Monsieur le
procureur de la République auprès du
Tribunal de Grande Instance de Paris
4, boulevard du Palais
Tribunal de Grande Instance de Paris
4, boulevard du Palais
75055 PARIS
CEDEX 01
Paris, le 15
avril 2014
OBJET :
désignation d'un juge d'instruction en vue d'instruire ma plainte en urgence
Madame [ou] Monsieur le juge
d'instruction,
J'ai l'honneur par la présente de porter
plainte avec constitution de partie civile et d’attirer votre attention sur
les faits suivants présentés par ordre chronologique :
23 avril 2006 :
Ma plainte 2006/006272 pour coups et
blessures déposée le 23 avril 2006
au commissariat (Hôtel de Police) du 80 avenue Daumesnil 75012 Paris vers 22H00
n'a toujours pas été traitée.
Elle n'a donc pas fait l'objet d'un classement sans suite.
Elle n'a donc pas fait l'objet d'un classement sans suite.
Cette plainte
a été recueillie par le gardien de la paix Rachid
AMAR qui a refusé de m'en donner copie et d'y apporter toutes les
corrections que je voulais, puis cette plainte a été utilisée comme si elle
était une déposition d'un coupable interrogé, jointe à la plainte de mon
agresseur, devenu victime par la grâce de ces policiers, à mon insu.
Mon agresseur,
monsieur Jérôme Hénin, était venu déposer plainte ce même soir une heure avant
moi et avait demandé aux policiers de rédiger des faux en écriture publique
afin de me faire passer pour une personne dangereuse pour autrui, en inversant
les rôles d'agresseur-victime.
Jérôme HENIN,
sûr de son impunité et de la coopération de la police du XIIème arrondissement
de Paris, m'avait d'ailleurs envoyé un courriel en juin 2004 dans lequel il m'écrivait
"je te ferai interner le moment venu".
Quatre
personnes ont certifié avoir lu ce courriel et se rappeler en particulier de cette phrase étonnante.
Ces faux en
écriture font donc partie d'un coup monté à la demande de Jérôme HÉNIN, multimillionnaire franco-américain vivant en
Floride, avec préméditation, pour une raison que je n'ai pas comprise à cette
époque.
J'ai pu le
comprendre en lisant toutes les dépositions deux ans plus tard, après les
déroulements des audiences à la 16ème chambre correctionnelle, à la 10ème
chambre d'appel du TGI de Paris (2 juin 2008).
À noter que
j'ai été jugé sans avocats dans toutes ces audiences.
Lorsque les infractions préparées sont des crimes ou des délits punis de dix ans d'emprisonnement, la participation à une association de malfaiteurs est punie de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
Lorsque les infractions préparées sont des délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement, la participation à une association de malfaiteurs est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Article 450-2 : toute personne ayant participé au groupement ou à l'entente définis par l'article 450-1 est exempte de peine si elle a, avant toute poursuite, révélé le groupement ou l'entente aux autorités compétentes et permis l'identification des autres participants.) et faux en écriture publique (Article 441-4 code pénal : le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa
qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans
de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage
de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou
chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses
fonctions ou de sa mission)
suivis d'effet en justice, avec préméditation, pour violation du Code de déontologie de la police nationale et de
la gendarmerie nationale (Article R.
434-11 – Impartialité), discrimination (article 225-1 du code pénal),
contre
:
Jean-Robert BERNARD, commandant de
police,
Emmanuel PERRET, lieutenant de police,
Frédéric DUGAT, brigadier-chef de police,
Rachid HAMAR, gardien de la paix,
Arnaud MOUNIER, lieutenant de police,
Virginie CROUZY, gardien de la paix,
Emmanuel PERRET, lieutenant de police,
Frédéric DUGAT, brigadier-chef de police,
Rachid HAMAR, gardien de la paix,
Arnaud MOUNIER, lieutenant de police,
Virginie CROUZY, gardien de la paix,
en
fonction au commissariat du 80 avenue Daumesnil à Paris 75012.
Contre
Stéphane MEZENCEV (57 bd Poniatowski
75012 Paris), fonctionnaire (de police d'après l'avocate Catherine de
Froidcourt), pour association de
malfaiteurs et faux témoignage produit à la demande de l'agresseur Jérôme
HENIN, un mois après les faits, suivi d'effets en justice.
Jérôme HENIN, vivant en Floride, ne connaît que sa mère dans la résidence.
S'il
avait noté le nom et l'adresse, numéro de téléphone, de ce "témoin"
lors de son agression, pourquoi aurait-il attendu un mois au lieu de le
signaler lors du dépôt de sa plainte ?
Aucune
des dépositions et témoignage ne concordent sur le récit d'une même scène,
chacun y va de son couplet.
Ces
faux cherchent à dénaturer un fait indéniable : la victime est bien celle qui a
fait constater ses coups et blessures aux UMJ. Ceci pour accomplir la volonté
de Jérôme HENIN.
Le
fait que j'ai d'abord été frappé sans raisons et que j'ai perdu mes lunettes
lors du premier coup porté à la tête a été occulté.
Ma mère, Madame Renée HENIN, a essayé (on lui a sûrement demandé) de me rendre mes lunettes dans ce commissariat, j'ai refusé en disant que c'était au policier qui allait recueillir ma plainte de me les rendre.
Ma mère, Madame Renée HENIN, a essayé (on lui a sûrement demandé) de me rendre mes lunettes dans ce commissariat, j'ai refusé en disant que c'était au policier qui allait recueillir ma plainte de me les rendre.
Elle
était dans un état de choc, en plein deuil, le premier anniversaire qu'elle
passait sans son mari. La date du 23 avril n'a pas été choisie par hasard par
son fils Jérôme HENIN, venu spécialement de Floride pour cette altercation
préparée psychologiquement : des menaces de me frapper si je fréquentais ma
mère, interdire à sa mère de me fréquenter, de m'indiquer les dates de ses
nombreux voyages en France.
Lorsque
le gardien de la paix Rachid HAMAR m'a demandé de relire (tout en refusant de
corriger), j'ai insisté pour qu'il me rende mes lunettes, ce qu'il a fait en
maugréant.
En
revanche, j'ai réclamé à ma mère ce qu'il restait de mon parapluie noir, elle
m'a dit qu'il était tellement cassé qu'elle l'avait jeté.
L'agresseur
est celui qui est parfaitement indemne hormis une "douleur"
parfaitement inventée et non constatable.
Pièces
jointes :
-
rapport de police du 23 avril 2006
- jugement de la 16ème chambre correctionnelle qui a entériné ces
faux
-----O-----
30 janvier 2007
Classement sans suite d'une plainte que je n'ai jamais déposée
Classement sans suite d'une plainte que je n'ai jamais déposée
J'ai reçu un
avis de classement sans suite du service S2 FRAUDES ET MOYENS DE PAIEMENT pour
une plainte N° 0628470119, qui aurait été déposée en mon nom le 22 août 2006.
