Patrice Hénin
29 rue des Meuniers
75012 Paris
29 rue des Meuniers
75012 Paris
Paris, le 30 mai 2015
À :
Madame Tardy
directrice de la maison de retraite "Petit Rémouleur"
1-3 rue de Fourcy
75004 Paris
Madame Tardy
directrice de la maison de retraite "Petit Rémouleur"
1-3 rue de Fourcy
75004 Paris
Madame la directrice,
Ma sœur procureure (mais installée aux Etats-Unis) a envoyé
un FedEx (copie ci-jointe) à l'ex-directrice adjointe Sylvie Courpron. Les
envois FedEx sont enregistrés.
J'apporte quelques précisions au contenu de ladite lettre puisque vous n'étiez pas là.
J'apporte quelques précisions au contenu de ladite lettre puisque vous n'étiez pas là.
Mohamed-Michel Abidi,
Denise Lusinchi et moi partagions depuis janvier 2014 la même table et Abidi
avait sympathisé avec moi. A sa demande, j'avais reconfiguré 3 fois son
ordinateur dans sa chambre 401 et rétabli sa connexion Internet. Mais
subitement, sans raisons, à partir du 15 septembre 2014, il s'est conduit d'une
façon outrancièrement violente et agressive envers moi. Il a même tenté
d'inciter madame Lusinchi à en faire autant. Elle lui a répondu que s'il
n'arrêtait pas son comportement plus qu'odieux et inexplicable, elle ne
changerait pas de table mais plutôt d'établissement. J'ai fini moi par changer
de table.
Les provocations ayant duré deux mois, les autres clients en
sont témoins ainsi que le personnel.
Par exemple, le 26 novembre, Abidi est venu à la table où je terminais mon repas avec 6 autres personnes pour me frapper avec sa canne en hurlant des insultes et menaces. La stagiaire Clara et la serveuse Dalla ont été obligées de le maîtriser.
Par exemple, le 26 novembre, Abidi est venu à la table où je terminais mon repas avec 6 autres personnes pour me frapper avec sa canne en hurlant des insultes et menaces. La stagiaire Clara et la serveuse Dalla ont été obligées de le maîtriser.
Autre exemple, une vidéo a été prise par un client montrant
Abidi m'attendre à la fin du repas pour me menacer de "me fracasser" si je revenais manger
le lendemain. On y aperçoit brièvement madame Sylvie Courpron en train de plier
des nappes sans intervenir.
Le 17 décembre 2014, à ma grande surprise, au sortir du
restaurant, l'infirmière Sylvie Lemaitre m'a pris à part pour me dire que
l'accès du restaurant m'était dorénavant interdit. Ce serait à la demande de
Sylvie Courpron et à cause de mon comportement ! Quel comportement ? Pourtant Lemaitre
a assisté elle aussi sans intervenir à ces deux mois de provocations que j'ai
supportées sans broncher.
J'ai demandé à la stagiaire Clara de me donner son nom pour un éventuel témoignage en justice elle a refusé en me disant que Courpron lui avait déjà demandé "de ne pas se mêler de ça".
Sylvie Courpron est donc coupable de subornation de témoins (article code pénal 434-15 : Le fait d'user de promesses, offres, présents, pressions, menaces, voies de fait, manœuvres ou artifices au cours d'une procédure ou en vue d'une demande ou défense en justice afin de déterminer autrui soit à faire ou délivrer une déposition, une déclaration ou une attestation mensongère, soit à s'abstenir de faire ou délivrer une déposition, une déclaration ou une attestation, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, même si la subornation n'est pas suivie d'effet).
J'ai demandé à la stagiaire Clara de me donner son nom pour un éventuel témoignage en justice elle a refusé en me disant que Courpron lui avait déjà demandé "de ne pas se mêler de ça".
Sylvie Courpron est donc coupable de subornation de témoins (article code pénal 434-15 : Le fait d'user de promesses, offres, présents, pressions, menaces, voies de fait, manœuvres ou artifices au cours d'une procédure ou en vue d'une demande ou défense en justice afin de déterminer autrui soit à faire ou délivrer une déposition, une déclaration ou une attestation mensongère, soit à s'abstenir de faire ou délivrer une déposition, une déclaration ou une attestation, est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende, même si la subornation n'est pas suivie d'effet).
