-ce que c'est que cette remarque ? Le film ne
lui aurait pas plu ? On touche au délire, madame la psy] Son fils Jérôme
lui dit : "quoi, tu fréquentes
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encore ça ? Jérôme donne
un coup de tête à Patrice HENIN et fait voler ses lunettes. Il détruit son
parapluie avec lequel Patrice HENIN tentait de se défendre. Il l'a tapé avec un
vélo. Il a des traces de coups, alors que son frère n'a rien eu. C'est son
frère qui l'a frappé. Il est allé au commissariat avec sa mère, qui a fait une
déposition. Les flics lui ont donné raison, et la médiatrice a enfoncé Patrice
HENIN". [c'est exact, sauf que Jérôme n'a
pas donné un coup avac sa tête, mais m'a frappé sur la tempe]
Patrice HENIN "n'avait
pas un tazer [taser], mais un stun gun, [matraque
électrique en vente libre] qu'il a
dans sa poche depuis un an pour trois raisons". Il m'en donne 2 [et m'en cache une !]: "1)
défendre son père ;[drôle d'idée, elle commence
à être créative, la psy. Mon père est décédé le 17 septembre 2005, puis mon
frère m'a interdit d'aller chez ma mère peu de temps après. "si je te rencontre chez elle, ça se passera
très mal" m'avait-il répété au téléphone ! J'avais acheté ce stun gun
et le prenait uniquement pour aller chez ma mère, pour me défendre au cas où.
Il faisait souvent des passages à Paris et avait demandé à ma mère de ne pas me
signaler ses arrivées. Donc, chaque fois que j'allais chez ma mère, je prenais
le risque de le rencontrer et que cela doive "se passer très mal". Connaissant mon frère, j'ai pris la
menace au sérieux et l'ai expliqué à cette psychiatre] 2) pour se rendre au restaurant Émeraude
(pour ceux qui ont plus de 60 ans et qui ont des problèmes d'argent), il passe
par un raccourci et traverse une cité mal famée". [des racailles m'avaient jetés de bouteilles en
plastique, sans raisons. J'avais pensé aller au restaurant avec ce truc dans la
poche, mais un voisin de table m'en a dissuadé, je pouvais me le faire prendre,
top faible pour me défendre. Je lui en avait parlé] Le stun gun est
interdit, "ce qu'il ignorait".
"En mettant les piles il a eu une
anesthésie locale pendant quelques temps. [il
fallait deux piles, j'ai reçu une décharge en les plaçant dans l'appareil. À
part des picotements, je n'ai pas eu l'impression que c'était incapacitant, pas
très efficace cette arme diabolique]
Il voulait enlever la pile et menacer son frère avec son arme. Or il s'est
aperçu qu'il ne l'avait pas enlevée. C'est beaucoup plus efficace quand c'est
mouillé, or il pleuvait. Les flics le lui ont pris". [elle reprend des phrases que j'ai dites, mais en les
mettant dans un ordre différent pour construire un récit incompréhensible et me
faire passer pour un danger public : je lui avais précisé que j'avais sorti ce
stun gun après avoir été frappé à la
tête, perdu mes lunettes, puis obligé de reculer devant ce cher frère qui
s'était mis en position de boxeur, très menaçant, qui avançait vers moi. Acculé
au mur et ne pouvant plus reculer, j'ai sorti le stun gun pour le faire claquer
en l'air. J'espérais qu'il arrête d'avancer. J'avais précisé que je ne voulais
pas essayer de toucher Jérôme, en partie à cause de la pluie, effectivement]
Patrice HENIN "ne
se sent coupable de rien. L'achat du stun gun est une erreur, mais il n'en
ressent pas de culpabilité. Ce serait à refaire, il n'en rachèterait pas".