Je n'ai jamais déposée cette plainte
dont j'ignore la teneur.
J'en réclame une copie.
J'en réclame une copie.
Je porte plainte contre X pour faux en
écriture publique avec usurpation de mon identité (Article
226-4-1 : Le fait d'usurper l'identité d'un tiers ou de faire usage d'une ou
plusieurs données de toute nature permettant de l'identifier en vue de troubler
sa tranquillité ou celle d'autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa
considération, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende),
peut-être avec imitation de ma signature (qui est très simple).
En pièce
jointe, copie de ce classement sans suite.
-----O-----
20 avril 2009
Le 24 mars
2009 je reçois un appel téléphonique sur mon téléphone fixe 01 43 42 19 76.
C'est une voix masculine ironique qui me dit "c'est Patrice ? Tu ne reconnais pas ma voix ? Patrice, t'es mort !".
Le numéro 01
42 62 83 58 de l'appelant s'affiche sur mon téléphone avec le nom tronqué
"Veronique LEB…".
Je ne suis
pas sûr d'avoir reconnu la voix de Jérôme HÉNIN, mais l'intonation ironique lui
ressemble bien.
J'ai déposé
plainte le 20 avril 2009 à 18H10 au commissariat du quartier Picpus du 12ème
arrondissement. On me remet une copie presque illisible à cause de la faible
densité de l'encre.
Plainte N°
6292 recueillie par le gardien de la paix Ingrid KAFELIK.
Je reçois le
8 juillet 2009 un avis de classement sans suite, N° d'affaire 0918301907.
Le gardien de
la paix Ingrid KAFELIK n'a pas procédé à l'identification de l'auteur du coup
de fil et n'a pas identifié le nom tronqué à partir du numéro affiché.
Pièce jointe
:
copie de la
plainte numéro illisible (trop faible densité d'encre sur l'original) du
gardien de la paix Ingrid KAFELIK dans l'article correspondant de mon blogue :
http://patricehenin.blogspot.fr/2007/07/0012-de-qui-tu-causes.html
http://patricehenin.blogspot.fr/2007/07/0012-de-qui-tu-causes.html
-----O-----
4 MAI 2010 au 21 MARS 2011
2ème série d'agressions au restaurant
Émeraude, expulsions arbitraires, réintégration, ré-expulsion sur
"demande" d'une serveuse Micheline X
En juillet
2009 : les premières agressions, provocations, crachats, ont été commises par Idriss KAMAL, un client qui tenait
absolument à manger à ma table, qui prétendait travailler "dans un
laboratoire de la police".
Le désordre
qu'il a créé m'a été imputé et a servi de prétexte pour provoquer mon
expulsion, voulue par la maire Michèle
BLUMENTHAL.
L'adjoint de
la directrice du CSVP, Mr Michael PARIS,
m'envoie une lettre dans laquelle il inverse les rôles de fauteur de troubles
dans une lettre.
Je demande un
rendez-vous à la mairie et le conseiller municipal Guy TABACCHI me reçoit le 29 octobre 2009. Ce rendez-vous est resté
sans suite.
Un autre indicateur
Jean-Marie X (avec carte d'indicateur),
bras tatoués, m'envoie des crachats, me provoque à aller me battre "dehors", sans raisons, avec les
encouragements, vociférations de la serveuse en chef Micheline X, au restaurant de la Brèche aux Loups 75012 Paris.
Je ne cède
pas aux provocations. Ceci en novembre
2010.
Le 4 mai
2010, la responsable du CSVP (Centre Social de la Ville de Paris) Christine Fouet m'expulse du restaurant
en prétendant que j'aurais distribué un tract, non décrit puisqu'il n'existe
pas. C'est faux et complètement arbitraire, un abus d'autorité manifeste.
Le 17 mai
2010 un de mes voisins, Jérôme Dufaur, ancien militant communiste de ces élus,
écrit à la mairie et demande pourquoi je suis expulsé.
Le 16 juillet
2010 la maire Michèle Blumenthal lui répond qu'après
s'être renseignée, il apparaît que je ne suis pas expulsé, et que je suis
"le bienvenu dans tous les restaurants Émeraude (!!)".
Le 26 juillet
2010, la responsable de la section du centre d'action sociale de la ville de
Paris, Christine Fouet, me réintègre.
Le 26 juillet
2010, muni d'une copie de la lettre de la maire, je me rends au restaurant
Émeraude mais je suis expulsé par deux
policiers municipaux appelés et accompagnés par le responsable économique
du service social, Thierry LEFEBVRE.
Les 2 policiers se moquent de la lettre de la maire en disant qu'elle n'a
aucune valeur et m'expulsent manu militari sur ordre de Thierry LEFEBVRE.
Le 28 juillet
2010, mon voisin Mr Jérôme Dufaur, révolté, écrit de nouveau à la maire pour
lui signaler cet incident. Pas de réponse.
Le 24 août
2010, je fais appel par lettres à la médiatrice de la ville de Paris Claire BRISSET, au maire de Paris Bertrand DELANOË, puis au médiateur de
la République Georges Vergès. Celui-ci me reçoit, reconnaît "que j'ai fait fort" en imprimant
recto-verso la lettre d'expulsion de Christine FOUET avec la lettre de
dénégation de madame le maire Michèle BLUMENTHAL.
Le 21 mars
2011, Christine Fouet m'expulse à nouveau à la demande non justifiée de la
serveuse en chef Micheline X.
Je porte plainte pour violences
(crachats, menaces de coups), discrimination, association de malfaiteurs, abus
d'autorité, contre :
- les 2 policiers municipaux du 26
juillet 2010 à 13H00
- madame Michèle bLUMENTHAL, ancienen maire PS du XIIème
arrondissement de Paris
- Idriss KAMAL, client, "auxiliaire de police"
- Idriss KAMAL, client, "auxiliaire de police"
- Jean-Marie X, client, porteur d'une carte "d'auxiliaire
de police"
- Thierry Lefebvre, responsable économique du service
social ville de Paris XIIème
- Christine FOUET, directrice du CSVP du XIIème
- Michael PARIS, adjoint CSVP du XIIème
- Christine FOUET, directrice du CSVP du XIIème
- Michael PARIS, adjoint CSVP du XIIème
- Micheline X, serveuse en chef du restaurant de la
Brèche aux Loups 75012 Paris
- Marie-Christine Mani responsable du restaurant Émeraude de la rue de la Brèche aux Loups aujourd'hui à la retraite (nom écrit phonétiquement, son orthographe exacte ne m'est pas connue).
- Marie-Christine Mani responsable du restaurant Émeraude de la rue de la Brèche aux Loups aujourd'hui à la retraite (nom écrit phonétiquement, son orthographe exacte ne m'est pas connue).