Les usagers témoins des faits du 15 septembre au 17 décembre
2014 qui refusent de "se mêler de ça" sont tous susceptibles d'être
interrogés par le juge d'instruction.
En janvier 2015 ma sœur est venue en France pour rencontrer
les chirurgiens qui devaient m'opérer le 5 février d'un cancer du foie.
Le 27 janvier j'ai invité ma sœur à venir manger au restaurant "Petit Rémouleur", nous avons été refoulés par l'infirmière Sylvie Lemaitre qui parlait d'une lettre de la mairie. J'ai lui ai dit que je n'avais rien reçu et que je n'avais aucune raison d'en recevoir une. En constatant les accusations confuses et manifestement inventées de Lemaitre, ma sœur a décidé de faire jouer ses relations dans le milieu judiciaire en France pour déclencher une instruction judiciaire sans passer par une plainte à la police.
Le 27 janvier j'ai invité ma sœur à venir manger au restaurant "Petit Rémouleur", nous avons été refoulés par l'infirmière Sylvie Lemaitre qui parlait d'une lettre de la mairie. J'ai lui ai dit que je n'avais rien reçu et que je n'avais aucune raison d'en recevoir une. En constatant les accusations confuses et manifestement inventées de Lemaitre, ma sœur a décidé de faire jouer ses relations dans le milieu judiciaire en France pour déclencher une instruction judiciaire sans passer par une plainte à la police.
Ayant récupéré de ma convalescence, je prends mes repas à
l'Ave Maria, où les choses se déroulent normalement et où j'ai aussi plusieurs
relations sympathiques.
Le 21 mai 2015 je suis venu à l'accueil à 11H30 pour
m'inscrire au repas avec karaoké du 4 juin 2015. Le karaoké est le dernier
loisir que je peux exercer vu ma bronchite chronique et mon emphysème bien
avancé. L'animateur Jean-Marc et l'audience m'apprécient (Jean-Marc m'appelle
"l'artiste"). L'hôtesse
Nadine m'a dit que j'étais interdit d'accès. Je lui ai demandé de faire venir
la directrice : "elle n'est pas là".
J'ai insisté, elle m'a répondu que le cuisinier Alex allait venir me parler. Il
y avait trois femmes en blouse blanche assises à l'accueil.
Alex arrive et me dit "venez au fond de la salle je vais vous expliquer". Je lui
réponds que je suis venu m'inscrire et que s'il a quelque chose à me dire, il
peut le faire devant tout le monde. Il commence à parler, plutôt à hurler que
j'ai reçu une lettre de la mairie qui m'interdit de venir au Petit
Rémouleur. J'essaye de lui dire que je
n'ai pas reçu de lettre mais il s'emporte de plus belle : "… ne jouez pas au caïd avec moi… j'ai essayé de vous donner une deuxième
chance…" comme si j'avais déjà commis un préjudice et que j'étais déjà
coupable de quelque chose.
- Je vous demande de me
faire préciser par écrit par Sylvie Lemaitre et Alex de quoi ils voulaient parler.
- Je vous demande de me donner copie de cette fameuse lettre de la mairie qui m'interdirait de fréquenter votre restaurant comme je le fais depuis 2013, depuis 2011 si on ajoute l'Ave Maria, depuis 2003 si on ajoute le XIIème arrondissement.
- Je vous demande de me donner copie de cette fameuse lettre de la mairie qui m'interdirait de fréquenter votre restaurant comme je le fais depuis 2013, depuis 2011 si on ajoute l'Ave Maria, depuis 2003 si on ajoute le XIIème arrondissement.
Cela obligera Sylvie Courpron et Sylvie Lemaitre à rédiger
un faux rapport (Article 441-1 faux
altération vérité, Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans
d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende), de se rendre coupables d'abus
d'autorité (Article 432-1 : cinq ans
d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende ).