[j'avais réalisé que cet appareil était au mieux
inefficace, au pire qu'il pouvait changer de main, mon frère étant plus costaud
que moi, pas atteint d'un emphysème, lui]
Patrice HENIN explique qu'il écrit un blog, dont il me donne
les coordonnées. "Son frère a repéré
son blog, sur lequel il parle de lui [dans
lequel… ]. Tous les avocats
voudraient que ça reste au niveau d'une altercation entre frères, mais c'est
une affaire d'état. Sarkozy sait ce qu'il pense de lui. Patrice HENIN fait
partie du mouvement de Ségolène Royal "désirs d'avenir". Dans le
Parti socialiste, tout est à rénover. Ça lui rappelle mai 1968. C'est l'avenir
de la France". [je ne me souviens pas
avoir parlé de mon "mai 68", passons. J'aime bien cette réflexion
complètement inventée "d'avenir de la France" pour "désirs
d'avenir" ! Le récit de la psychiatre, qui fait semblant de reprendre mes
dires, ne fait qu'utiliser des mots prononcés pour reconstruire un récit
volontairement incohérent, mais qui serait le mien]
"On cherche à
pirater son ordinateur [il a bel et bien été
piraté et le système d'exploitation détruit en août 2007, comment a-t-elle
deviné ? C'est ici : http://patricehenin.blogspot.fr/2008/02/0002-message-pour-betapolitique.html
] et à faire classer son blog dans
un site pédophile [c'est ici : http://patricehenin.blogspot.fr/2007/11/0001-comment-prouver-quun-blog-est.html
]. Il est écrit : "je veux sucer mon
neveu". En tapant cette phrase, on tombe sur son blog en 4ème position.
Son frère est dans le coup. Il travaille pour Bouygues, or Bouygues et Sarkozy,
même combat" [même engeance, pas même
combat. Sarközy de Nagy-Bocsa a boien choisi Martin Bouygues comme parrain
catholique de son fils Louis !].
Patrice HENIN "aimerait
que son frère passe des tests, car il est méprisant et fait du mal à tout le
monde. C'est un malade, mais il n'est pas méchant. On est tous les 3 des
enfants d'alcoolique", explique-t-il. [Jérôme
avait passé un test psychologique la veille de son entretien d'embauche chez
Bouygues Immobilier : http://patricehenin.blogspot.fr/2007/06/0003-je-suis-embauch-par-bouygues.html
j'ai demandé à ce qu'il en repasse un, normal, vu qu'il est maintenant devenu
dangereux]
Patrice HENIN se dit "dégoûté" de l'alcool. Il ne fume plus de tabac depuis 9 jours.
"Le cannabis a été son dada pendant
40 ans. Il a fumé son dernier joint en 2003. C'est le seul antidépresseur qui
l'a aidé". [permettez-moi de récidiver : méfiez-vous
des drogues légales : tabac, alcool. Fumez des joints !]
Il dort peu. Il a des difficultés d'endormissement. [faux : je travaille beaucoup la nuit à surfer, écrire
mon blog et aussi militer, à l'époque, pour le PS]
Il mange mieux, mais son poids a diminué. "Il pense au cancer, mais il ne pense pas
l'avoir". [? Je perds du poids, j'en
regagne, qu'est-ce que c'est cette connerie ?]
"Il vit la
politique. Ça se fait ensemble. [? Comme
l'amour ?] Il va se présenter à la
mairie du XIIème arrondissement. [faux, on ne
se présente pas lorsqu'on est adhérent, on milite pour un candidat choisi par
les caciques du parti] Il a fait
la campagne de Ségolène Royal. Il a tellement distribué de tracts qu'il est
devenu un personnage connu. Il est supermilitant de "désirs
d'avenir". [merci du compliment, j'aurais
préféré excellent militant talentueux, mais chacun sa façon de parler ou
d'écrire] Il a tenu le bureau de
vote en tant qu'assesseur. Il écrit sur un sujet politique qui porte sur
l'économie, le social et l'écologie. [je
travaillais sur le développement durable, qui réunit ces 3 composants,
effectivement : http://patricehenin.blogspot.fr/2007/10/0004-mon-credo-en-neuf-verbes.html
] Il explique ce qu'a voulu dire
Ségolène Royal".
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IV) DISCUSSION
Patrice HENIN décrit une enfance difficile. Il est l'aîné,
celui que son père battait, et qui n'a pas fait d'études en comparaison avec
son frère et sa sœur, si l'on s'en tient à ses dires.[c'est
une forme de délire d'affirmer "si
l'on s'en tient à ses dires". Ma sœur a fait sa fac de droit, en
France puis aux États-Unis, mon frère a fait une école supérieure d'immobilier
: http://patricehenin.blogspot.fr/2008/02/0002-1981-blanc-mesnil.html]
Sa vie semble avoir basculé à la naissance de son frère quand il avait 9 ans. [pure invention d'une cinglée devenue psychiatre mais obligée
de trouver de la clientèle au Palais de justicerie]
Ses relations à son frère sont ambivalentes. Il fait du mal
à tout le monde, mais il n'est pas méchant, dit-il en parlant de lui. [cela a l'air de l'ennuyer de constater l'absence de haine
pour mon petit frère devenu fou par l'argent facile chez Bouygues Immobilier.
