mardi 12 juin 2007

006 Ouverture, avec choeurs. Opus 07.07.07

Ségolène Royal :

n’a pas eu la petite gloire
de changer de trottoir
mais en nous insufflant tant d'espoirs
elle est entrée dans l’Histoire

Le chœur des sarkozyens :
Idolâtres !!
Ségolâtres !!


Tout petit, déjà, il voulait devenir président
c’est sa maman qui nous l’a dit
mais ce n’est pas cohérent
parce qu'il est toujours un petit.

Le chœur des royalistes :
Voilà notre pr
oblème
C'est lui qu'on aime

les "Désirs d’Avenir", c'est le vent de l’histoire.
voilà notre espoir
écrire l'histoire

Le chœur des français :
C’est une plus belle histoire
que de vouloir
seul le pouvoir.


Avis de Patrice sur sa propre note : "peut mieux faire, avec les autres"

Donc, je vous invite, puisque nous avons participé aux ateliers d'écriture ce samedi 7 juillet 2007, au F.I.A.P. 30 rue Cabanis, à parfaire cette note, sans fautes, en commentaires.
Voici quelques mots, pour les rimes :

pouvoir :
vouloir, perchoir, bavoir, mouchoir, avoir, des avoirs, abattoir, lavoir, dortoir, victoire, encensoir, savoir, crachoir, émouvoir, noir, croire, accroire, boire, balançoire, devoir, etc...

président :
impotent (en français ou en anglais), (in)cohérent, avenant, à cran, prélèvements, démembrement, argent, évènement, élément, seulement, salement, ment, lent, dents, fend, du vent, rassemblement, environnement, enlèvement, (mé)contentement, acescent, déliquescence, délinquance, vulgairement, testament, internements, avènement, génétiquement parlant ( dès 3 ans), armement, etc...

choeur des sarkozyens :
âtre, marâtre, verdâtre, battre, bellâtre, acariâtre, psychiatre, phoniatre, pédiatre, sacre, etc...

choeur des royalistes et des français :
avenir, finir, venir, embellir, enrichir, sans mentir, dire, lire, polir, sentir, réfléchir, infléchir, vivre, livres, Désirs, tenir, écrire, ouïr, jouir, affranchir, etc...

Listes à compléter, bien sûr.

Le but du jeu :
Expliquer aux français, ce que veut le plus petit président de France (historiquement parlant), et ce que veulent les adhérents de Désirs d’Avenir.

Des adhérents qui veulent préserver l’environnement, développer l’économie, ne veulent pas donner le pouvoir aux puissances de l’argent, ni plus d’argent à ceux qui en ont déjà trop, ni moins d'argent à ceux qui n'ont plus rien.

Une France qui préside.

A vous de jouer :
Exemple :
"Désirs d’Avenir"
c’est le vent de l’Histoire
pas d’encensoirs
pour une petite place au perchoir
mais des adhérents
un rassemblement
de tous pour en finir
avec celui qui veut vous dire :

"Liberté" des avoirs
"égalité", sous mon pouvoir
"fraternité", vous allez voir !
Tous ensemble, plus de gauche ni de droite, tout est possible
avec Moi.

C'était pourtant visible sur sa photo de campagne, qu'il est tout seul.
A vous.
Notre Débriefing de la campagne de Ségolène par 114 adhérents réunis au FIAP, le 7 Juillet 2007, Paris XIIIème :
Débriefing 7 juillet version pdf.pdf

1 commentaire:

  1. * COURRIER ENVOYE A NICOLAS SARKOZY SUR LA QUESTION DE L'AUGMENTATION DE L'AAH ( VOUS POUVEZ L'IMPRIMER, LA SIGNER ET L'ENVOYER) : Il serait bon que Nicolas Sarkozy croûle sous le poids des lettres envoyées par les personnes en situation de handicap. : c'est un défi à relever et nous verrons bien ce qu'il nous répondra...

    « Agir selon sa conscience, dire la vérité, essayer de se comporter en citoyen, même lorsque les conditions d'exercice de la citoyenneté sont dégradées ne mènent peut-être à rien, et pourtant, il suffit d'une fois.
    Mais, ce qui donne à coup sûr jamais de résultat, c'est de se demander, avant d'agir, si cela servira ou non à quelque chose » ! (Vaclav Havel)

    « Il sied d'oser désapprendre en revisitant nos habitudes, nos modes de pensées, nos préjugés... »
    (Alexandre Jollien, philosophe contemporain)




    handicapdesirsdavenir@orange.fr A Monsieur Nicolas Sarkozy
    .......................................... Président de la République
    .......................................... Palais de l'Elysée
    .......................................... 75000 PARIS
    ..........................................
    Monsieur,

    Lors de votre campagne électorale, nous avons bien suivi, celle-ci, et nous avons retenu que vous aviez promis à toutes les personnes en situation de handicap, une augmentation immédiate de l'AAH de 25 % et, beaucoup de personnes handicapées séduites, vous ont crues et ont voté pour vous. C'est une belle promesse.

