Avis de non-admission de pourvoi confirmé
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COUR
DE CASSATION
DE CASSATION
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PARQUET
DU
PROCUREUR GENERAL
(340)
DU
PROCUREUR GENERAL
(340)
Paris, le 15 mai 2013
Le PROCUREUR GENERAL
près la COUR de CASSATION
à
près la COUR de CASSATION
à
M. Patrice HENIN
29 rue des Meuniers
75012 Paris
29 rue des Meuniers
75012 Paris
N/Référence : PG/H 1287017
Monsieur,
Vous avez formé un pourvoi contre l'arrêt rendu par la cour
d'appel de Paris en date du 17/10/2012.
Comme annoncé par une précédente lettre, j'ai l'honneur de
vous informer que votre dossier a été examiné par un avocat général à la Cour
de cassation, et sera fixé à une prochaine audience de la chambre criminelle.
Pour satisfaire pleinement aux exigences de la Cour européenne
des droits de l'Homme, je dois vous informer du sens des conclusions de l'avocat
général. En l'espèce, il s'agît d'un avis tendant à la non-admission du pourvoi.
Il ne pourra vous être donné aucune information
complémentaire ; vous pourrez, toutefois, si vous l'estimez nécessaire, faire
parvenir au greffe criminel de la Cour de cassation,5 quai de l'horloge (75001)
PARIS, par retour du courrier, en visant a référence ci-dessus et en trois
exemplaires, de brèves observations qui seront versées au dossier avant son
examen.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de ma considération
distinguée.
Le PROCUREUR GENERAL
[signature]
[signature]
D. BORRON
No comment.
Je rappelle qu'il s'agit encore une fois d'essayer de me mettre en psychiatrie. La
précédente condamnation (2008), exécutée de 2009 à 2011, a immédiatement été suivie
d'une agression par un agent des stups qui m'a accusé de rébellion après
m'avoir très violement tabassé.
La juge de libertés et des peines Catherine Barès n'avait
pas jugé vraiment utile de m'envoyer réellement en psychiatrie, vu l'iniquité
flagrante du précédent procès sans avocats.
On remet ça, normal dans mon pays.
Alors je réponds :
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Alors je réponds :
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Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris
à
Greffe criminel de la cour de cassation
Procureur général D. Borron
5 quai de l'Horloge
75012 Paris
29 rue des Meuniers
75012 Paris
à
Greffe criminel de la cour de cassation
Procureur général D. Borron
5 quai de l'Horloge
75012 Paris
Paris, le 23 mai 2013
Votre référence :
PG/H 1287017
Suite à votre courrier du 15 mai 2013, reçu le 22 mai 2013,
voici mes "brèves observations" :
- j'observe et rappelle qu'en ce qui concerne ma
condamnation à l'obligation de soins psychiatriques, le préfet de police Michel
Gaudin s'était levé à 3h du matin le 16 mars 2011 pour ordonner aux policiers
de m'envoyer à l'Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police de Paris
plutôt que de me relâcher comme d'autres réels clients du "dealer" Manuel
Jesus Marquès.
J'y ai été examiné par le Dr Forissier vers 16h, ce 16 mars, qui a décidé qu'un internement n'avait aucun sens "compte-tenu de ma personnalité."
Chaque fois que j'ai essayé de demander à la barre pourquoi on insiste tant pour me faire passer d'autres examens psychiatriques, on m'a expulsé manu militari.
J'y ai été examiné par le Dr Forissier vers 16h, ce 16 mars, qui a décidé qu'un internement n'avait aucun sens "compte-tenu de ma personnalité."
Chaque fois que j'ai essayé de demander à la barre pourquoi on insiste tant pour me faire passer d'autres examens psychiatriques, on m'a expulsé manu militari.
- j'observe et rappelle qu'en ce qui concerne la
"rébellion", j'ai été violemment frappé par cet agent David Gatty,
devant plusieurs témoins, dont la gardienne de l'école du 40 rue des Meuniers
75012 Paris. Je me suis présenté à plusieurs reprises à cette école pour
obtenir un témoignage écrit de cette dame, des intérimaires puis finalement la
directrice de cette école m'ont d'abord dit qu'elle était malade, puis elle a
été mutée.
- j'observe et souligne que la réadmission de mon avocate Me
Catherine Henin-Clark au barreau de Paris, courant octobre 2011, qui devait
aboutir au bout de 3 semaines maximum n'est toujours pas effectuée et qu'elle
maintient sa demande. Toutes ses demandes auprès de ses pairs pour que l'un
d'eux accepte de traiter son courrier sont restées sans réponses.
J'ai bien pris note que l'avocat général de votre cour de
cassation donne malgré tout un avis qui tend à la non-admission du pourvoi.
J'estime donc que j'ai réuni à ce jour suffisamment d'éléments pour constater l'état de non-droit au TGI de Paris, entre le 23 avril 2006 et le 22 mai 2013.
Par acquis de conscience, je rédige une plainte pour association de malfaiteurs destinée à me nuire auprès du doyen des juges d'instruction de ce TGI de Paris.
J'estime donc que j'ai réuni à ce jour suffisamment d'éléments pour constater l'état de non-droit au TGI de Paris, entre le 23 avril 2006 et le 22 mai 2013.
Par acquis de conscience, je rédige une plainte pour association de malfaiteurs destinée à me nuire auprès du doyen des juges d'instruction de ce TGI de Paris.
Par souci de l'intérêt général de mon pays, pour rétablir
l'état de droit, la fierté des autres policiers, gendarmes, avocats,
magistrats, employés d'administrations, élus, journalistes, psychiatres,
médecins, informaticiens non corrompus, des milliers de mes sympathisants qui
tous veulent éradiquer la corruption, rétablir la civilisation, je m'adresse
donc à eux pour agir.
Patrice Hénin a écrit et signe.
Patrice Hénin a écrit et signe.
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