- Claire BRISSET, médiatrice de la ville
de Paris pour soutien à l'association de
malfaiteurs par refus d'intervenir
- Georges VERGES, médiateur de la République pour soutien à l'association de malfaiteurs par refus d'intervenir
- Georges VERGES, médiateur de la République pour soutien à l'association de malfaiteurs par refus d'intervenir
Récits
détaillés de ces expulsions réadmissions successives à ce restaurant Émeraude
dans mon blogue :
En pièces
jointes :
- ma lettre
du 23 juin 2009 à CSVP XIIème
- réponse du
CSVP Michael PARIS intervertissant fauteur de trouble et victime
- lettre de la mairie du 7 octobre 2009 pour rendez-vous le 29 octobre 2009
- lettre de la mairie du 7 octobre 2009 pour rendez-vous le 29 octobre 2009
- lettre du 4
mai 2010 de Christine FOUET (expulsion)
- lettre d'un
voisin Jérôme DUFAUR (pourquoi une expulsion ?)
- réponse de
la maire Michèle BLUMENTHAL (renseignements pris, il n'y a pas eu d'expulsion)
- lettre de
Christine FOUET du 26 juillet 2010 (réadmission)
- lettre de
Jérôme DUFAUR signalant à la maire Michèle BLUMENTHAL mon expulsion par Thierry
LEFEBVRE accompagné de 2 policiers le jour de mon retour
- lettre de
Christine FOUET du 21 mars 2011 pour ré-expulsion
25 NOVEMBRE 2010
main courante du policier François Hoffmann escamotée
main courante du policier François Hoffmann escamotée
Rendez-Vous
pris à 10H00 au commissariat du 22 Rue Aubrac 75012 Paris (01 53 02 07 10) pour
établir une main courante le 25 novembre 2010, pour signaler les crachats reçus
au restaurant Émeraude le 17 novembre 2010, de la part de Jean-Marie X.
Ce Jean-Marie
X se vante lui-même auprès des usagers d'être un auxiliaire de la police avec
carte.
Le policier
qui m'avait donné rendez-vous s'applique à taper mon récit au clavier, mais à
la fin, lorsque je demande la copie de la main courante, il me dit que tout est
enregistré, qu'une copie est inutile. J'ai compris qu'il était inutile
d'insister.
Je porte
plainte contre le policier François
Hoffmann pour faux, refus de main courante et pour avoir rejoint ainsi l'association de malfaiteurs.
Je n'ai donc
aucune trace de cet événement, mais l'agent Patrick Colombet était présent ce matin-là. Si les agendas de
présence au poste ne sont pas cachés, si l'agent Patrick Colombet ne ment pas
et confirme sa présence au commissariat ce jour-là, je vois mal comment
j'aurais pu inventer ce détail.
-----O-----
15 juin 2011, vers 15H30
Refus de plainte pour les crachats au
restaurant Émeraude par l'agent Pascal
Metche
Le 15 mars
2011, je me rends au commissariat du 22 Rue Aubrac 75012 Paris (01 53 02 07
10), vers 16H30, pour réclamer une copie de la main courante établie le 25
novembre 2010 par le policier François Hoffmann.
On me dit que
la main courante n'existe pas. Cette main courante aurait dû signaler les
crachats reçus au restaurant Émeraude de la rue de la Brèche aux Loups Paris
XIIème.
Rien n'ayant
été enregistré le 25 novembre 2010, le policier François Hoffman avait tout bonnement "fait semblant" de
recueillir une main courante, pour ne pas charger la mairie et ce
voyou-auxiliaire de police (Jean-Marie X)
qui me crachait au visage et jetait des détritus dans mon assiette.
Je demande
donc au policier Pascal METCHE de faire cette fois-ci une plainte.
Il m'éjecte
purement et simplement du commissariat, en hurlant "… et ne revenez pas !"
Je porte
plainte contre le policier Pascal METCHE,
pour refus de dépôt de plainte (article 15 - 3 du
code de procédure pénale : la police judiciaire est tenue de recevoir les
plaintes déposées par les victimes d'infractions à la loi pénale et de les
transmettre, le cas échéant, au service ou à l'unité de police judiciaire
territorialement compétent.
Tout dépôt de plainte
fait l'objet d'un procès-verbal et donne lieu à la délivrance immédiate d'un
récépissé à la victime. Si elle en fait la demande, une copie du procès-verbal
lui est immédiatement remise et de l’article 5 de la charte de l’accueil du
public et de l’assistance des victimes).
Je porte
plainte François HOFFMAN pour avoir
participé à l'association de malfaiteurs
par son simulacre de main-courante.
Je demande au
procureur, juge d'instruction de rappeler aux personnes contre qui je porte
plainte pour association de malfaiteurs, de l'intérêt de l'article 450-2 du
code pénal, afin qu'ils échappent à toutes poursuites si leurs témoignages
permettent à la justice d'établir la vérité et les raisons de ces actes.
Je porte
plainte contre l'agent Pascal METCHE pour refus de plainte.
Pas de trace
de ce refus de plainte à part le souvenir de l'hôtesse d'accueil cet après-midi
du 15 mars 2011.
-----O-----
15 mars 2011 vers 16H00
15 mars 2011 vers 16H00
Agression par l'agent des stupéfiants
David Gatty
Je rentre
chez moi après avoir été au commissariat essayer de porter plainte pour
crachats.
Arrivé rue de Wattignies 75012, Emmanuel Jésus Marqués (que je connaissais alors sous le nom de "Manu") me talonne pour que je lui achète un bout de haschich. Il insiste alors que l'un de ses amis affolé lui dit "il y a des keufs partout".
Arrivé rue de Wattignies 75012, Emmanuel Jésus Marqués (que je connaissais alors sous le nom de "Manu") me talonne pour que je lui achète un bout de haschich. Il insiste alors que l'un de ses amis affolé lui dit "il y a des keufs partout".
Devant mon
refus, il me le propose même
gratuitement "comme dépannage
!", mais je continue de refuser, parfaitement certain que c'était un
piège, aussi maladroit soit-il.
Arrivé à 100
mètres de chez moi, devant l'école du 40 rue des Meuniers 75012, l'agent David
Gatty me crie "police", me
frappe au thorax, me serre la gorge à m'étouffer, me met le poing dans la
bouche, devant plusieurs femmes qui discutaient devant l'école, dont la
gardienne.
Il était
seul, contrairement aux dires du procureur à l'audience de la 23ème
chambre correctionnelle.
La gardienne
d'école n'a pu me donner un témoignage écrit lorsque je suis passé en janvier
2012, elle était paraît-il malade pour plusieurs semaines.
Par la suite,
la directrice d'école m'informe fin janvier 2012 que "la gardienne et l'ancienne directrice ne sont plus là".
Le témoignage
aurait bien sûr permis de contredire les faits rapportés par l'agent David
Gatty et son faux certificat médical du Dr BECOUR.
Le rapport de
fouille établi par le Lt de police Céline
DESVERNOIS omet la possession de deux cigarettes électroniques (donc je ne
fume pratiquement plus), dont une batterie abimée par la violence des coups, le
fait que ma montre est cassée (violence des coups).