Je lui avais expliqué que la méchanceté n'était pas l'explication du
comportement odieux de mon petit frère, mais la jalousie, oui. Le directeur des
ressources humaines de Bouygues a pourri et exploité mon frère a utilisé son
absence de règles en le formant à la corruption] Lorsqu'il relate les
faits qui lui sont reprochés, celui qui a été frappé, c'est lui, pas son frère.
[porte ouverte à l'idée que même blessé, je suis
sûrement le provocateur] Quant à son arme, il n'aurait pas su qu'elle
était interdite, [la preuve, j'ai dit aux flics qui
sont venus sur les lieux de l'altercation, suite à mon appel, qu'avoir exhibé
le stun gun m'avait peut-être sauvé ! Raconté avec délice ici : http://patricehenin.blogspot.fr/2007/06/0004-retour-chez-moi.html]
et il aurait seulement voulu en menacer son frère. Or il s'avère qu'il
avait oublié d'en enlever la pile, et qu'elle était plus efficace quand elle
était mouillée, ce qui était le cas. [la pile est
plus efficace quand elle est mouillée ! Lorsque j'ai écrit ce pastiche hilarant
de contre-rendu policier, j'étais prémonitoire ! Relisez http://patricehenin.blogspot.fr/2007/06/0004-retour-chez-moi.html]
Si l'on exclue toute intention de nuire
de sa part, son comportement avait néanmoins une connotation dangereuse. [elle est prête à jeter l'éponge, j'étais persuadé en
sortant de cette entrevue que la psy allait rendre un rapport contre mon frère, mais non, les ordres
sont les ordres : c'est elle ou moi. Donc, je suis dangereux même sans
intentions de nuire, seule la psychiatrie peut me sauver, moi et les autres.
Heureusement que nous sommes dans un pays civilisé, avec corps médical, corps
judiciaire, corps policier pour faire tourner la société en toute sérénité]
Patrice HENIN est persuadé de la malveillance de son frère à
son égard [l'idée m'a effleuré l'esprit…].
Celui-ci voudrait le faire interner, et d'autre part il saboterait son blog en
essayant de le faire passer pour un pédophile. [Jérôme
n'a pas le pouvoir ni les compétences pour pirater un blog, y introduire des
phrase comme celles qui figurent réellement, de façon inexpliquée par Philippe
PINAULT lui-même, patron de Blogspirit.com. Mais c'est bien d'en parler,
dangereux pour notre ami Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa] Son vécu
persécutif [n'existe pas dans le dictionnaire]
à l'égard de son frère rentre dans le contexte d'une problématique familiale
ancienne. [cela pourrait se tenir si je n'accusais
pas la chaîne frérot-Bouygues-Sarközy à l'œuvre pour éliminer un témoin trop au
courant de la carrière dudit frérot au sein de Bouygues Immobilier.]