Ces quatre personnes, Sylvie Courpron, Sylvie Lemaitre, Mohamed-Michel Abidi et le cuisinier Alex sont manifestement coupables d'association de malfaiteurs (450-1 association de malfaiteurs : constitue une association de malfaiteurs tout groupement formé ou entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d'un ou plusieurs crimes ou d'un ou plusieurs délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement.
Lorsque les infractions préparées sont des crimes ou des délits punis de dix ans d'emprisonnement, la participation à une association de malfaiteurs est punie de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
Lorsque les infractions préparées sont des délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement, la participation à une association de malfaiteurs est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Article 450-2 : toute personne ayant participé au groupement ou à l'entente définis par l'article 450-1 est exempte de peine si elle a, avant toute poursuite, révélé le groupement ou l'entente aux autorités compétentes et permis l'identification des autres participants).
La production de ce faux rapport donnera l'occasion à la
mairie soit d'enquêter et rétablir mes droits, surtout de veiller à ce que mes
droits ne puissent être arbitrairement remis en cause en prenant les mesures
nécessaires, soit d'être incluse dans ma plainte d'association de malfaiteurs.
Ma sœur a obtenu la prise en charge d'une de mes 2 anciennes
plaintes déjà déposée au TGI par le juge
d'instruction Roger Le Loire qui m'a demandé mes avis d'imposition pour
calculer le montant de ma consignation (ci-joint lettre). Ce juge est célèbre
pour ses succès anti-corruption, il a fait avouer Jérôme Cahuzac par exemple.
J'accumule depuis 9 ans des preuves de corruption de la
mairie de Paris et d'autres élus et j'avais donc décidé d'être candidat député sans
étiquette. J'ai dépensé 3 700 euros non pas pour mon confort personnel mais pour offrir des bulletins de
vote aux électeurs de la 8ème circonscription de Paris (en 2012) et
leur donner l'occasion de voter pour un candidat
député anti-corruption.
Cette présente lettre ne devait comporter que ma demande de
copie de cette lettre de la mairie. Mais finalement j'ai décidé d'en faire aussi
un article de mon blogue http://patricehenin.blogspot.com
, d'où une plus longue description des faits afin que vous et mes lecteurs puissent comprendre ce dont il retourne.
Que de tels personnages comme Mohamed-Michel Abidi qui
aurait fait partie de la protection rapprochée des présidents Mitterrand à
Sarközy de Nagy-Bocsa (nom complet) se mettent à monter une cabale aussi stupide
qu'abjecte m'inquiète et questionne le public.
Cela m'effraie de comprendre qu'Hitler n'ayant jamais tué un seul juif de ses mains, mais qu'après avoir pris le pouvoir il lui a suffi de demander à des millions d'Abidi, d'Alex, de Courpron ou Lemaitre de le faire.
Avant de me retrouver dans un pays où l'on pourrait invoquer une lettre de la mairie m'obligeant à marcher dans le caniveau avec interdiction d'utiliser le trottoir ou de fréquenter les jardins publics sous peine d'être arrêté par la police, je me dois de réagir, vous aussi.
- Je vous demande de
veiller à ce que je puisse pratiquer le karaoké à votre restaurant le 4 juin
2015.
Ma plainte concernant les faits au Petit Rémouleur n'est pas encore rédigée, j'attends la copie de cette fameuse lettre de la mairie.
Veuillez agréer, Madame la directrice, l'expression de mes sentiments distingués.
Patrice Hénin
patrice.henin@gmail.com
patrice.henin@gmail.com
Pièces jointes :
- lettre FedEx à Sylvie Courpron
à Directrice de la maison de retraite "Le Petit
Rémouleur"
Madame Sylvie Courpron
1-3 rue de Fourcy
75004 Paris
Madame Sylvie Courpron
1-3 rue de Fourcy
75004 Paris
copie à : CASVP
5 Boulevard Diderot
75012 Paris
75012 Paris
Paris, le 27 septembre 2014
Madame la directrice,
Monsieur Patrice Hénin fréquente depuis plus d'un an le
restaurant Émeraude du rez-de-chaussée de la maison de retraite que vous gérez.