La
description de l'arrestation lors du procès rapporte des coups de pieds que
j'aurais donnés à David Gatty alors que j'étais à plat ventre au sol (ce qui
explique mes plaies aux genoux), vraiment peu évidents à faire.
Non seulement je n'ai pas le moindre souffle pour me débattre, encore moins pour frapper, mais il est certain, devant témoins, que je n'ai pas donné de coups mais en ai subi.
Non seulement je n'ai pas le moindre souffle pour me débattre, encore moins pour frapper, mais il est certain, devant témoins, que je n'ai pas donné de coups mais en ai subi.
Rappel de la loi : Article
434-13 :
- le "témoignage mensonger fait
sous serment devant toute juridiction" est puni de 5 ans d’emprisonnement
et de 75 000 euros d'amende, ces peines étant aggravées lorsque le
mensonge a été provoqué par la remise d’une récompense
- la subornation de témoin,
c’est-à-dire le fait « d’user de promesses, offres, présents, pressions,
menaces […] au cours d’une procédure en justice afin de déterminer autrui soit
à faire une déposition, une déclaration ou une attestation mensongère, soit à
s’abstenir de faire une [telle] déposition, déclaration ou attestation » est
punie de 3 ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende
- la falsification d’attestation ainsi
que l’usage d’attestation inexacte au cours d’une procédure judiciaire sont
punis d’une peine d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
Je rappelle
que je suis un handicapé respiratoire (emphysème) incapable de faire le moindre
effort sans être de suite essoufflé, alors que j'ai été étranglé, frappé à la
poitrine par un homme pratiquant les arts martiaux et la musculation, d'après
son profil Facebook.
L'agent David
Gatty m'a mis le poing dans la bouche et m'a déchaussé une dent qui a été
retirée et remplacée par une dent provisoire que je porte toujours, n'ayant pas
les moyens de payer un implant (dentiste Pierre Dana dans mon immeuble).
Il y a donc violences physiques avec séquelles à
vie, entrave au témoignage, faux certificat médical, faux en écriture publique.
Sa façon de
me menotter en montant sur mon dos, alors que j'étais à plat ventre, a failli
provoquer mon évanouissement. Les 10 cm d'hématome dû aux menottes ont mis 10
jours à s'estomper.
Cet hématome
sur chair visible a été constaté lors de mon passage aux UMJ pour que je puisse
porter plainte, mais ce rapport n'est jamais parvenu au commissariat, un
certain OPJ nommé "Fumet" (nom phonétique, orthographe inconnu),
refuse ma plainte en me disant "toi,
je t'aime pas !"
Un policier, écœuré
par cette blessure, la prend en photo à ma demande.
Alors que
deux véritables acheteurs de haschich (Martial MORAND et Bertrand VASSEUR) sont
libérés après leur passage aux UMJ, je suis mis dans un fourgon et attends seul
jusque vers 4H30 sans comprendre pourquoi.
Quelques
policiers surveillant le fourgon me posent des questions d'ordre politique, par
exemple "qui est actuellement le
politicien le plus influent ?... Vous savez que le journaliste Edwy Plenel nous
a signalé qu'il se sentait menacé ?... "
Arrive le
préfet de police de Paris, Michel Gaudin,
qui vient me voir un instant au fourgon pour me traiter de "bouffeur de hasch" puis rentre au
commissariat donner l'ordre de m'envoyer à l'Infirmerie Psychiatrique de la
Préfecture de Paris (IPPP) où je termine la nuit en contention.
Le 16 mars
2011, le Dr FORISSIER, psychiatre de cette IPPP, ne voit aucune raison de
m'interner et pense qu'il s'agit à l'évidence d'un coup monté. Il ne peut me
fournir que l'aspirine de mon traitement
habituel.
Les policiers
me récupèrent alors et m'envoient au dépôt passer une deuxième nuit, en même
temps que le dealeur Emmanuel Jésus Marqués.
Pendant le transport au dépôt, l'un des 2 policiers ne peut s'empêcher de parler à Emmanuel Jésus Marqués pour vanter la qualité du haschich, exactement comme s'il en était le fournisseur.
Pendant le transport au dépôt, l'un des 2 policiers ne peut s'empêcher de parler à Emmanuel Jésus Marqués pour vanter la qualité du haschich, exactement comme s'il en était le fournisseur.
J'ai fait
photographier mes plaies par un ami et fait établir un certificat médical par
mon médecin traitant de l'époque, la Dr Isabelle Retbi, le 20 mars 2011.
Je porte
plainte contre l'ex-préfet de police de Paris Michel Gaudin, pour tentative d'internement abusif, faux en écriture publique, contre le Lt Céline DESVERNOIS pour rapport de fouille incomplet, contre le Dr BECOUR pour faux certificat médical,
contre David Gatty pour violences policières avec séquelle à
vie (perte d'une dent), risque de porter
atteinte à ma vie en étranglant un handicapé pulmonaire n'ayant plus qu'un
tiers de ventilation pendant plusieurs minutes, à plusieurs reprises (article 121-3 : … lorsque la loi le prévoit,
il y a délit en cas de mise en danger délibérée de la personne d'autrui.
Il y a également délit, lorsque la loi
le prévoit, en cas de faute d'imprudence, de négligence ou de manquement à une
obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, s'il
est établi que l'auteur des faits n'a pas accompli les diligences normales
compte tenu, le cas échéant, de la nature de ses missions ou de ses fonctions,
de ses compétences ainsi que du pouvoir et des moyens dont il disposait), d'avoir participé à l'association de malfaiteurs formée dans
le temps avec ténacité, pour me nuire.
Le "certificat
médical" du Dr BECOUR, le rapport du policier David Gatty ne m'ont jamais
été communiqués, les éléments mensongers transparaissent dans le jugement du 12
mai 2011 rendu par la 23ème chambre correctionnelle du TGI de Paris.
Récits dans
mon blogue :
arrestation,
photos plaies :
audiences du
28 avril 2011 et jugement du 12 mai 2011
témoin
impossible à contacter par mutation :
Pièces jointes
:
- rapport de fouille 15 mars 2011 non signé du Lt de police Céline DESVERNOIS
- jugement du 12 mai 2011 de la 23ème chambre correctionnelle
- facture dentiste Pierre Dana du 11 juillet 2011
- 7 photos de mes plaies
- certificat médical du Dr Isabelle Retbi attestant les plaies du 18 mars 2011
- rapport de fouille 15 mars 2011 non signé du Lt de police Céline DESVERNOIS
- jugement du 12 mai 2011 de la 23ème chambre correctionnelle
- facture dentiste Pierre Dana du 11 juillet 2011
- 7 photos de mes plaies
- certificat médical du Dr Isabelle Retbi attestant les plaies du 18 mars 2011
- lettre de
mon avocate Catherine HENIN-CLARK au procureur pour prendre ma défense
11/09/2012
- lettre
avocate HENIN-CLARK au bâtonnier pour dossier réinscription 30/09/2012
-----O-----
16 juin au 23 juillet 2011
Menaces de coups suivies d'effet par l'agression de Mohamed Ali MAHMOUDI,
Menaces de coups suivies d'effet par l'agression de Mohamed Ali MAHMOUDI,
Sans raison,
deux jeunes personnes, un grand noir maigre à capuche et celui dont
j'apprendrai le nom plus tard, Mohamed
Ali MAHMOUDI, stationnent tous les après-midi et soirs, du 16 juin 2011 au
23 juillet, juste devant la porte de mon immeuble, après l'entrée de la
résidence protégée par un code qu'ils semblent connaître.