Sa vie jusque là [jusque-là…]
est instable, tant sur le plan personnel que professionnel. [sa vie jusqu'à présent est exceptionnellement très riche
et variée, tant sur le plan personnel que professionnel, tant dans l'hémisphère
nord que l'hémisphère sud, tant au 2ème millénaire qu'au 3ème] Il a des
angoisses profondes qui peuvent expliquer en partie ses difficultés à trouver
un épanouissement. [si ma vie était à refaire, je
la vivrais comme je l'ai toujours fait : en transformant les galères et
souffrances en épanouissement et renfort de ma personnalité, sans oublier d'en
faire de l'humour] Il n'a jamais pu adhérer à un suivi psychologique, [on peut comprendre mon manque d'adhésion, veni, vidi,
compris !] mais il a recherché dans les produits toxiques, tabac, alcool
et drogues, un apaisement à ses tensions internes. [j'ai
péché, des hauts et des bas, pour finir à ce jour par n'être pas tombé dans
l'alcoolisme et même finalement quitté le tabagisme. Pour le cannabis,
d'immenses regrets de ne pouvoir dorénavant en fumer]
Ses importants problèmes somatiques actuels l'obligent à
freiner sa consommation de toxiques, et l'inquiètent, quoi qu'il en dise. [ce n'est pas la première fois qu'elle place un
"et" après une virgule, vous avez remarqué ? Sinon, c'est pas mal
comme constat, je me savais judicieux et conscient, ça fait du bien de savoir
que même une psychiatre le reconnaisse]
Il cherche à se rassurer sur lui-même au travers des
activités politiques auxquelles il se donne à fond, mais qui risquent de lui
apporter des désillusions qu'il aura beaucoup de mal à admettre. [chapeau bas, elle en connaît plus en politique que moi à
l'époque de cet examen. Sauf que mes désillusions ont orienté mon combat vers
ce qu'il fallait faire : d'abord trouver des moyens efficaces et radicaux de
lutter contre la corruption dont cette psychiatre est un élément]
Il présente des moments de décompensation psychique, au
cours desquelles les défenses qu'il s'est construites, cèdent à l'occasion
d'événements particulièrement anxiogènes. [exact,
pour en construire de plus solides et parfois plus souples. La routine, quoi] C'est
ainsi qu'il a eu recours à plusieurs hospitalisations en milieu spécialisé. [Je n'ai jamais choisi ces 2 hospitalisations, elles
m'ont été fortement suggérées par mon père. En 1998, c'est mon père, qui
squattait mon studio comme tous les étés, m'avait enjoint d'aller me faire
désintoxiquer de l'alcool. J'avais un épisode d'alcool, mais je n'ai rien
décidé moi-même. La deuxième hospitalisation a été suggérée par la psychiatre
Annick Pérot qui avait disons, des sympathies avec cette clinique. "milieu
spécialisé" : un hôpital est rarement un lieu généralisé, incompétent]
Actuellement il sent très bien qu'il a du mal à contrôler
ses angoisses, et sa grande crainte est l'internement psychiatrique, que selon
ses dires, son frère souhaiterait pour lui. [je
suis donc incapable de me contrôler. Ça tombe bien pour ma grande crainte, j'ai
4 personnes qui ont témoigné par écrit avoir lu un courriel dans lequel Jérôme m'écrivait
"qu'il me ferait interner le moment venu" : http://patricehenin.blogspot.fr/2007/06/0001-je-te-ferai-interner-le-moment.html]
Mais s'il acceptait ses soins, ceux-ci pourraient lui être
procurés en ambulatoire. [surprenant de sa part, il
faut me soigner, ignorer le petit frère tout en protégeant le système trop
puissant pour ne pas être identifié : l'ex-employeur de mon frère, Martin
Bouygues, pèse 3 milliards d'euros, serait à l'origine de l'introduction de mon
pauvre frère dans le milieu du trafic d'armes].
V) CONCLUSION
1°) L'examen de Patrice HENIN révèle des anomalies mentales.
[carrément. Cette psychiatre se révèle dangereuse
et doit être mise hors d'état de nuire, c'est une spécialiste des
psychiatrises, j'en ai déjà reçu des exemples : http://patricehenin.blogspot.fr/2008/04/0003-dr-meyer-buisan-est-experte-en.html
et http://patricehenin.blogspot.fr/2008/11/0055-justice-de-psychiatrisee-restauree.html]
Son ancrage dans la réalité est fluctuant, en lien avec un vécu
persécutif [n'existe toujours pas dans le
dictionnaire] à mécanisme interprétatif [comme
cela, toute atteinte à mes droits est un rêve, un simple cauchemar irréel,
fruit de mon délire. Il y a de l'humour dans sa version de l'interprétation de
la réalité.] Il a des angoisses [répétition
du mot "angoisses", pour suggérer un futur produit à prescrire pour
"calmer" des angoisses] archaïques qu'il a du mal à
verbaliser, [et qu'elle n'a pas de mal à inventer]
qu'il tente d'apaiser dans des conduites addictives [et
en me lançant en politique]. Son discours est parfois flou et diffluent.
Il entre dans le cas des États-Limites à versant psychotique. [ces termes impressionnants ont fait dire à mon médecin
traitant, à qui j'ai fait lire ce rapport en 2010 pour qu'il s'amuse un peu :
"Terrible, ce rapport!"]