    Cependant, ces dernières semaines, Monsieur Fillon a dit, tout simplement, qu'il s'agissait d'une erreur et que ce n'était plus 25 % tout de suite, mais 5% l'an et puis au 1er juillet avec des bruits persistant d'une TVA sociale à 5,8 %, ce qui réduit à néant une éventuelle augmentation, en définitive, ce n'était plus cela du tout, car 0 euros serait versé sur l'AAH (AAH qui ne devrait pas être assujettie au salaire du conjoint ).

    J'ose intervenir, ici, au nom de toutes ces personnes qui vivent dignement, sans jamais se plaindre, mais comme des exclus de la République.

    En effet, les plus élémentaires, Droits de l'Homme leur sont refusés lorsque le droit à l'entrée scolaire est bafoué, le droit à la formation leur est exclu, le droit au travail leur est interdit, le droit de vivre dans la dignité leur est proscrit, le droit à un logement spécialement équipé leur reste refusé, et l'accessibilité de partout, cars, bus, trains, avions, magasins, emplacements de parking et entrée des toilettes restent, trop souvent, un rêve vain, en ce 21ème siècle.

    Les personnes handicapées veulent obtenir un statut où ils seront définitivement reconnu par un droit à la différence avec le versement d'un smic et aussi aux parents d'enfants lourdement handicapé car un parent doit quitté son travail pour s'occuper de lui, ensuite à 18 ans ils doit avoir des ressources suffisantes pour faire face.

    Pour l'heure, il devient urgent de se pencher sur leur situation économique qui font d'eux des personnes en dessous du seuil de pauvreté, alors qu'avec la maladie et le handicap, ils ne parviennent pas à vivre dignement.

    Les personnes en situation de handicap ne veulent pas être des assistés, ils ne veulent pas de la charité d'une société qui ne veut ni les voir, ni les entendre.

    Beaucoup de ces personnes peuvent travailler, mais la discrimination, l'exclusion demeurent, lamentablement d'une triste évidence, dans le pays. Combien de travailleurs handicapés sont au chômage, lorsqu'ils réclament à corps et à cris de travailler comme les autres ? Pourtant, c'est possible. Quelques chefs d'entreprises avant-gardistes et pleins de sagesse ont ouvert leurs portes à ces personnes singulières et elles s'en trouvent fort bien.

    Combien de personnes handicapées à la retraite touche des retraites de moins de 750 € ...et rien d'autre ? La retraite de ces personnes doit absolument être reconsidérée de manière équitable.

    Quant aux personnes invalides à plus de 80 %, ce sont des personnes reconnues inaptes au travail car trop gravement touchées par la maladie et le handicap. Doivent-elles pour autant mourir de désespoir, murées chez elles par manque de tout, et même, quelquefois sans pouvoir se déplacer dans leur logement, avec leur fauteuil roulant ?

    Non, la situation que l'on fait vivre aux personnes en situation de handicap est inacceptable, indigne et indécent dans un pays comme le nôtre, alors que certains pays d'Europe du Nord montrent l'exemple en ce domaine.

    Monsieur Nicolas Sarkozy, dites moi, sérieusement, que faites-vous vous avec 622 € et parfois moins, 399 € ? Sérieusement, vous devez vous offrir à ce prix là, une paire de chaussures et une cravate.

    Non, vraiment, les personnes en situation de handicap ne peuvent pas accepter que vous vous détourniez d'eux de cette manière, en les ignorant de tout votre cœur.

    Nous attendons de votre part une réponse sincère et correcte, vis-à-vis de vos électeurs, afin de ne pas les décevoir et de ne pas vous montrer à la charrette de l'Europe dans ce domaine. La France à les moyens de satisfaire ces catégories et elle ne peut pas se permettre de les laisser sur le ' bord du chemin'.

    C'est un impératif et un devoir immédiat pour un Président tel que vous voulez nous le démontrez, actif, généreux, sincère que nous avons retenu par cette phrase : « Ce que je vous promets, aujourd'hui, je le ferai quand je serai Président ! »

    Dans l'attente de votre réponse, Monsieur le Président, nous vous prions d'agréer l'expression de notre haute considération et toutes nos salutations distinguées.

    Fait, ce jour, le 13 juillet 2007,

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