Leur
principale activité était de crier, uniquement quand j'étais seul à rentrer,
"le blogue, le blogue, ça va péter ! ça va péter !". La plupart
du temps, le noir criait simplement "ça va péter !". Mohamed Ali
MAHMOUDI, lui, souriait parfois en essayant de prendre des airs menaçants, ou
rajoutait "… on sera là tous les
jours…".
Quand je
rentrais en même temps que d'autres habitants de l'immeuble, ils étaient
souriants.
Le 16 juin
2011, l'appartement de mon voisin du dessous est visité, l'un faisant la courte
échelle à l'autre. Monsieur Jean CAIRE porte plainte le lendemain, plainte
restée sans effet, non transmise au parquet.
Le 22 juillet
2011, Mohamed Ali MAHMOUDI a essayé d'entrer en même temps que moi dans
l'immeuble vers 19H45. Au lieu de composer le code, j'ai appelé le 17 avec mon
téléphone portable.
Mohamed Ali
MAHMOUDI se colle à moi en criant "à
qui tu téléphones ?!"
Lorsque le 17
a répondu, Mohamed Ali MAHMOUDI m'arrache le téléphone des mains, le jette par
terre en me portant un coup à la tête, ce qui a fait tomber mes lunettes, puis
s'en va tranquillement. Un de mes voisins (Farid MONGIES) est intervenu pour
composer le code à ma place pour que je me réfugie à l'intérieur.
Je ramasse
mon portable et monte chez moi. Les policiers me rappellent et je redescends.
Cette patrouille de 4 policiers me demande une description précise et me disent
qu'ils vont le chercher. Je propose de les accompagner mais ils refusent.
Sur leur
conseil, je vais porter plainte le lendemain à ce fameux commissariat du 80
avenue Daumesnil 75012 Paris et rencontre le gardien de la paix Pascal METCHE qui commence par refuser (encore)
de prendre ma plainte.
Je lui
explique que mes voisins, excédés par ce tandem de voyous qui sont toujours
devant notre porte, veulent savoir si j'ai fait une bonne description de Mohamed
Ali MAHMOUDI, dont je ne connaissais pas encore le nom.
Il accepte
alors de prendre ma plainte, mais Pascal METCHE ne reconnaît pas ce voyou qui
est pourtant très connu, au moins de vue, dans le quartier, à force de parader
avec sa bande. L'ordinateur de Pascal METCHE est "en panne" et ne
peut afficher sa collection de mines patibulaires.
Je n'ai pas
remarqué ce jour que la plainte ne portait pas de référence, ce qui prouve la
volonté de Pascal METCHE de ne pas la traiter, ce qui est encore le cas ce jour
15
avril 2014.
Je rentre
chez moi avec une copie de cette plainte.
Cette plainte
non référencée prouve aussi que ce Mohamed
Ali MAHMOUDI est protégé par la police, ce qui sera particulièrement
évident pour la plainte suivante où les violences suivantes promises par
Mohamed Ali MAHMOUDI le 1er août 2011 (celui-ci met ses menaces à
exécution : fractures multiples au visage) sont transformées en violences
réciproques.
Je dis au
policier que je prendrais une photo de ce monsieur X lorsque je le reverrai.
Les deux
jeunes personnes ne sont pas revenues devant ma porte.
Je porte plainte contre le gardien de
la paix Pascal METCHE, le Cdt de police S.
GUICHARD, pour refus de prendre ma plainte suivi d'un simulacre de plainte
non référencée, jamais transmise au parquet, pour manifestement être partie de
l'association de malfaiteurs.
récit des
actes de Mohamed Ali MAHMOUDI et de ses soutiens de la Brigade d'Appui Criminel
Interview de
la radio IDFM98 Radio Enghien le 5 septembre 2011 sur mes démêlés avec David
GATTY et Mohamed Ali MAHMOUDI :
Pièce jointe :
Copie de la
plainte non référencée mais signée de Pascal METCHE
-----O-----
1er août 2011
Violences avec fractures multiples, de nouveaux faux en écriture publique des policiers du 80 avenue Daumesnil 75012 plus 2 agents de la BAC lors de ma plainte
1er août 2011
Violences avec fractures multiples, de nouveaux faux en écriture publique des policiers du 80 avenue Daumesnil 75012 plus 2 agents de la BAC lors de ma plainte
J'attendais à
l'arrêt de bus 87 du carrefour rue Nicolaï- rue de Wattignies Paris XIIème.
Je vois
passer Mohamed Ali MAHMOUDI, qui passe devant moi en souriant de façon
goguenarde. Je lui dis "tu es
recherché par la police" en prenant mon appareil photo accroché à la
ceinture.
Je n'ai pas
le temps de le prendre, immédiatement Mohamed Ali MAHMOUDI me frappe violemment
de 3-4 coups de poings sur la partie droite de mon visage, de toutes ses
forces.
Il n'y avait
personne dans la rue en ce 1er août 2011.
Après m'avoir
frappé, Mohamed Ali MAHMOUDI disparaît tranquillement dans la rue Nicolaï.
Je me réfugie
dans le restaurant turc du au 23 rue de Wattignies 75012 et appelle le 17.
Moins de dix
minutes après, Mohamed Ali MAHMOUDI revient accompagné de deux personnes que
j'ai d'abord cru être deux autres voyous venus me frapper.
Mais l'un reste au coin de la rue Nicolaï-Wattignies avec lui, l'autre vient au restaurant turc et me montre sa carte de police, retournée (donc sans nom ni photo visible) mais avec la breloque en métal qui semble confirmer qu'il s'agit d'un policier en civil.
Mais l'un reste au coin de la rue Nicolaï-Wattignies avec lui, l'autre vient au restaurant turc et me montre sa carte de police, retournée (donc sans nom ni photo visible) mais avec la breloque en métal qui semble confirmer qu'il s'agit d'un policier en civil.
Il me demande
"que se passe-t-il ?". Je
lui montre mon visage maintenant tuméfié, l'œil droit fermé.
Mohamed Ali
MAHMOUDI a donc téléphoné à ses relations policières.
La voiture du
17 arrive ensuite (un gardien de la paix, seul), l'agent de la BAC lui parle en
aparté.