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2°) L'infraction qui lui est reprochée est, pour une part,
en relation avec ces anomalies. [c'est grâce à
toutes ses découvertes psychiatriques que je me suis fait tabassé par mon
frère. La suite des événements ont démontré qu'il commençait un plan pour
mettre ma mère en curatelle. Chose impensable, mais il y a les faits : http://patricehenin.blogspot.fr/2010/05/jai-une-question-pour-me-louis-bore.html
(elle valait 350 000$)]
3°) Il peut présenter une certaine dangerosité en
particulier à l'égard de son frère, [elle avoue
donc que je suis dangereux pour mon frère, pas pour les autres] dans des
moments particulièrement anxiogènes, comme lors de grandes frustrations. [faut pas me chercher, c'est vrai !]
4°) Il est accessible à une sanction pénale.
5°) Il est curable et réadaptable. [définitivement
déclaré malade, à soigner] Il a besoin de soins psychiatriques qui
peuvent lui être dispensés en ambulatoires, mais qui nécessitent un suivi
régulier.
6°) et 7°) Au moment des faits, [donc
pas avant ni après ?] il était atteint d'un trouble psychique qui a
altéré son discernement et entravé le contrôle de ses actes. [exact, mais un trouble physique, ayant perdu mes
lunettes dès le premier coup à la tête. Je note pour finir qu'à aucun moment la
psychiatre n'a utilisé le faux témoignage du faux témoin Stéphane Mezencev.
Celui-ci affirmait que je courais après tout le monde pour frapper les gens
avec un parapluie rouge ! Je ne peux plus courir depuis 2001, je peux marcher,
c'est tout. Si la rue est pentue, je dois m'arrêter pour reprendre mon souffle.
Les escaliers, c'est fini depuis 2009]
8°) Question ici sans objet.
Mission accomplie
personnellement. [on ne saurait mieux dire ! Quant
à la facture très personnelle ?]
[signature]
[signature]
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Ma lettre à Meyer-Buisan est publiée ici :
http://patricehenin.blogspot.fr/2007/07/0016-lettre-au-dr-meyer-buisan.html
Après avoir laissé s'exprimé cette brillante Marie-Elisabeth
Meyer-Buisan, le monsieur tabassé au début par ce millionnaire formé à la
corruption chez Bouygues Immobilier est devenu un monsieur à l'Etat-Limite à
versant psychotique.
À mon tour d'examiner la psychiatre, ses buts non louables,
sa criminalité en fait. Voici mon rapport.
Il est vrai que j'ai dit que mon frère n'était pas méchant.
J'ai demandé à cette femme, puisqu'elle est
"psychiatre", si la méchanceté existait en elle-même. Elle a
vaguement répondu, en hésitant, "euh…
non".
Les actes malveillants, voire violents, sont toujours
déclenchés par les mêmes détonateurs : la jalousie, l'envie, la crainte ou la
peur.
Le désir de vengeance correspond à une injustice non supportée. Je mets à part les fameuses traditions de vendettas à la corse, qui tiennent plus de raisons économiques que de l'envie ou jalousie, peur ou désir de justice : c'est un problème de culture, de traditions, en voie de disparition.
Le désir de vengeance correspond à une injustice non supportée. Je mets à part les fameuses traditions de vendettas à la corse, qui tiennent plus de raisons économiques que de l'envie ou jalousie, peur ou désir de justice : c'est un problème de culture, de traditions, en voie de disparition.
La culpabilité de mon frère est surtout motivée par la
jalousie augmentée de l'envie de capter l'héritage que mon père a laissé à
notre seule mère.
La culpabilité de la psychiatre est purement criminelle,
puisqu'elle se prête sans scrupules, en dévoyant sa propre science pour servir
qui ? On peut se demande si Martin Bouygues n'est pas dans le coup, après tout,
vu l'amoncellement de serviteurs de l'état soucieux de me faire interner. Et
donc d'éliminer un témoin qui peut affirmer que Bouygues Immobilier est une
école de corruption, avec tests psychologique comme sélection, le plus salaud
arrivant en premier.
Ceux qui ont vu des films comme par exemple What Ever Happened to Baby Jane? (Qu'est-il
arrivé à Baby Jane ?), peuvent imaginer que les choses sont parfois
complexes.
