2014 11 20 citation à comparaître audience du 17 décembre
2014 Pôle
2 chambre 9
La chambre correctionnelle m'a condamné le 13 décembre 2014 à
payer 360€ en se fondant sur des faux établis par les policiers, 2 agents de la
BAC (Brigade d'Apologie du Crime) et une bande de criminels déguisés en
policier (mais avec vrais salaires) qui traînaient dans le commissariat du 80
avenue Daumesnil 75012 Paris.
Voir l'article "de
la flicaille à la racaille" (http://patricehenin.blogspot.fr/2011/08/de-la-flicaille-la-racaille.html).
Le procès
contient trois vidéos en caméra cachée (http://patricehenin.blogspot.fr/2013/12/12eme-chambre-correctionnelle-la.html),
seul moyen de prouver ce que le procureur a dit pour convaincre le juge que
j'aurais effectivement giflé cette petite frappe.
Il omet de parler du courage qui sied à un handicapé
respirant avec un tiers de ses capacités pulmonaires pour un tel morceau de
bravoure.
Il omet de parler des scanneurs qui prouvent que j'ai eu 2
fractures du maxillaire droit et une fracture du plancher orbital de l'œil
droit.
Non, pour le procureur, c'est un seul coup de poing que j'ai
reçu.
Et ce n'est pas parce que j'ai voulu le photographier pour
obliger les flics à reconnaître l'un de leur propre indic contre qui j'avais
déjà porté plainte.
Pas un mot sur la plainte d'origine.
Surtout, il applique le foutage de gueule intégral offert
par l'impunité en affirmant "… il
n'y a pas de témoins… il est incontestable qu'il a donné une gifle.."
Quant au juge, lorsqu'il m'a demandé si j'avais quelque
chose à ajouter, je me suis contenté de lui répéter la phrase du procureur :
- le procureur a dit qu'il n'y avait pas de témoin et que le
fait d'avoir donné une gifle était incontestable, alors je vous laisse juger !
À noter que la justicerie a tout prévu. Il est interdit de
filmer une audience publique, article 38 ter de la loi du 29 juillet 1881.
Mais ce n'est pas parce que j'ai diffusé ces bandes audio
que je passe en correctionnelle le 20 février 2015. Mais pour un enregistrement
que j'avais fait de la juge Émilie Thubin et que j'avais dans un premier temps
diffusée dans mon article "Réception
chez le juge Émilie Thubin SPIP Paris le 14 avril 2014" (http://patricehenin.blogspot.fr/2014/04/reception-chez-le-juge-emilie-thubin.html),
avant de retirer cet enregistrement.
La justicerie ne veut apparemment pas mettre sur le tapis ce
jugement
inique du 18 décembre 2013 (http://patricehenin.blogspot.fr/2014/04/reception-chez-le-juge-emilie-thubin.html).
Pour me punir d'avoir fait appel, il est fort probable que
je sois condamné au maximum de cette "infraction" (gifle imaginaire +
effort justiciairement expliqué (effet judicieusement escompté), c’est-à-dire 750€
d'amende.
Voilà.