La voiture du
17 m'emmène au commissariat, la voiture banalisée de la BAC y va avec Mohamed
Ali MAHMOUDI.
Au
commissariat, je suis mis à l'écart dans un cagibi, on me menace de me menotter
si j'en sors, puis les agents de la BAC me demandent mon appareil photo pour
vérifier que je n'ai pas pris la photo, ils rédigent longuement quelque chose
sans me questionner.
Je ne reçois aucuns
soins à part le droit d'aller boire de l'eau au lavabo, sans gobelet.
Puis je
change de bureau et les agents de police en tenue m'accueillent.
L'un,
dédaigneux : "ça date de 4 jours,
votre œil, je m'y connais, je suis boxeur".
Une autre,
hystérique (Laurence Labrousse) : "… oh
vous l'avez giflé… mais c'est qu'on a 3 témoins qui l'ont vu… c'est qu'on va faire
un rapport sur votre comportement dans le commissariat !... "
La gardienne
de la paix Laurence Labrousse, d'esprit pas très évolué, vulgaire, agressive et
nerveuse, se fâche quand je suis obligé de moucher le sang de mon nez ("mais il est dégueulasse !").
Elle
transforme ma plainte en violences réciproques.
Les deux
séances de plaintes du 23 juillet et du
1er août 2011 sont décrites
en détail dans mon article :
Une interview
de la radio IDFM98 sur ces agressions David Gatty et Mohamed Ali MAHMOUDI :
Aux UMJ on ne
me prodigue pas de soins mais une ordonnance pour passer un scanner de la
mandibule. Le médecin Ophélie FERRANT donne 10 jours d'ITT.
Je fais également constater les fractures par le Dr Azoulay, remplaçant de mon médecin (Dr Isabelle Retbile 2 août 2011, qui me dit que je vais porter une plaque pour redresser la fracture de la mâchoire pendant la consolidation.
Il me fait
une ordonnance de référencement pour aller voir un stomatologue et
ophtalmologue.
Je passe un
scanner des mandibules et plancher de l'orbite les 3 août 2011 (et 9 octobre
2011), tous deux montrant les fractures non consolidées.
Je recontacte
le Dr Ophélie FERRANT des UMJ, je lui envoie les scanners pour qu'elle corrige
le nombre de jours d'ITT qui passe à 15.
Le commissariat refuse de me communiquer le nouveau constat des UMJ.
Le commissariat refuse de me communiquer le nouveau constat des UMJ.
Je choisi
l'hôpital Bégin pour les soins aux urgences. L'ophtalmologue reporte l'examen
LANCASTER (plancher orbital) initialement prévu pour le 8 août 2011 au 29 octobre
2011, le stomatologue préfère que la mâchoire se ressoude sans redressement,
sans plaque.
Aujourd'hui,
je ne peux plus utiliser mes incisives, les dents étant déplacées.
La 12ème
chambre correctionnelle a reçu cette plainte "réciproque" et me
condamne à verser 360€ d'amende pour avoir donné une gifle sur les simples
dires de Mohamed Ali MAHMOUDI, qui répète les accusations fausses imaginées par
ces "agents de la BAC".
Il était venu
à l'audience du 18 décembre 2013 accompagné de 3 copains que le tribunal n'a
pas utilisés comme témoins comme c'était prévu par les agents de la BAC.
Le procureur
a préféré affirmer qu'il n'y avait pas de témoins et prétend de façon tout à
fait incohérente que le fait d'avoir donné une gifle "était incontestable…
qu'il n'y avait pas de témoins…" :
et la "grosse"
du jugement :
Mohamed Ali
MAHMOUDI écope d'un mois de prison ferme aménagé par port d'un bracelet
électronique.
Quelques
jours après, il dealait devant mon immeuble. J'ai essayé de le filmer avec mon
portable, il s'est enfui en criant "je
vais te tuer, je connais ton étage !"
J'ai fait
appel de ce jugement et attends l'audience, à ce jour 15
avril 2014.
En plus de
la possibilité pour certains habitants du quartier d'appeler la police pour me
tabasser (voir plus bas le gardien d'école !), les "jeunes de cité" savent
maintenant qu'ils peuvent me casser la figure et que cela me coûtera 360€ !
Ils peuvent
aussi se faire une bonne opinion de la police et justice française, ce qui
explique leur slogan "nique la France !"
Je porte
plainte contre les 2 agents de la BAC,
dont le parquet possède le rapport utilisé par le tribunal (donc les noms), qui
ont conseillé à Mohamed Ali MAHMOUDI de porter plainte pour une gifle que je
n'ai pas donnée, la gardienne de la paix Laurence
Labrousse et les autres policiers présents ce 1er août 2011 de
11H au soir pour faux en écriture
publique, pour incitation à la
violence, complicité d'agression,
abus d'autorité, d'avoir rejoint l'association
de malfaiteurs destinée à me nuire.
Je porte
plainte contre Mohamed Ali MAHMOUDI pour
violences physiques avec séquelles à vie (article 222-9 code pénal : les violences ayant entraîné une mutilation
ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 150
000 euros d'amende).
Si Mohamed
Ali MAHMOUDI reconnaît n'avoir agi que sur ordre des policiers, je retire ma plainte
et la reporte sur les policiers du commissariat du 80 avenue Daumesnil 75012
présents ce 1er août 2011 et les 2 agents de la BAC.
Pièces
jointes :
- Le rapport
des deux agents de la BAC ne m'a pas été remis, il transparait dans le
jugement de la 12ème chambre correctionnelle du 18 décembre 2013 ci-joint
- plainte rédigée par Laurence LABROUSSE
jugement de la 12ème chambre correctionnelle du 18 décembre 2013 ci-joint
- plainte rédigée par Laurence LABROUSSE
- 4 photos
visage les 1er et 24 août 2011 (toujours tuméfié le 24)
- certificat
médical Dr Isabelle Retbi constatant mes fractures 3/8/2011
- constat UMJ
du 1er août 2011 par Dr Ophélie FERRANT
- scanner des sinus du 3 août 2011 (2 fractures
+ hémosinus)
- certificat
Dr MECHINEAU de l'hôpital Bégin pour référencement ophtalmologie suite à
fracture du plancher de l'orbite 5/8/2011
-
référencement ORL du Dr I. MAY de l'hôpital Bégin suite épanchements sinus
26/9/2011
- scanner des
sinus du 6/10/2011 fractures toujours pas consolidées
-
référencement du Dr Christophe SEZE pour neurologie (14/10/2011)
- ordonnance
Dr Christophe SEZE soins ORL sinus (14/10/2011)
- certificat
médical Pr neurologie du Val de Grâce Hervé TAILLIA constatant l'hypoesthésie
définitive 30 mai 2013
-----O-----
23 mai 2012
menace d'un gardien d'école de faire venir la police pour "qu'ils recommencent (comme le 15 mars 2011)"
menace d'un gardien d'école de faire venir la police pour "qu'ils recommencent (comme le 15 mars 2011)"
Voici un exemple
de la mentalité qui résulte des violences policières à mon égard : un gardien
d'école où se tient un meeting socialiste se croit autorisé d'appeler la police
pour me tabasser, parce que je distribue mes propres tracts de candidat député
indépendant lors d'un meeting de la candidate PS !