Dans ce film, deux
sœurs se jalousent. La première, Baby Jane Hudson, fut célèbre comme chanteuse étant
enfant, mais perd toute notoriété à l'adolescence. Enfant et célèbre, elle est
d'abord gentille avec sa sœur Blanche Hudson, plutôt timide et effacée.
Puis, lorsque le destin inverse les rôles, elle devient horriblement jalouse.
Blanche devient à son tour une actrice célèbre, mais un accident de voiture la rend infirme et dépendante de sa sœur. La jalousie de Baby Jane se transforme en méchanceté de plus en plus horrifiante. Elle séquestre Blanche, tue la femme de ménage révoltée par les maltraitances qu'elle inflige à Blanche. Elle finit par devenir folle et attache sa sœur qui commence à mourir de faim.
Ce film en devient un thriller parfois dur à supporter.
Mais la dernière scène est un coup de théâtre qui brouille toutes les cartes.
Toute l'horreur que nous inspirait Baby Jane se transforme en compassion, puis pitié, alors que la culpabilité de l'une explique la monstruosité de l'autre.
Deux victimes dont une coupable qui n'est pas celle que l'on pensait remplacent le duo d'une coupable tortionnaire et sa victime.
Puis, lorsque le destin inverse les rôles, elle devient horriblement jalouse.
Blanche devient à son tour une actrice célèbre, mais un accident de voiture la rend infirme et dépendante de sa sœur. La jalousie de Baby Jane se transforme en méchanceté de plus en plus horrifiante. Elle séquestre Blanche, tue la femme de ménage révoltée par les maltraitances qu'elle inflige à Blanche. Elle finit par devenir folle et attache sa sœur qui commence à mourir de faim.
Ce film en devient un thriller parfois dur à supporter.
Mais la dernière scène est un coup de théâtre qui brouille toutes les cartes.
Toute l'horreur que nous inspirait Baby Jane se transforme en compassion, puis pitié, alors que la culpabilité de l'une explique la monstruosité de l'autre.
Deux victimes dont une coupable qui n'est pas celle que l'on pensait remplacent le duo d'une coupable tortionnaire et sa victime.
J'ai déjà analysé
l'état d'esprit d'une cruelle sentinelle de la Wehrmacht dans l'article "La
sentinelle qui attend". Pourquoi une sentinelle qui s'ennuie tire sur
une fillette qui s'amuse ? J'explique mon avis, c'est de la jalousie, du dépit,
une forme de vengeance. Pas de la cruauté.
J'adhère
complètement à cette citation de Sénèque : "Toute méchanceté a sa
source dans la faiblesse."
Elle s'applique
parfaitement à mon petit frère, qui a toujours manifesté à sa manière de la
jalousie vis-à-vis de son énigmatique frère aîné et de sa sœur avocate en France
puis attorney en Floride. Sa manière, c'est d'essayer d'éblouir en amassant une
fortune, juste pour épater la famille et affirmer sa "supériorité".
Jaloux de moi ? Je rappelle qu'il disait à son fils qu'il était l'aîné de la
fratrie, qu'il était né à Dakar au Sénégal. Je suis né à Dakar, Jérôme à
Mont-de-Marsan. Pourquoi emprunter une partie de mon identité ?
Nous ne le saurons
jamais, la psychiatre Marie-Elisabeth Meyer-Buisan n'a pas accédé à ma demande d'examiner
mon frère.
Il m'a fallu un certain temps pour publier ce rapport que mon médecin traitant juge "terrible !"
Parallèlement, je me porte candidat à des élections (présidentielle puis législative 2012) en publiant ce rapport peu élogieux : je suis border-line ("j'entre dans le cas des États-Limites à versant psychotique" !)
Après l'affaire Jérôme Cahuzac et l'engouement soudain des politiciens pour la transparence, je peux dire à mes électeurs que pour continuer à chercher un politicien plus transparent que moi, il faut être aveugle.
Parallèlement, je me porte candidat à des élections (présidentielle puis législative 2012) en publiant ce rapport peu élogieux : je suis border-line ("j'entre dans le cas des États-Limites à versant psychotique" !)
Après l'affaire Jérôme Cahuzac et l'engouement soudain des politiciens pour la transparence, je peux dire à mes électeurs que pour continuer à chercher un politicien plus transparent que moi, il faut être aveugle.