Vous n'êtes pas sans avoir remarqué que Monsieur Patrice
Hénin subit depuis le 15 septembre des provocations quotidiennes, menaces de
coups portés avec une canne, insultes de la part de Monsieur Mohamed-Michel
ABIDI.
Celui-ci prétend que Patrice Hénin relève de la psychiatrie,
ceci devant témoins qui peuvent être convoqués par mandat de justice en tant
que témoins assistés.
Patrice Hénin ne répond à aucune provocation mais a
finalement abandonné sa table habituelle pour manger en paix à une autre table
pendant deux jours.
Ayant appris que Monsieur Mohamed-Michel ABIDI affirmait à
qui voulait l'entendre qu'il avait été expulsé de sa table, Patrice Hénin est
revenu à sa table habituelle le 26 septembre 2014, et compte y rester,
tranquille.
Monsieur Mohamed-Michel ABIDI a alors continué de fait
preuve de médisance en affirmant que Patrice Hénin avait été expulsé de la
table précédente.
Je note qu'il est toujours question d'expulsion et de
psychiatrie, avec un acharnement suspect.
Patrice Hénin est donc persuadé, peut-être à raison, qu'il
s'agit d'une réédition des événements et méthodes qu'il a subit de la part de
l'association de malfaiteurs (article 450-1 du code pénal) formée par la mairie
du XIIème arrondissement, la directrice Christine FOUET et autres membres du
personnel de la 12ème section du CASVP (Centre d'Action Social de la Ville de Paris)
en 2009 et 2011 qui ont conduit à une expulsion arbitraire, toujours en
vigueur.
Les preuves de l'arbitraire ayant été réunies, une plainte a
été déposée contre cette association de malfaiteurs en juin 2014 auprès du
Doyen des Juges d'Instruction du TGI de Paris, publiée dans l'article http://patricehenin.blogspot.fr/2014/04/plainte-juge-dinstruction-du-tgi-paris.html.
Monsieur Patrice Hénin constate que s'il quitte la table
pour échapper aux provocations, Mohamed-Michel ABIDI répand alors la rumeur
qu'il est parti parce qu'il aurait été expulsé pour son comportement.
Si Monsieur Mohamed-Michel ABIDI est invité à quitter sa
table habituelle, il répandra alors la rumeur qu'il aurait été obligé de fuir
le comportement de Monsieur Patrice Hénin.
Il n'existe donc qu'une seule solution pour mettre fin aux
soupçons de Monsieur Patrice Hénin et mettre fin définitivement aux
provocations :
Monsieur Mohamed-Michel ABIDI doit remettre à Monsieur Patrice Hénin une lettre d'excuse dans laquelle il promet de ne plus insulter, provoquer ni médire à l'avenir à l'encontre de Monsieur Patrice Hénin.
Monsieur Mohamed-Michel ABIDI doit remettre à Monsieur Patrice Hénin une lettre d'excuse dans laquelle il promet de ne plus insulter, provoquer ni médire à l'avenir à l'encontre de Monsieur Patrice Hénin.
Monsieur Patrice Hénin est incapable de haine et de rancune,
un courant de sympathie pourra de nouveau s'installer à cette table.
Cela rassurera Monsieur Patrice Hénin qui n'aura plus aucune
raison de soupçonner l'existence d'une tentative d'expulsion dont vous seriez
partie prenante.
En cas de non réponse de votre part ou de refus de fournir
cette lettre d'excuses écrites, une plainte sera également portée au Doyen des
Juges d'Instruction après un délai de 3 mois du dépôt d'une plainte simple au
Procureur du TGI de Paris, porté par une avocate de ma promotion du barreau
de Paris.
Veuillez agréer, Madame, l'expression de mes sentiments
distingués.
Catherine
R. Henin-Clark, P.A.
Attorney at
Law
Board Certified in Immigration and Nationality Law
Board Certified in Immigration and Nationality Law
1151 N.
Orange Ave., #200
Winter
Park, Florida 32789
Etats-Unis
- prise de contact cabinet juge d'instruction Roger Le Loire
récépissé dépôt le 1er juin 2015 :