Cela est
assez effrayant sur la façon dont cet individu conçoit la démocratie.
Voici une
conséquence directe de l'agression de l'agent David Gatty : ce gardien d'école
pense qu'il suffit d'appeler la police du XIIème arrondissement pour qu'ils
"recommencent à me tabasser" !
Cela confirme
qu'il fait partie des nombreuses personnes qui savent que cette agression était
bien un coup monté contre moi, ce que ce gardien d'école semble trouver normal.
J'en ai fait
un article avec le témoignage d'un passant assez surpris, qui voulait
comprendre ce que le gardien voulait dire :
Ajoutant à
cela que les voyous de quartier ou simplement des personnes qui n'apprécient
pas mes convictions politiques anti corruption (cela existe !) savent qu'ils
peuvent se livrer à des violences physiques sur ma personne, puisque je suis
persécuté par la police qui transforme aussitôt mes agresseurs en victimes,
puis que la justice entérine…
Je porte
plainte contre le gardien d'école Mr X,
en poste à l'école du 52 rue de Wattignies 75012 Paris le 23 mai 2012, pour
entrave à la démocratie, insulte aux forces de police, diffamation des forces
publiques, incitation à la violence policière, menaces à mon intégrité
physique, soutien à l'association de
malfaiteurs.
Pièces
jointes :
- témoignage
de Mr Luc LAMY (le 25 mai 2012) sur les propos du gardien d'école du 52 rue de
Wattignies 75012 Paris le 23 mai 2012 vers 21H30 ("ça t'as pas suffi ?… tu veux qu'ils recommencent ?")
CONCLUSIONS
Je vous demande de
faire intervenir l'IGPN pour que tous les acteurs policiers
et civils de cette association de malfaiteurs qui s'agrandit au fil des années
expliquent pourquoi ils
s'acharnent contre moi en violant allègrement les principes les plus
fondamentaux de notre République.
Je demande une protection de la
gendarmerie par des agents réputés pour leur loyauté envers les lois de la
République, afin de pouvoir me préparer à mon programme présidentiel de 2017
(l'instauration immédiate de l'éco-sociétalisme : http://www.ecosocietal.org).
En effet, tous les voyous des cités
autour de ma résidence s'amusent du fait que s'ils me cassent la figure, ils
ont la bénédiction de la police et qu'en plus je devrais payer une amende !
Si une personne décidait de m'agresser, sous l'emprise de l'alcool ou pour commettre un vol sur ma personne, une telle police locale ne bougera pas pour moi.
Si une personne décidait de m'agresser, sous l'emprise de l'alcool ou pour commettre un vol sur ma personne, une telle police locale ne bougera pas pour moi.
Je demande ce jour la grâce
présidentielle afin d'être libéré des condamnations et obligations injustifiées
en cours en ce moment au Service de Probation et d'Insertion Pénitentiaire du
12-14 rue Charles Fourier 75013 Paris pour l'affaire David GATTY, jugement du
pôle 8 TGI Paris.
A noter que la Cour de cassation, au
lieu de faire remarquer que mon avocate Me Catherine Henin-Clark a été ignorée
par la cour d'appel, alors même que cette cour de cassation reconnaît qu'elle
est bien mon avocate dans cette affaire, me condamne curieusement à verser 2
000 euros supplémentaires, comme indiqué dans cet article :
http://patricehenin.blogspot.fr/2013/07/il-faut-laisser-faire-la-justice.html
http://patricehenin.blogspot.fr/2013/07/il-faut-laisser-faire-la-justice.html
Cela rassurera les français sur
l'intérêt que porte le président de la République sur les graves
dysfonctionnements de nos institutions policières, judiciaires et médicales, cela
empêchera quiconque de
soupçonner le président de la République de soutenir cette association de
malfaiteurs.
Qui suis-je donc, pour cumuler tant
d'adversité ? Un criminel ?
Je suis celui qui peut maintenant affirmer avec toutes les preuves apportées avec zèle par mes propres persécuteurs qu'il est maintenant incontestable que la République est morte, que ses institutions policières, judiciaires, politiques et mêmes médicales (confère plainte suivante acteurs médicaux), médiatiques sont factices, inopérantes et criminelles.
Conformément à l'article 88 du code de
procédure pénale, je vous serais reconnaissant de me faire savoir le montant de
la somme que je devrai consigner au greffe de votre juridiction.
Compte tenu de mes ressource faibles (1
000€/mois) eu égard à l'importance de l'affaire, aux multiples frais que j'ai
dû payer depuis 8 ans à cause de ces multiples persécutions, condamnations
montées de toutes pièces, je vous demande d'être dispensé de consigner une
somme d'argent au greffe.
Dans l'attente de votre réponse, je
vous prie d'agréer, Madame ou Monsieur le juge d'instruction, mes salutations
distinguées.
Patrice Hénin,
29 rue des Meuniers 75012 Paris
oooooOooooo
Comme vous pouvez
vous en douter, j'ai encore d'autres raisons de me plaindre.
Ma douce retraite enrichie
par la découverte de l'état policier de la France, avalisée par la justicerie, est
maintenant agrémentée d'un cancer du
foie.
Ce cancer n'est pas tombé
du ciel, mais survenu grâce aux soins intensifs qu'ont apportés mon médecin traitant
(Dr Pascal Nébot) et mon hépatologue du Val de Grâce (Dr Buzaglo-Braun) à cette
règle obsessionnelle : pas de traitement à l'Interféron si pas de suivi psychiatrique auparavant !
Pas de traitement de
l'hépatite C signifie risque de cirrhose du foie. Si on continue à ne rien
faire, arrive la complication par un cancer du foie.
Ce n'est pas grave, l'important est de se joindre à l'association de malfaiteurs pour prouver que je dois aller en psychiatrie.
Ce n'est pas grave, l'important est de se joindre à l'association de malfaiteurs pour prouver que je dois aller en psychiatrie.
Le corps médical
(ceux qui ne sont pas malades), pensent différemment :
(on lit bien à la fin
du premier paragraphe "la constatation
de troubles psychiatriques avant traitement ne doit pas constituer une
contre-indication à la mise en route d'un traitement antiviral lorsque celui-ci
est justifié par la sévérité du cas."
Hé bien, c'est gagné
: 3 carcinohépatocellulaires (CHC) à ce jour. La chirurgie hépatique de l'hôpital de
la Pitié-Salpêtrière étudie mon cas en ce moment.
Cette obsession
étatique de me psychiatriser va peut-être vous faire penser que je suis vraiment
un malade mental, finalement.
Je termine donc une
plainte complémentaire pour ce pauvre juge d'instruction, en supposant qu'il
soit nommé.
La plainte "policière" se complète ainsi d'une plainte "médicale", appuyée par les documents de mon non-suivi d'hépatite C.
La plainte "policière" se complète ainsi d'une plainte "médicale", appuyée par les documents de mon non-suivi d'hépatite C.
Au lecteur de juger
sur pièces de l'état du service hépato-gastrologie de l'hôpital du Val de Grâce…
oooooOooooo
Ce jour 15 avril 2014,
je me suis rendu, avec mon petit litre d'air encore ventilable (sur 3 litres), au
Service de Probation et d'Insertion Pénitentiaire (SPIP), pour satisfaire aux
exigences du procès de rébellion contre ce malheureux agent David Gatty (voir
plus haut).
Vivement la retraite.
ENFIN, la justice se met en marche (arrière). Je reçois le 23 juin 2014 une lettre du doyen des juges d'instruction du TGI de Paris qui me demande de réexpédier ma plainte et toutes ses pièces jointes au procureur mais en mode "plainte simple".
C'est à dire en supprimant les mots "juge d'instruction" et "constitution de partie civile".
Pour supprimer ces mots, il faut tout photocopier et renvoyer.
Or, je n'ai pas fait 8 années d'études forcées au droit sans savoir qu'une "plainte simple" doit d'abord être déposée auprès du procureur de la République avant d'envoyer la même au doyen des juges d'instruction si pas d'action ou pas de réponse après trois mois.
SAUF EN CAS DE CRIMES, ce qui est le cas :
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F20798.xhtml#N100A6
Ces crimes étant commis par des policiers et entérinés par des tribunaux qui m'ont condamnés, je comprend le trouble de ce doyen.
Perdre 2 mois, 13 euros de lettres recommandées, une soirée à photocopier, c'est toujours ça de gagné.
oooooOooooo
ENFIN, la justice se met en marche (arrière). Je reçois le 23 juin 2014 une lettre du doyen des juges d'instruction du TGI de Paris qui me demande de réexpédier ma plainte et toutes ses pièces jointes au procureur mais en mode "plainte simple".
C'est à dire en supprimant les mots "juge d'instruction" et "constitution de partie civile".
Pour supprimer ces mots, il faut tout photocopier et renvoyer.
Or, je n'ai pas fait 8 années d'études forcées au droit sans savoir qu'une "plainte simple" doit d'abord être déposée auprès du procureur de la République avant d'envoyer la même au doyen des juges d'instruction si pas d'action ou pas de réponse après trois mois.
SAUF EN CAS DE CRIMES, ce qui est le cas :
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F20798.xhtml#N100A6
Ces crimes étant commis par des policiers et entérinés par des tribunaux qui m'ont condamnés, je comprend le trouble de ce doyen.
Perdre 2 mois, 13 euros de lettres recommandées, une soirée à photocopier, c'est toujours ça de gagné.
J'obtempère, bien sûr :
Paris, le 27 juin 2014
De : Patrice HENIN
29 rue des Meuniers
75012 Paris
29 rue des Meuniers
75012 Paris
A : Tribunal de
Grande Instance de Paris
Doyen des juges d'instruction
Escalier D – 2ème étage – bureau 118
10 boulevard du Palais
75001 Paris
Doyen des juges d'instruction
Escalier D – 2ème étage – bureau 118
10 boulevard du Palais
75001 Paris
affaire suivie par : SK/FS/MRA
Référence dossier : 14/355
Référence dossier : 14/355
Madame Sabine KHERIS,
vice-doyen des juges d'instruction,
suite à votre demande en date du 13 juin 2014, veuillez
trouver ci-joint copie (sans les pièces jointes y afférentes) de la plainte
simple envoyée pour la deuxième fois, ce jour, au procureur de la République.
Lors de mon premier envoi, je pensais qu'il n'était pas
nécessaire de déposer une plainte simple puisque la plupart des méfaits commis
par les membres de cette association sont des crimes comme la rédaction de faux
en écriture publique ayant entrainé des condamnations pénales.
Veuillez agréer, Madame, l'expression de mes sentiments
distingués.
Patrice Hénin
oooooOooooo
oooooOooooo
Ce n'est pas fini, on gagne du temps quelque part, délai de 3 mois obligatoire qui ne partent plus du 18 avril 2014 mais de l'envoi suivant. Ce n'est pas ce qui était expliqué plus haut dans la précédente lettre, Sabine KHERIS parlait de réponse avant le 21 juillet 2014 pour traiter le dossier. Il fallait écrire en toute franchise"... avant de pouvoir déclarer la plainte irrecevable...".
Mais bon, il faut que justice ne se fasse pas...
Mais bon, il faut que justice ne se fasse pas...
Cour d'appel de Paris
Tribunal de Grande Instance de Paris
Doyen des Juges d'instruction
Tribunal de Grande Instance de Paris
Doyen des Juges d'instruction
Esc. D – 2ème étage – bureau 118
10 boulevard du Palais 75001 Paris
10 boulevard du Palais 75001 Paris
Tél. : 01 44 32 62 05
Fax : 01 44 32 79 61
Fax : 01 44 32 79 61
Accueil général de l'instruction
Escalier F 2ème étage
du lundi au vendredi de 9H30 à 16H45
Escalier F 2ème étage
du lundi au vendredi de 9H30 à 16H45
Paris, le 8 juillet
2014
Affaire suivie par : SK/FS/MRA
Référence du dossier : 14/355
objet : plainte avec constitution de partie civile
Monsieur,
J'accuse réception de votre courrier du 27 juin 2014.
Après examen des pièces que vous avez communiquées à mon
service, je constate que la plainte simple a été adressée au procureur de la
République postérieurement au dépôt de votre plainte avec constitution de
partie civile auprès de mon cabinet.
Ainsi les exigences légales de l'article 85 du code de
procédure pénale n'ont-elles pas été respectées, en ce que l'article 85 exige
que la plainte simple précède la plainte avec constitution de partie civile
d'au moins trois mois.
Par conséquent, la présente plainte doit être déclarée
irrecevable.
Si vous souhaitez poursuivre les faits dénoncés, il convient
donc de déposer une nouvelle plainte avec constitution de partie civile
accompagnée de la plainte simple du 18 avril et de la preuve de sa réception
par le procureur de la République.
Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de ma parfaite
considération.
Le vice-doyen des juges
d'instructions
[cachet]
[signature]
[signature]
Sabine KHERIS
Ceci accompagné d'une lettre-document d'irrecevabilité, ça fait plus sérieux, ce côté administratif avec des tampons en plus.
Et si je décidais que ce "juge d'instruction", tout doyen qu'il est, était coupable de complicité, d'obstruction et d'entrave à la justice, qu'il appartient aussi à cette association de malfaiteurs déterminée à me nuire ?
Cela y ressemble.
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